À la poursuite de l'antimatière
Embarqué avec Endeavour, un détecteur à particules spatiales pourrait percer l'un des plus grands mystères scientifiques.
C'est son dernier voyage. Le 18 mai dernier, la navette spatiale américaine Endeavour s'envolait vers les étoiles. Dans la cabine, six astronautes, et dans la soute, un instrument extraordinaire : un détecteur de particules spatiales, le premier du genre. L'AMS, c'est son nom, restera accroché "jusqu'à la fin de sa vie", comme l'a souligné la Nasa, à la station spatiale internationale. De là, il mesurera sans relâche tous les rayons cosmiques qui traversent l'espace, afin, entre autres, de traquer l'antimatière primordiale, soit l'un des mystères qui déchaîne le plus les passions au sein de la communauté scientifique. Serait-il possible que la matière se dédouble ? Existerait-il une face cachée du monde ? Voire un autre univers que le nôtre ? (www.lepoint.fr)
L'antimatière existe-t-elle réellement ou n'est-elle qu'une fabrication de physiciens?
Une plongeuse russe nage nue dans une eau à -1,5°C avec des bélugas
Natalia Avseenko, une plongeuse russe de 36 ans, n'a pas hésité à plonger entièrement nue pour apprivoiser deux baleines nageant au large de la région de Mourmansk, dans le nord-ouest de la Russie. Selon les scientifiques, les bélugas n'aiment pas le contact avec des matières synthétiques, alors pour les attirer et les capturer afin de les étudier dans des parcs, la plongeuse a résisté complètement nue pendant plus de dix minutes dans une eau à - 1,5°C. (www.20minutes.fr)
Quelle femme courageuse!
On raisonne pour gagner, pas pour dire la vérité
Un article intitulé «Pourquoi les humains raisonnent-ils» publié dans le Journal des Sciences du Cerveau et du Comportement revient sur notre capacité de raisonnement. Selon Hugo Mercier et Dan Sperber, les auteurs, nous ne faisons pas appel à la raison pour prendre de meilleures décisions. «Nous évoluons pour réussir à convaincre les autres», explique Dan Sperber.
L'étude est partie du constat que nous avons tendance à ne prendre en compte que les arguments qui prouvent nos points de vue, et ignorer le reste. (www.slate.fr)
Piscines publiques: plongeon en eaux troubles?
Passé la porte de votre piscine, vous sentez de légers effluves de chlore utilisé pour éliminer les micro-organismes pathogènes présents dans les bassins, dont ceux laissés par les baigneurs. Car chacun d'entre nous y abandonne 500 mg de matières organiques (cheveux, poils, résidus de produits cosmétiques, squames de la peau, bactéries). Multipliez par le nombre de nageurs chaque jour et vous obtiendrez un sacré bouillon de culture. Reste que les piscines publiques sont face à un dilemme: comment obtenir une eau propre, sans substances chimiques (chlore, brome, ozone), sans nuire à notre santé? (www.20minutes.fr)
Source: Yahoo News
Embarqué avec Endeavour, un détecteur à particules spatiales pourrait percer l'un des plus grands mystères scientifiques.
C'est son dernier voyage. Le 18 mai dernier, la navette spatiale américaine Endeavour s'envolait vers les étoiles. Dans la cabine, six astronautes, et dans la soute, un instrument extraordinaire : un détecteur de particules spatiales, le premier du genre. L'AMS, c'est son nom, restera accroché "jusqu'à la fin de sa vie", comme l'a souligné la Nasa, à la station spatiale internationale. De là, il mesurera sans relâche tous les rayons cosmiques qui traversent l'espace, afin, entre autres, de traquer l'antimatière primordiale, soit l'un des mystères qui déchaîne le plus les passions au sein de la communauté scientifique. Serait-il possible que la matière se dédouble ? Existerait-il une face cachée du monde ? Voire un autre univers que le nôtre ? (www.lepoint.fr)
L'antimatière existe-t-elle réellement ou n'est-elle qu'une fabrication de physiciens?
Une plongeuse russe nage nue dans une eau à -1,5°C avec des bélugas
Natalia Avseenko, une plongeuse russe de 36 ans, n'a pas hésité à plonger entièrement nue pour apprivoiser deux baleines nageant au large de la région de Mourmansk, dans le nord-ouest de la Russie. Selon les scientifiques, les bélugas n'aiment pas le contact avec des matières synthétiques, alors pour les attirer et les capturer afin de les étudier dans des parcs, la plongeuse a résisté complètement nue pendant plus de dix minutes dans une eau à - 1,5°C. (www.20minutes.fr)
Quelle femme courageuse!
On raisonne pour gagner, pas pour dire la vérité
Un article intitulé «Pourquoi les humains raisonnent-ils» publié dans le Journal des Sciences du Cerveau et du Comportement revient sur notre capacité de raisonnement. Selon Hugo Mercier et Dan Sperber, les auteurs, nous ne faisons pas appel à la raison pour prendre de meilleures décisions. «Nous évoluons pour réussir à convaincre les autres», explique Dan Sperber.
L'étude est partie du constat que nous avons tendance à ne prendre en compte que les arguments qui prouvent nos points de vue, et ignorer le reste. (www.slate.fr)
Piscines publiques: plongeon en eaux troubles?
Passé la porte de votre piscine, vous sentez de légers effluves de chlore utilisé pour éliminer les micro-organismes pathogènes présents dans les bassins, dont ceux laissés par les baigneurs. Car chacun d'entre nous y abandonne 500 mg de matières organiques (cheveux, poils, résidus de produits cosmétiques, squames de la peau, bactéries). Multipliez par le nombre de nageurs chaque jour et vous obtiendrez un sacré bouillon de culture. Reste que les piscines publiques sont face à un dilemme: comment obtenir une eau propre, sans substances chimiques (chlore, brome, ozone), sans nuire à notre santé? (www.20minutes.fr)
Source: Yahoo News
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