Sur ce sujet, Ahmadinejad s'est borné à dire que l'Iran défendait son « droit légitime et légal », une formule qu'il emploie fréquemment à propos du droit à l'énergie nucléaire.
Il a également appelé à « l'éradication de la course aux armements et l'élimination de toutes les armes nucléaires, chimiques et biologiques, afin que toutes les nations puissent un jour avoir accès à des technologies avancées et pacifiques ».
« Notre nation est prête à serrer toutes les mains qui se tendrons vers nous », a-t-il ajouté dans son intervention, moins polémique que celles de ses précédents passages à la même tribune.
Sans surprise, son discours a surtout suscité des réactions lorsqu'il s'en est pris à Israël, cible récurrente des dirigeants de la République islamique.
Face aux délégués des États-membres de l'ONU, Ahmadinejad a appelé la communauté internationale à se désolidariser d'Israël, dont il a fustigé les actions dans les territoires palestiniens.
« Le réveil des nations et l'expansion de la liberté dans le monde ne les autoriseront plus à perpétuer leur comportement hypocrite et cruel », a-t-il affirmé à propos des dirigeants de l'État juif.
« Comment peut-on imaginer que leur politique inhumaine en Palestine se poursuivra ? Comment les crimes de l'occupant contre des femmes et des enfants sans défense, les destructions de maisons, de fermes, d'hôpitaux, d'écoles, peuvent-ils être soutenus sans conditions par certains gouvernements ? », a poursuivi le dirigeant iranien.
« Il n'est plus acceptable qu'une petite minorité domine la politique, l'économie et la culture de la majeure partie du monde grâce à ses réseaux complexes, qu'elle établisse une nouvelle forme d'esclavage et nuise à la réputation d'autres nations, y compris des pays européens et des États-Unis, afin de satisfaire ses ambitions racistes », a-t-il ajouté.
Plusieurs délégations, dont celle des États-Unis, ont quitté la salle au moment où Ahmadinejad prononçait ces paroles qui désignaient manifestement la communauté juive.
L'amphithéâtre des Nations unies est resté au moins à moitié plein durant tout le discours, qui n'a globalement pas suscité beaucoup de réactions dans l'assistance.
Plus tôt dans la journée de mercredi, une manifestation contre la réélection contestée de Mahmoud Ahmadinejad avait eu lieu devant la représentation iranienne aux Nations unies.
Le président iranien a balayé les accusations de fraude qui entachent le scrutin présidentiel du 12 juin. L'opposition iranienne avait dénoncé des fraudes, et le vote avait été suivi des plus grandes manifestations jamais vues à Téhéran depuis 1979.
« Notre nation a connu une élection glorieuse et absolument démocratique, qui a ouvert un nouveau chapitre pour notre pays dans sa marche vers le progrès et une meilleur intégration internationale », a-t-il affirmé.
Source: Reuters via Yahoo News
Il a également appelé à « l'éradication de la course aux armements et l'élimination de toutes les armes nucléaires, chimiques et biologiques, afin que toutes les nations puissent un jour avoir accès à des technologies avancées et pacifiques ».
« Notre nation est prête à serrer toutes les mains qui se tendrons vers nous », a-t-il ajouté dans son intervention, moins polémique que celles de ses précédents passages à la même tribune.
Sans surprise, son discours a surtout suscité des réactions lorsqu'il s'en est pris à Israël, cible récurrente des dirigeants de la République islamique.
Face aux délégués des États-membres de l'ONU, Ahmadinejad a appelé la communauté internationale à se désolidariser d'Israël, dont il a fustigé les actions dans les territoires palestiniens.
« Le réveil des nations et l'expansion de la liberté dans le monde ne les autoriseront plus à perpétuer leur comportement hypocrite et cruel », a-t-il affirmé à propos des dirigeants de l'État juif.
« Comment peut-on imaginer que leur politique inhumaine en Palestine se poursuivra ? Comment les crimes de l'occupant contre des femmes et des enfants sans défense, les destructions de maisons, de fermes, d'hôpitaux, d'écoles, peuvent-ils être soutenus sans conditions par certains gouvernements ? », a poursuivi le dirigeant iranien.
« Il n'est plus acceptable qu'une petite minorité domine la politique, l'économie et la culture de la majeure partie du monde grâce à ses réseaux complexes, qu'elle établisse une nouvelle forme d'esclavage et nuise à la réputation d'autres nations, y compris des pays européens et des États-Unis, afin de satisfaire ses ambitions racistes », a-t-il ajouté.
Plusieurs délégations, dont celle des États-Unis, ont quitté la salle au moment où Ahmadinejad prononçait ces paroles qui désignaient manifestement la communauté juive.
L'amphithéâtre des Nations unies est resté au moins à moitié plein durant tout le discours, qui n'a globalement pas suscité beaucoup de réactions dans l'assistance.
Plus tôt dans la journée de mercredi, une manifestation contre la réélection contestée de Mahmoud Ahmadinejad avait eu lieu devant la représentation iranienne aux Nations unies.
Le président iranien a balayé les accusations de fraude qui entachent le scrutin présidentiel du 12 juin. L'opposition iranienne avait dénoncé des fraudes, et le vote avait été suivi des plus grandes manifestations jamais vues à Téhéran depuis 1979.
« Notre nation a connu une élection glorieuse et absolument démocratique, qui a ouvert un nouveau chapitre pour notre pays dans sa marche vers le progrès et une meilleur intégration internationale », a-t-il affirmé.
Source: Reuters via Yahoo News
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