"J'ai fait mon travail, rien que mon travail de journaliste", a-t-il déclaré à la presse avant d'embarquer pour Paris à bord de l'avion du président français Nicolas Sarkozy qui a effectué une visite éclair à N'Djamena.
Jean-Daniel Guillou ainsi que Marc Garmirian, journaliste à l'agence Capa, et Marie-Agnès Peleran, de la chaîne de télévision publique France 3, avaient été arrêtés le 25 octobre à Abéché (est du Tchad).
Ces journalistes ont été libérés dimanche avec quatre hôtesses de l'air espagnoles, également inculpées dans cette affaire.
Ces sept personnes sont inculpées avec 10 autres Européens et quatre responsables tchadiens "d'enlèvement de mineurs", "d'escroquerie" ou de "complicité" dans la tentative de transport de 103 enfants du Tchad vers la France organisée par l'association française Arche de Zoé.
Jean-Daniel Guillou a encore estimé que les membres de cette association étaient "des idéalistes" avec "un bon fond".
Il a souligné que les enfants qui devaient partir pour la France étaient destinés à des "familles d'accueil" et non à être adoptés, et que l'Arche de Zoé avait pour eux des "documents officiels" établis par les chefs de village.
Plus tôt, l compagne du photographe de l'agence Synchro X, l'un des trois journalistes français libérés au Tchad dans le cadre de l'affaire de l'Arche de Zoé, d'est dite dimanche soulagée, évoquant la fin d'un "cauchemar".
Samedi, "j'ai eu le président de la République (au téléphone) et je savais qu'il descendait (à N'Djamena) et que de toute façon, il ne reviendrait pas sans eux", a raconté à l'AFP Marie-Christine Goossens, basée à Angoulême et qui devait accueillir Jean-Noël Guillou à sa descente d'avion, en compagnie de ses trois enfants et deux membres du collectif Synchro X.
"Cela m'a enlevé un poids (...) Il me tarde de le revoir et de l'avoir en face de moi", a-t-elle expliqué, évoquant le "cauchemar" vécu depuis le 25 octobre, date à laquelle les trois journalistes et les six membres français de l'Arche de Zoé ont été arrêtés à Abéché (Tchad), en compagnie de sept autres Européens.
Marc Garmirian (agence Capa TV), Jean-Daniel Guillou (agence Synchro X) et Marie-Agnès Peleran (France 3 Méditerranée) ont été remis en liberté dimanche.
Ils ont quitté le Tchad dimanche après-midi en compagnie du président Nicolas Sarkozy, qui a effectué une visite éclair de deux heures à N'Djamena, et des quatre hôtesses de l'air espagnoles également inculpées dans l'enquête sur la tentative de transport en France de 103 enfants par l'Arche de Zoé.
M. Sarkozy a "souhaité" dimanche à N'Djamena que les neuf Français inculpés au Tchad (six bénévoles de l'association incarcérés à N'Djamena et les trois journalistes libérés) soient jugés dans leur pays.
http://www.edicom.ch
Jean-Daniel Guillou ainsi que Marc Garmirian, journaliste à l'agence Capa, et Marie-Agnès Peleran, de la chaîne de télévision publique France 3, avaient été arrêtés le 25 octobre à Abéché (est du Tchad).
Ces journalistes ont été libérés dimanche avec quatre hôtesses de l'air espagnoles, également inculpées dans cette affaire.
Ces sept personnes sont inculpées avec 10 autres Européens et quatre responsables tchadiens "d'enlèvement de mineurs", "d'escroquerie" ou de "complicité" dans la tentative de transport de 103 enfants du Tchad vers la France organisée par l'association française Arche de Zoé.
Jean-Daniel Guillou a encore estimé que les membres de cette association étaient "des idéalistes" avec "un bon fond".
Il a souligné que les enfants qui devaient partir pour la France étaient destinés à des "familles d'accueil" et non à être adoptés, et que l'Arche de Zoé avait pour eux des "documents officiels" établis par les chefs de village.
Plus tôt, l compagne du photographe de l'agence Synchro X, l'un des trois journalistes français libérés au Tchad dans le cadre de l'affaire de l'Arche de Zoé, d'est dite dimanche soulagée, évoquant la fin d'un "cauchemar".
Samedi, "j'ai eu le président de la République (au téléphone) et je savais qu'il descendait (à N'Djamena) et que de toute façon, il ne reviendrait pas sans eux", a raconté à l'AFP Marie-Christine Goossens, basée à Angoulême et qui devait accueillir Jean-Noël Guillou à sa descente d'avion, en compagnie de ses trois enfants et deux membres du collectif Synchro X.
"Cela m'a enlevé un poids (...) Il me tarde de le revoir et de l'avoir en face de moi", a-t-elle expliqué, évoquant le "cauchemar" vécu depuis le 25 octobre, date à laquelle les trois journalistes et les six membres français de l'Arche de Zoé ont été arrêtés à Abéché (Tchad), en compagnie de sept autres Européens.
Marc Garmirian (agence Capa TV), Jean-Daniel Guillou (agence Synchro X) et Marie-Agnès Peleran (France 3 Méditerranée) ont été remis en liberté dimanche.
Ils ont quitté le Tchad dimanche après-midi en compagnie du président Nicolas Sarkozy, qui a effectué une visite éclair de deux heures à N'Djamena, et des quatre hôtesses de l'air espagnoles également inculpées dans l'enquête sur la tentative de transport en France de 103 enfants par l'Arche de Zoé.
M. Sarkozy a "souhaité" dimanche à N'Djamena que les neuf Français inculpés au Tchad (six bénévoles de l'association incarcérés à N'Djamena et les trois journalistes libérés) soient jugés dans leur pays.
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