Hamid Karzaï est donné favori de ce scrutin, la deuxième présidentielle depuis que les troupes alliées ont envahi l'Afghanistan et renversé les talibans fin 2001.
Ses adversaires les plus sérieux sont l'ancien ministre des Finances Ashraf Ghani et l'ex-ministre des Affaires étrangères Abdullah Abdullah.
Lors de la première présidentielle, en 2004, 18 candidats s'étaient présentés. Hamid Karzaï avait été élu dès le premier tour avec 55% des voix. Yunus Qanooni était arrivé deuxième avec 16% des suffrages. Aujourd'hui président de la chambre basse, Yunus Qanooni ne se présente pas à la présidentielle d'août.
En annonçant samedi la liste des 41 candidats, le président de la commission électorale Azizullah Lodin a déploré le manque de qualifications d'un certain nombre d'entre eux.
"Personnellement, j'ai honte lorsque je demande à quelqu'un s'il sait lire et qu'il me répond non. Je lui demande s'il a une expérience professionnelle et il me répond non. Je lui demande s'il a été mollah dans une mosquée et il me répond non. Et maintenant il vient, il s'inscrit et il veut être président de l'Afghanistan. C'est vraiment honteux", a estimé Azizullah Lodin.
Source: Associated Presse via Yahoo News
Ses adversaires les plus sérieux sont l'ancien ministre des Finances Ashraf Ghani et l'ex-ministre des Affaires étrangères Abdullah Abdullah.
Lors de la première présidentielle, en 2004, 18 candidats s'étaient présentés. Hamid Karzaï avait été élu dès le premier tour avec 55% des voix. Yunus Qanooni était arrivé deuxième avec 16% des suffrages. Aujourd'hui président de la chambre basse, Yunus Qanooni ne se présente pas à la présidentielle d'août.
En annonçant samedi la liste des 41 candidats, le président de la commission électorale Azizullah Lodin a déploré le manque de qualifications d'un certain nombre d'entre eux.
"Personnellement, j'ai honte lorsque je demande à quelqu'un s'il sait lire et qu'il me répond non. Je lui demande s'il a une expérience professionnelle et il me répond non. Je lui demande s'il a été mollah dans une mosquée et il me répond non. Et maintenant il vient, il s'inscrit et il veut être président de l'Afghanistan. C'est vraiment honteux", a estimé Azizullah Lodin.
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