La rupture de digues sur la façade Atlantique a entraîné de multiples noyades dans les habitations, souvent sans étage, situées dans des lotissements construits à proximité de la mer. "Les pompiers sont en train d'effectuer des visites maison par maison, donc, malheureusement, ce bilan peut sans doute encore s'alourdir", a déclaré le ministre de l'Intérieur Brice Hortefeux sur France Info.
Selon les témoins, cette montée brutale s'est produite en quelques minutes, en pleine nuit de samedi à dimanche et a surpris les victimes dans leur sommeil. La catastrophe est imputée par plusieurs ministres et par les autorités officielles à la conjonction présentée comme exceptionnelle, voire historique, de trois phénomènes: des vents très violents allant jusqu'à 160 km/h, des marées très fortes et une dépression qui a accentué encore la montée des eaux.
L'arrêté de catastrophe naturelle, décision politique nécessaire aux indemnisations et à la prise en charge des dégâts des inondations par les assurances, sera pris très rapidement, a confirmé lundi Dominique Bussereau sur RTL.
Ce dernier a nié tout dysfonctionnement de l'Etat. "Très honnêtement, le préfet de la Charente-Maritime, qui est l'ancien directeur de la sécurité civile, avait fait tout ce qu'il fallait, les gens étaient prévenus", a-t-il dit. Son opposante socialiste Ségolène Royal, présidente de la région Poitou-Charentes, à qui il est opposée pour le scrutin régional en mars, s'est refusée aussi à toute critique de l'action préventive de l'Etat.
Reuters via Yahoo news: Thierry Lévêque, avec Claude Canellas et Guillaume Frouin, édité par Yves Clarisse
Selon les témoins, cette montée brutale s'est produite en quelques minutes, en pleine nuit de samedi à dimanche et a surpris les victimes dans leur sommeil. La catastrophe est imputée par plusieurs ministres et par les autorités officielles à la conjonction présentée comme exceptionnelle, voire historique, de trois phénomènes: des vents très violents allant jusqu'à 160 km/h, des marées très fortes et une dépression qui a accentué encore la montée des eaux.
L'arrêté de catastrophe naturelle, décision politique nécessaire aux indemnisations et à la prise en charge des dégâts des inondations par les assurances, sera pris très rapidement, a confirmé lundi Dominique Bussereau sur RTL.
Ce dernier a nié tout dysfonctionnement de l'Etat. "Très honnêtement, le préfet de la Charente-Maritime, qui est l'ancien directeur de la sécurité civile, avait fait tout ce qu'il fallait, les gens étaient prévenus", a-t-il dit. Son opposante socialiste Ségolène Royal, présidente de la région Poitou-Charentes, à qui il est opposée pour le scrutin régional en mars, s'est refusée aussi à toute critique de l'action préventive de l'Etat.
Reuters via Yahoo news: Thierry Lévêque, avec Claude Canellas et Guillaume Frouin, édité par Yves Clarisse
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