Au moins 127 soldats, issus de diverses formations de l’armée à travers le Nigeria, ont rendu leur démission. Cette démission en masse intervient dans un contexte où les problèmes de sécurité sont grandissants dans certaines régions du pays. Selon les informations, ces soldats sont pour la plupart à l’avant-garde sur le terrain et combattent les insurgés islamistes de Boko Haram.
Selon un rapport de l'Organisation des Nations unies, l’insurrection de Boko Haram, née en 2009 dans le nord-est du Nigeria a fait plus de 36 000 morts (principalement au Nigeria) avec plusieurs dizaines de soldats. Le groupe terroriste a également contraint plus de 3 millions à fuir leur domicile.
Face à l’acharnement du groupe terroriste, plusieurs soldats nigérians ont préféré se désengager. D’après le média en ligne Premium Time, le chef d’État-major de l’armée, Tukur Buratai, aurait depuis approuvé leur désengagement officiel.
Une note signée par un Général de brigade stipule que les 127 soldats qui présentent leur démission doivent soumettre toutes les propriétés militaires en leur possession.
« Conformément aux dispositions de la section A, le COAS, sous la référence B, a approuvé la libération volontaire du NWO susmentionné et des 126 autres personnes énumérées à l’annexe A. Les soldats doivent poursuivre leur congé définitif du WEF le 26 avril 21. La date de leur désengagement prend effet le 26 mai 21, conformément aux politiques et procédures administratives de NA n ° 27, paragraphes 3 et 4 », lit-on dans la note.
Rappelons qu’en février 2020, le gouverneur de l'une des régions les plus touchées par les attaques de Boko Haram avait déclaré que l'armée nigériane aurait besoin de plus d'effectifs pour neutraliser les militants de Boko Haram. Espérons que ces récentes démissions de masse n’encouragent pas Boko Haram à faire encore plus de victimes.
Selon un rapport de l'Organisation des Nations unies, l’insurrection de Boko Haram, née en 2009 dans le nord-est du Nigeria a fait plus de 36 000 morts (principalement au Nigeria) avec plusieurs dizaines de soldats. Le groupe terroriste a également contraint plus de 3 millions à fuir leur domicile.
Face à l’acharnement du groupe terroriste, plusieurs soldats nigérians ont préféré se désengager. D’après le média en ligne Premium Time, le chef d’État-major de l’armée, Tukur Buratai, aurait depuis approuvé leur désengagement officiel.
Une note signée par un Général de brigade stipule que les 127 soldats qui présentent leur démission doivent soumettre toutes les propriétés militaires en leur possession.
« Conformément aux dispositions de la section A, le COAS, sous la référence B, a approuvé la libération volontaire du NWO susmentionné et des 126 autres personnes énumérées à l’annexe A. Les soldats doivent poursuivre leur congé définitif du WEF le 26 avril 21. La date de leur désengagement prend effet le 26 mai 21, conformément aux politiques et procédures administratives de NA n ° 27, paragraphes 3 et 4 », lit-on dans la note.
Rappelons qu’en février 2020, le gouverneur de l'une des régions les plus touchées par les attaques de Boko Haram avait déclaré que l'armée nigériane aurait besoin de plus d'effectifs pour neutraliser les militants de Boko Haram. Espérons que ces récentes démissions de masse n’encouragent pas Boko Haram à faire encore plus de victimes.
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