Un responsable des Nations unies a précisé que deux employés de l'organisation internationale, un Russe et une Philippine, figuraient parmi les tués de l'hôtel Continental, l'un des plus fréquentés de cette ville du Nord-Est du Pakistan.
Parmi les blessés figurent une Allemande travaillant pour le Fonds des Nations unies pour l'enfance (Unicef), ainsi qu'un Britannique et un Nigérian.
Les taliban ont multiplié les attentats depuis le lancement par les forces gouvernementales pakistanaises, en avril, d'une vaste offensive contre les islamistes de la vallée de Swat et des régions voisines, dont l'influence s'était étendue à la faveur d'une trêve conclue en février avec Islamabad.
"Nous avons un bilan de sept morts, victimes de l'explosion, quatre corps ont été retrouvés aujourd'hui", a dit le chef de la police municipale, Sifwat Ghayyur.
Ce bilan ne tient pas compte des assaillants qui ont été tués dans l'attaque.
Plusieurs personnes sont toujours portées disparues, dont le directeur de l'établissement, et les sauveteurs continuent de déblayer les ruines de l'hôtel, dont une partie s'est effondrée sous la puissance de l'explosion.
Cet attentat rappelle celui qui a fait 55 morts en septembre dernier à l'hôtel Marriott d'Islamabad.
Selon la police, une bombe de 500 kg se trouvait dans le camion - la même puissance que celle qui avait ravagé le Marriot.
"J'étais dans le restaurant chinois lorsque nous avons entendu des tirs puis une explosion. Il faisait complètement noir et les gens ont commencé à crier et à courir", a raconté Ali Khan, un serveur de l'hôtel.
Les Nations unies participent activement aux secours en faveur des 2,5 millions de personnes chassées de chez elles par les affrontements dans le nord-ouest du Pakistan.
Le secrétaire général de l'Onu, Ban Ki-moon, a condamné "une odieuse attaque terroriste que rien ne peut justifier".
Vendredi dernier, un attentat avait fait une quarantaine de morts au moment de la grande prière hebdomadaire dans une mosquée du district du Haut-Dir, non loin du théâtre des combats.
Source: Reuters via Yahoo News
Parmi les blessés figurent une Allemande travaillant pour le Fonds des Nations unies pour l'enfance (Unicef), ainsi qu'un Britannique et un Nigérian.
Les taliban ont multiplié les attentats depuis le lancement par les forces gouvernementales pakistanaises, en avril, d'une vaste offensive contre les islamistes de la vallée de Swat et des régions voisines, dont l'influence s'était étendue à la faveur d'une trêve conclue en février avec Islamabad.
"Nous avons un bilan de sept morts, victimes de l'explosion, quatre corps ont été retrouvés aujourd'hui", a dit le chef de la police municipale, Sifwat Ghayyur.
Ce bilan ne tient pas compte des assaillants qui ont été tués dans l'attaque.
Plusieurs personnes sont toujours portées disparues, dont le directeur de l'établissement, et les sauveteurs continuent de déblayer les ruines de l'hôtel, dont une partie s'est effondrée sous la puissance de l'explosion.
Cet attentat rappelle celui qui a fait 55 morts en septembre dernier à l'hôtel Marriott d'Islamabad.
Selon la police, une bombe de 500 kg se trouvait dans le camion - la même puissance que celle qui avait ravagé le Marriot.
"J'étais dans le restaurant chinois lorsque nous avons entendu des tirs puis une explosion. Il faisait complètement noir et les gens ont commencé à crier et à courir", a raconté Ali Khan, un serveur de l'hôtel.
Les Nations unies participent activement aux secours en faveur des 2,5 millions de personnes chassées de chez elles par les affrontements dans le nord-ouest du Pakistan.
Le secrétaire général de l'Onu, Ban Ki-moon, a condamné "une odieuse attaque terroriste que rien ne peut justifier".
Vendredi dernier, un attentat avait fait une quarantaine de morts au moment de la grande prière hebdomadaire dans une mosquée du district du Haut-Dir, non loin du théâtre des combats.
Source: Reuters via Yahoo News
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