Pourtant, les écolier français commencent à suivre des cours d’anglais de plus en plus tôt avec des ateliers d’initiation dès l’âge de 7 ans, puis des cours d’anglais hebdomadaires à partir du collège jusqu’à la terminale. Les grandes écoles et universités imposent également des formations anglais et même des modules 100% anglophones pour assurer que leurs étudiants puissent travailler dans cette langue.
Alors, si une majorité des français, notamment parmi les plus jeunes générations, ont étudié l’anglais à un moment ou l’autre de leur scolarité et souvent durant plusieurs années, comment expliquer ce manque d’aisance à l’utiliser ? Voici en tout cas quelques conseils de bon sens pour améliorer votre anglais.
Bien que la grammaire soit généralement considérée comme l’un des aspects rébarbatif de l‘apprentissage d’une langue, son apprentissage est loin d’être superflu. Car si parler anglais est une chose, parler un anglais grammaticalement correct en est une autre. Même si vous conversez régulièrement avec des locuteurs natifs, ces derniers n’auront pas toujours le reflex (ni l’envie) de vous corriger.
Travailler votre prononciation est également crucial. Il est en effet particulièrement frustrant de parler avec un collègue ou ami anglophone et de ne pas se faire comprendre à cause d’une mauvaise prononciation. Rien ne sert d’être capable de formuler une phrase grammaticalement correcte si elle est tellement mal prononcée qu’elle en devient incompréhensible ou pire, que votre interlocuteur a l’impression que vous vous adressez à lui en français ! Pour améliorer votre prononciation et votre vocabulaire, n’hésitez pas à vous exposer au maximum à la langue anglaise. Visionner des films ou des séries en anglais, regarder les programmes de la BBC via internet ou la télévision par satellite. Dans un premier temps, l’idée est de vous faire l’oreille. La compréhension viendra ensuite, au fur et à mesure.
Vous n’avez peut-être pas envie de lire le Times ou The Economist en prenant votre café le matin. Mais pourquoi ne pas visiter sur internet des sites britanniques ou américains en relation avec un sujet qui vous passionne. Non seulement la motivation sera plus facile à trouver, mais la langue utilisée vous semblera plus simple à comprendre car les emprunts réciproques entre le français et l’anglais sont suffisamment nombreux pour vous permettre de reconnaître ici ou là du vocabulaire familier.
Il y a enfin l’option de reprendre des cours anglais. Cela représente naturellement un investissement plus lourd en temps et en argent mais peut vous apporter le petit plus de discipline dont vous aurez besoin si vous voulez sérieusement améliorer votre anglais.
Alors, si une majorité des français, notamment parmi les plus jeunes générations, ont étudié l’anglais à un moment ou l’autre de leur scolarité et souvent durant plusieurs années, comment expliquer ce manque d’aisance à l’utiliser ? Voici en tout cas quelques conseils de bon sens pour améliorer votre anglais.
Bien que la grammaire soit généralement considérée comme l’un des aspects rébarbatif de l‘apprentissage d’une langue, son apprentissage est loin d’être superflu. Car si parler anglais est une chose, parler un anglais grammaticalement correct en est une autre. Même si vous conversez régulièrement avec des locuteurs natifs, ces derniers n’auront pas toujours le reflex (ni l’envie) de vous corriger.
Travailler votre prononciation est également crucial. Il est en effet particulièrement frustrant de parler avec un collègue ou ami anglophone et de ne pas se faire comprendre à cause d’une mauvaise prononciation. Rien ne sert d’être capable de formuler une phrase grammaticalement correcte si elle est tellement mal prononcée qu’elle en devient incompréhensible ou pire, que votre interlocuteur a l’impression que vous vous adressez à lui en français ! Pour améliorer votre prononciation et votre vocabulaire, n’hésitez pas à vous exposer au maximum à la langue anglaise. Visionner des films ou des séries en anglais, regarder les programmes de la BBC via internet ou la télévision par satellite. Dans un premier temps, l’idée est de vous faire l’oreille. La compréhension viendra ensuite, au fur et à mesure.
Vous n’avez peut-être pas envie de lire le Times ou The Economist en prenant votre café le matin. Mais pourquoi ne pas visiter sur internet des sites britanniques ou américains en relation avec un sujet qui vous passionne. Non seulement la motivation sera plus facile à trouver, mais la langue utilisée vous semblera plus simple à comprendre car les emprunts réciproques entre le français et l’anglais sont suffisamment nombreux pour vous permettre de reconnaître ici ou là du vocabulaire familier.
Il y a enfin l’option de reprendre des cours anglais. Cela représente naturellement un investissement plus lourd en temps et en argent mais peut vous apporter le petit plus de discipline dont vous aurez besoin si vous voulez sérieusement améliorer votre anglais.