M. Bouteflika, 71 ans, élu en 1999 puis réélu en 2004, qui avait annoncé le 12 février sa candidature comme indépendant pour un troisième quinquennat, a déposé son dossier lundi après-midi.
Les partis de l'Alliance présidentielle et des associations de la société civile ont récolté "4.038.000 signatures de citoyens, soit trois fois plus qu'en 2004, et 11.736 signatures d'élus locaux", en faveur M. Bouteflika, a indiqué un communiqué de la direction de campagne du chef d'Etat, selon l'agence APS.
L'Alliance présidentielle est composée du Front de libération nationale (FLN, nationaliste), du Rassemblement national démocratique (RND, libéral) et du Mouvement de la société pour la paix (MSP, islamique).
Pour faire valider leur candidature, les prétendants doivent recueillir la signature de 600 élus issus de 25 wilayas (départements) sur les 48 que compte le pays, ou celle de 75.000 électeurs votant dans l'une de ces 25 wilayas.
Les candidats avaient jusqu'à lundi minuit pour déposer leur dossier au conseil constitutionnel, qui rendra publique la liste définitive des prétendants dans un délai de dix jours. Dix autres candidats à la présidentielle avaient déjà lundi soir leur dossier au Conseil constitutionnel.
La secrétaire générale du Parti des Travailleurs (PT, gauche), Louisa Hanoune, l'a fait lundi, avec 140.850 signatures de citoyens et 996 d'élus locaux de 47 wilayas, a-t-elle indiqué.
Le même jour, le président du Mouvement El Infitah, Omar Bouacha, l'a imitée faisant état de plus de "75.000 formulaires signés par les citoyens en sus des formulaires signés par les élus" ainsi que Rachid Bouaziz, 42 ans, un indépendant qui se présente pour la première fois.
Mohamed Hadef, président du Mouvement national d'espérance (MNE, nationaliste, Fawzi Rebaine, président de l'AHD 54 (nationaliste) et Loth Bonatiro (indépendant), ont accompli cette formalité dans la soirée, ainsi que Belaïd Mohand Oussaid dit Mohamed Saïd. Candidat de l'opposition islamiste, celui-ci vient de créer le Parti liberté et justice (PJL) qui n'est pas agréé par les autorités.
La veille, le président du Rassemblement algérien (RA), Ali Zeghdoud et le secrétaire général du Mouvement El Islah (islamique), Mohamed Djahid Younsi avaient déposé leur dossier, précédés jeudi dernier par le président du Front national algérien (FNA, nationaliste), Moussa Touati.
Source: Yahoo News
Les partis de l'Alliance présidentielle et des associations de la société civile ont récolté "4.038.000 signatures de citoyens, soit trois fois plus qu'en 2004, et 11.736 signatures d'élus locaux", en faveur M. Bouteflika, a indiqué un communiqué de la direction de campagne du chef d'Etat, selon l'agence APS.
L'Alliance présidentielle est composée du Front de libération nationale (FLN, nationaliste), du Rassemblement national démocratique (RND, libéral) et du Mouvement de la société pour la paix (MSP, islamique).
Pour faire valider leur candidature, les prétendants doivent recueillir la signature de 600 élus issus de 25 wilayas (départements) sur les 48 que compte le pays, ou celle de 75.000 électeurs votant dans l'une de ces 25 wilayas.
Les candidats avaient jusqu'à lundi minuit pour déposer leur dossier au conseil constitutionnel, qui rendra publique la liste définitive des prétendants dans un délai de dix jours. Dix autres candidats à la présidentielle avaient déjà lundi soir leur dossier au Conseil constitutionnel.
La secrétaire générale du Parti des Travailleurs (PT, gauche), Louisa Hanoune, l'a fait lundi, avec 140.850 signatures de citoyens et 996 d'élus locaux de 47 wilayas, a-t-elle indiqué.
Le même jour, le président du Mouvement El Infitah, Omar Bouacha, l'a imitée faisant état de plus de "75.000 formulaires signés par les citoyens en sus des formulaires signés par les élus" ainsi que Rachid Bouaziz, 42 ans, un indépendant qui se présente pour la première fois.
Mohamed Hadef, président du Mouvement national d'espérance (MNE, nationaliste, Fawzi Rebaine, président de l'AHD 54 (nationaliste) et Loth Bonatiro (indépendant), ont accompli cette formalité dans la soirée, ainsi que Belaïd Mohand Oussaid dit Mohamed Saïd. Candidat de l'opposition islamiste, celui-ci vient de créer le Parti liberté et justice (PJL) qui n'est pas agréé par les autorités.
La veille, le président du Rassemblement algérien (RA), Ali Zeghdoud et le secrétaire général du Mouvement El Islah (islamique), Mohamed Djahid Younsi avaient déposé leur dossier, précédés jeudi dernier par le président du Front national algérien (FNA, nationaliste), Moussa Touati.
Source: Yahoo News
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