Plusieurs contrats doivent être signés ou confirmés pendant le séjour de M. Sarkozy. Le groupe pétrolier Total doit annoncer un investissement de 1,5 milliard de dollars dans un vapocraqueur à Arzew (ouest), en partenariat avec le groupe public algérien Sonatrach.
Gaz de France doit investir un milliard de dollars dans un gisement gazier et reconduire jusqu'en 2019 ses contrats d'approvisionnement en gaz algérien. L'Algérie est le 3e fournisseur de gaz de la France, après la Norvège et les Pays Bas, avant la Russie.
Un contrat sur le nucléaire civil doit également être signé. Il porterait essentiellement sur la formation et les échanges d'expériences, notamment dans la sécurité nucléaire, précise-t-on de source française.
La président du Forum des chefs d'entreprises (FCE, un des principaux syndicats patronaux algériens), Réda Hamiani, dans une déclaration au quotidien Liberté, a souhaité la création d'une "zone franche industrielle" pour favoriser l'investissement industriel français en Algérie, "point faible", selon Alger, de la coopération entre les deux pays.
M. Sarkozy a été accueilli un peu vers 16h30 à sa descente d'avion à l'aéroport Houari Boumediene par son homologue algérien Abdelaziz Bouteflika. La capitale algérienne a été redécorée pour l'occasion aux couleurs française et algérienne, avec des portraits de Nicolas Sarkozy et d'Abdelaziz Bouteflika le long des principales artères.
Le chef de l'Etat est escorté par huit ministres et secrétaire d'Etat, dont Rachida Dati (Justice) et Fadela Amara (Ville), et quelque 120 chefs d'entreprises, dont de nombreuses PME. Il espère en effet revenir avec pour cinq milliards d'euros de contrats.
Gaz de France doit investir un milliard de dollars dans un gisement gazier et reconduire jusqu'en 2019 ses contrats d'approvisionnement en gaz algérien. L'Algérie est le 3e fournisseur de gaz de la France, après la Norvège et les Pays Bas, avant la Russie.
Un contrat sur le nucléaire civil doit également être signé. Il porterait essentiellement sur la formation et les échanges d'expériences, notamment dans la sécurité nucléaire, précise-t-on de source française.
La président du Forum des chefs d'entreprises (FCE, un des principaux syndicats patronaux algériens), Réda Hamiani, dans une déclaration au quotidien Liberté, a souhaité la création d'une "zone franche industrielle" pour favoriser l'investissement industriel français en Algérie, "point faible", selon Alger, de la coopération entre les deux pays.
M. Sarkozy a été accueilli un peu vers 16h30 à sa descente d'avion à l'aéroport Houari Boumediene par son homologue algérien Abdelaziz Bouteflika. La capitale algérienne a été redécorée pour l'occasion aux couleurs française et algérienne, avec des portraits de Nicolas Sarkozy et d'Abdelaziz Bouteflika le long des principales artères.
Le chef de l'Etat est escorté par huit ministres et secrétaire d'Etat, dont Rachida Dati (Justice) et Fadela Amara (Ville), et quelque 120 chefs d'entreprises, dont de nombreuses PME. Il espère en effet revenir avec pour cinq milliards d'euros de contrats.
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