Yoplait passe aux mains des américains
Le groupe Yoplait va passer sous le contrôle de l'américain General Mills, mais le géant de l'agroalimentaire s'est engagé à maintenir en France le siège social et les usines du numéro deux mondial des produits laitiers frais.
Dans un communiqué publié vendredi, les ministres français de l'Economie et de l'Agriculture ont souligné que le gouvernement veillerait à ce que les emplois ainsi que l'avenir de la filière laitière en France soient préservés.
La marque à la fleur est déjà leader du yaourt aux États-Unis, où elle est commercialisée par General Mills dans le cadre d'un accord de licence remontant à 1977. En France, elle est connue pour les produits Calin, Petits filous ou Yop.
Affaire joggeuse disparue: l'homme relâché
Un homme d'une quarantaine d'années a été interrogé sur la disparition de Patricia Bouchon, survenue le 14 février en Haute-Garonne alors qu'elle faisait son footing quotidien. Placé un temps en garde à vue, il a été relâché vendredi après-midi.
Plus d'un mois après la mystérieuse disparition de Patricia Bouchon à Bouloc (Haute-Garonne), les enquêteurs croyaient tenir une piste avec l'interpellation et la garde à vue d'un nouvel homme d'une quarantaine d'années. Mais ce dernier a été relâché vendredi après-midi sans qu'aucune charge ne soit retenue contre lui.
L'homme avait été interpellé jeudi matin à son domicile, situé dans une commune proche de Bouloc. Il n'est pas connu des services de police et de gendarmerie. Son domicile et son véhicule ont été perquisitionnés jeudi par les enquêteurs. Le procureur de la République s'était montré très prudent concernant la garde à vue de cet homme. «Cette garde à vue intervient dans le cadre de la procédure conduite par le juge d'instruction mais on ne peut pas en tirer de conclusions», avait-il déclaré. «Nous procédons à des vérifications». Des témoignages avaient signalé la présence de cet homme aux abords de l'endroit où Patricia Bouchon a disparu et dans le même créneau horaire.
Libye: l'armée française, mobilisée, attend les ordres
En attendant les ordres donnés en plus haut lieu, l'armée française se déclarait vendredi fin prête à une éventuelle intervention en Libye, située à moins de deux heures de vol et un jour et demi de mer de son territoire.
Plusieurs pays, dont la France, ont lancé le compte à rebours d'une intervention militaire en Libye après le feu vert délivré la nuit dernière par l'Onu et malgré l'annonce d'un cessez-le-feu par le régime de Mouammar Kadhafi.
Actuellement basé à Toulon, le porte-avions français Charles-de-Gaulle se tient prêt, de même que le groupe aéronaval - un sous-marin, une demi-douzaine de bateaux et une quinzaine d'avions de chasse - appelé à l'accompagner s'il devait prendre la mer.
Situé à un jour et demi de mer des côtes libyennes, le port varois accueille environ les deux-tiers de la force d'action navale de l'armée française à quai.
Deux morts et un disparu dans les avalanches des Alpes
Deux hommes sont morts et une personne a été portée disparue dans une série d'avalanches vendredi dans les Alpes, alors que les autorités appellent les amateurs de montagne à la vigilance.
Un Suédois de 45 ans qui pratiquait du hors piste, à «l'Envers de Cugnaï» à Val d'Isère (Savoie), a déclenché une avalanche. Il a été transporté à l'hôpital de Grenoble et est décédé, ont indiqué les gendarmes de haute-montagne.
A Ceillac (Hautes-Alpes), un homme qui faisait du ski de randonnée à plus de 2.000 mètres d'altitude a été enseveli sous une coulée. La femme qui l'accompagnait a pu le localiser mais il était trop tard. Enfin, à Méribel (Savoie), au Mont du Vallon, des témoins ont vu une personne qui pratiquait du ski hors piste disparaître, emportée par une plaque de 200-300 mètres de large sur 400 de long qui a fini sa course dans le Lac du Borgne.
Une centaine de moniteurs et pisteurs ainsi que cinq chiens et deux médecins se sont rendus sur place mais le disparu n'a pu être retrouvé pour l'instant.
Woippy en Moselle: mort d'un chauffeur-livreur
Cinq personnes ont été mises en examen dans le cadre de l'enquête sur le meurtre d'un chauffeur-livreur tué dans un hold-up le 20 février à Woippy (Moselle), a-t-on appris vendredi de source judiciaire. Elles ont été placées en détention provisoire conformément aux réquisitions du parquet de Metz.
Un homme de 19 ans a été mis en examen pour "meurtre et tentative de meurtre au cours d'une tentative de vol à main armée". Il est soupçonné d'avoir tiré sur un chauffeur-livreur de 45 ans qui venait de récupérer la recette de distributeurs automatiques alimentaires à Woippy. Un vigile qui l'accompagnait avait été gravement blessé au visage et dans le bas du dos par les tirs d'un fusil à pompe. Pris de panique, les malfaiteurs, qui ne seraient pas des délinquants chevronnés, s'étaient enfuis sans emporter la recette estimée à 30.000 euros.
L'ADN du suspect, qui nie les faits, avait été retrouvé sur un blouson et sur une cagoule découverts non loin des lieux du meurtre. En outre, l'attaque avait été filmée par une caméra de vidéo surveillance.
Trois hommes âgés de 20 à 24 ans ont été mis en examen pour "complicité de tentative de vol à main armée". Une jeune femme a également été mise en examen, pour "non-dénonciation de crime".
Source: Yahoo News
Le groupe Yoplait va passer sous le contrôle de l'américain General Mills, mais le géant de l'agroalimentaire s'est engagé à maintenir en France le siège social et les usines du numéro deux mondial des produits laitiers frais.
Dans un communiqué publié vendredi, les ministres français de l'Economie et de l'Agriculture ont souligné que le gouvernement veillerait à ce que les emplois ainsi que l'avenir de la filière laitière en France soient préservés.
La marque à la fleur est déjà leader du yaourt aux États-Unis, où elle est commercialisée par General Mills dans le cadre d'un accord de licence remontant à 1977. En France, elle est connue pour les produits Calin, Petits filous ou Yop.
Affaire joggeuse disparue: l'homme relâché
Un homme d'une quarantaine d'années a été interrogé sur la disparition de Patricia Bouchon, survenue le 14 février en Haute-Garonne alors qu'elle faisait son footing quotidien. Placé un temps en garde à vue, il a été relâché vendredi après-midi.
Plus d'un mois après la mystérieuse disparition de Patricia Bouchon à Bouloc (Haute-Garonne), les enquêteurs croyaient tenir une piste avec l'interpellation et la garde à vue d'un nouvel homme d'une quarantaine d'années. Mais ce dernier a été relâché vendredi après-midi sans qu'aucune charge ne soit retenue contre lui.
L'homme avait été interpellé jeudi matin à son domicile, situé dans une commune proche de Bouloc. Il n'est pas connu des services de police et de gendarmerie. Son domicile et son véhicule ont été perquisitionnés jeudi par les enquêteurs. Le procureur de la République s'était montré très prudent concernant la garde à vue de cet homme. «Cette garde à vue intervient dans le cadre de la procédure conduite par le juge d'instruction mais on ne peut pas en tirer de conclusions», avait-il déclaré. «Nous procédons à des vérifications». Des témoignages avaient signalé la présence de cet homme aux abords de l'endroit où Patricia Bouchon a disparu et dans le même créneau horaire.
Libye: l'armée française, mobilisée, attend les ordres
En attendant les ordres donnés en plus haut lieu, l'armée française se déclarait vendredi fin prête à une éventuelle intervention en Libye, située à moins de deux heures de vol et un jour et demi de mer de son territoire.
Plusieurs pays, dont la France, ont lancé le compte à rebours d'une intervention militaire en Libye après le feu vert délivré la nuit dernière par l'Onu et malgré l'annonce d'un cessez-le-feu par le régime de Mouammar Kadhafi.
Actuellement basé à Toulon, le porte-avions français Charles-de-Gaulle se tient prêt, de même que le groupe aéronaval - un sous-marin, une demi-douzaine de bateaux et une quinzaine d'avions de chasse - appelé à l'accompagner s'il devait prendre la mer.
Situé à un jour et demi de mer des côtes libyennes, le port varois accueille environ les deux-tiers de la force d'action navale de l'armée française à quai.
Deux morts et un disparu dans les avalanches des Alpes
Deux hommes sont morts et une personne a été portée disparue dans une série d'avalanches vendredi dans les Alpes, alors que les autorités appellent les amateurs de montagne à la vigilance.
Un Suédois de 45 ans qui pratiquait du hors piste, à «l'Envers de Cugnaï» à Val d'Isère (Savoie), a déclenché une avalanche. Il a été transporté à l'hôpital de Grenoble et est décédé, ont indiqué les gendarmes de haute-montagne.
A Ceillac (Hautes-Alpes), un homme qui faisait du ski de randonnée à plus de 2.000 mètres d'altitude a été enseveli sous une coulée. La femme qui l'accompagnait a pu le localiser mais il était trop tard. Enfin, à Méribel (Savoie), au Mont du Vallon, des témoins ont vu une personne qui pratiquait du ski hors piste disparaître, emportée par une plaque de 200-300 mètres de large sur 400 de long qui a fini sa course dans le Lac du Borgne.
Une centaine de moniteurs et pisteurs ainsi que cinq chiens et deux médecins se sont rendus sur place mais le disparu n'a pu être retrouvé pour l'instant.
Woippy en Moselle: mort d'un chauffeur-livreur
Cinq personnes ont été mises en examen dans le cadre de l'enquête sur le meurtre d'un chauffeur-livreur tué dans un hold-up le 20 février à Woippy (Moselle), a-t-on appris vendredi de source judiciaire. Elles ont été placées en détention provisoire conformément aux réquisitions du parquet de Metz.
Un homme de 19 ans a été mis en examen pour "meurtre et tentative de meurtre au cours d'une tentative de vol à main armée". Il est soupçonné d'avoir tiré sur un chauffeur-livreur de 45 ans qui venait de récupérer la recette de distributeurs automatiques alimentaires à Woippy. Un vigile qui l'accompagnait avait été gravement blessé au visage et dans le bas du dos par les tirs d'un fusil à pompe. Pris de panique, les malfaiteurs, qui ne seraient pas des délinquants chevronnés, s'étaient enfuis sans emporter la recette estimée à 30.000 euros.
L'ADN du suspect, qui nie les faits, avait été retrouvé sur un blouson et sur une cagoule découverts non loin des lieux du meurtre. En outre, l'attaque avait été filmée par une caméra de vidéo surveillance.
Trois hommes âgés de 20 à 24 ans ont été mis en examen pour "complicité de tentative de vol à main armée". Une jeune femme a également été mise en examen, pour "non-dénonciation de crime".
Source: Yahoo News
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