Elle a un petit air de Victoria Principal, la douce Pamela Ewing de Dallas. Belle et élégante. Résolument glamour. Elle a délaissé les tailleurs stricts pour des pièces signées Prada ou Versace. Pourtant, Cristina Kirchner est loin d’être une première dame de presse people. Pressentie par les observateurs et les sondeurs comme la grande gagnante, probablement dès le premier tour, de l’élection présidentielle du lundi 29 octobre prochain, elle a construit sa propre carrière politique en parallèle de celle de son mari, Néstor Kirchner, président argentin élu en 2003.
Ils se rencontrent à l’université en 1974. Tous deux préparent leur diplôme d’avocat et militent aux Jeunesses péronistes. Le populiste Juan Perón vient de mourir et Isabel, sa troisième femme, lui succède au pouvoir. Une première pour l’Argentine. En marge de sa carrière d’avocate et de son rôle de mère, Cristina se fait élire députée pour la première fois en 1989, puis sénatrice de la province de Santa Cruz en 2001.
De son côté, Le Courrier International rappelle:
''Il y a quatre ans, personne ne donnait cher de l'Argentine. Le pays était plongé dans une crise profonde. Le chômage touchait plus de 20 % de la population. Les économies de beaucoup d'Argentins avaient été avalées par la déroute financière. Les files d'attente de candidats à l'émigration s'allongeaient devant les consulats de Buenos Aires. La pauvreté avait explosé.
Et, quatre ans plus tard, à lire la presse locale, le pays a radicalement changé. La Nación rappelle ainsi que le chômage ne touche plus que 7,7 % de la population – trois fois moins qu'il y a quatre ans. Et, en août dernier, la croissance atteignait un rythme de 9 % l'an. ''
Ils se rencontrent à l’université en 1974. Tous deux préparent leur diplôme d’avocat et militent aux Jeunesses péronistes. Le populiste Juan Perón vient de mourir et Isabel, sa troisième femme, lui succède au pouvoir. Une première pour l’Argentine. En marge de sa carrière d’avocate et de son rôle de mère, Cristina se fait élire députée pour la première fois en 1989, puis sénatrice de la province de Santa Cruz en 2001.
De son côté, Le Courrier International rappelle:
''Il y a quatre ans, personne ne donnait cher de l'Argentine. Le pays était plongé dans une crise profonde. Le chômage touchait plus de 20 % de la population. Les économies de beaucoup d'Argentins avaient été avalées par la déroute financière. Les files d'attente de candidats à l'émigration s'allongeaient devant les consulats de Buenos Aires. La pauvreté avait explosé.
Et, quatre ans plus tard, à lire la presse locale, le pays a radicalement changé. La Nación rappelle ainsi que le chômage ne touche plus que 7,7 % de la population – trois fois moins qu'il y a quatre ans. Et, en août dernier, la croissance atteignait un rythme de 9 % l'an. ''
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