=Selon un porte-parole du ministère, le journaliste, Malik Akhmedilov, a été retrouvé mort mardi dans sa voiture, abattu d'une balle dans la tête.
Les assassinats de journalistes et militants des droits de l'homme se multiplient dans le Nord-Caucase, comprenant la Tchétchénie. La dirigeante de l'ONG "Sauvons la Génération", Zarema Sadoulaïeva, et son mari ont été retrouvés assassinés mardi près de la capitale tchétchène Grozny, au lendemain de leur enlèvement par des inconnus.
"La situation des défenseurs des droits de l'homme en Tchétchénie et dans toute la région du Caucase du Nord devient insoutenable. La menace qui pèse sur ces militants ne peut plus être tolérée dans un Etat membre du Conseil de l'Europe. Nous comptons demander à l'Assemblée de se saisir de cette affaire au plus vite", a commenté mardi le Président de l'Assemblée parlementaire du Conseil de l'Europe (APCE), Lluís Maria de Puig.
Le 15 juillet, la militante de l'organisation de défense des droits de l'homme Memorial Natalia Estemirova, qui enquêtait sur les enlèvements, exécutions et assassinats de masse en Tchétchénie, a été enlevée en plein Grozny. Elle a été retrouvée morte avec deux balles dans la tête sur le bord d'une route en Ingouchie, la république voisine, quelques heures plus tard.
Les défenseurs des droits de l'homme ont mis en cause les forces de sécurité du président tchétchène pro-russe Ramzan Kadirov, également montrées du doigt pour de nombreuses exactions commises dans la république, ainsi qu'après l'assassinat de la journaliste d'opposition Anna Politkovskaïa à Moscou en 2006.
"Notre appel aux autorités suite à l'assassinat de Natalia Estemirova, le mois dernier, est resté lettre morte. Les auteurs de ces crimes doivent être retrouvés et traduits en justice. L'illégalité et l'impunité en Tchétchénie et dans toute la région du Caucase du Nord doivent être combattues: il y va de la crédibilité et de la responsabilité des autorités", a souligné l'APCE.
Source: Associated Presse via Yahoo News
Les assassinats de journalistes et militants des droits de l'homme se multiplient dans le Nord-Caucase, comprenant la Tchétchénie. La dirigeante de l'ONG "Sauvons la Génération", Zarema Sadoulaïeva, et son mari ont été retrouvés assassinés mardi près de la capitale tchétchène Grozny, au lendemain de leur enlèvement par des inconnus.
"La situation des défenseurs des droits de l'homme en Tchétchénie et dans toute la région du Caucase du Nord devient insoutenable. La menace qui pèse sur ces militants ne peut plus être tolérée dans un Etat membre du Conseil de l'Europe. Nous comptons demander à l'Assemblée de se saisir de cette affaire au plus vite", a commenté mardi le Président de l'Assemblée parlementaire du Conseil de l'Europe (APCE), Lluís Maria de Puig.
Le 15 juillet, la militante de l'organisation de défense des droits de l'homme Memorial Natalia Estemirova, qui enquêtait sur les enlèvements, exécutions et assassinats de masse en Tchétchénie, a été enlevée en plein Grozny. Elle a été retrouvée morte avec deux balles dans la tête sur le bord d'une route en Ingouchie, la république voisine, quelques heures plus tard.
Les défenseurs des droits de l'homme ont mis en cause les forces de sécurité du président tchétchène pro-russe Ramzan Kadirov, également montrées du doigt pour de nombreuses exactions commises dans la république, ainsi qu'après l'assassinat de la journaliste d'opposition Anna Politkovskaïa à Moscou en 2006.
"Notre appel aux autorités suite à l'assassinat de Natalia Estemirova, le mois dernier, est resté lettre morte. Les auteurs de ces crimes doivent être retrouvés et traduits en justice. L'illégalité et l'impunité en Tchétchénie et dans toute la région du Caucase du Nord doivent être combattues: il y va de la crédibilité et de la responsabilité des autorités", a souligné l'APCE.
Source: Associated Presse via Yahoo News