L'affaire de la «N20» ne fait que commencer : Sylvie Le Helloco le 25 décembre 1980, Christine Devauchelle le 14 juillet 1982, et Pascale Lecam, le 7 août 1983.
En tout, ce seront les corps de quatre jeunes femmes qui seront retrouvées aux abords d'Arpajon et au sud d'Etampes, le long de l'axe routier. Le point commun outre les dates et le lieu : les corps sont tous retrouvés nus.
À l'époque, les soupçons pèsent fortement sur Michel Fourniret, alors habitant des Yvelines, qui venait de commettre en Essonne des agressions sexuelles. Faute de preuve, l'enquête n'aboutit pas, aucun suspect n'est arrêté.
Vingt-neuf ans après les faits, le Parisien révèle qu'un homme vient d'être placé en garde-à-vue depuis hier, sur cette affaire, identifié grâce à son ADN.
En mars 2008, les enquêteurs de l'Office central de répression des violences aux personnes (OCRVP) décident de reprendre l'enquête. Un long travail de reconstitution des dossiers de l'enquête, éparpillés depuis des années, commence.
Au mois de mars 2009, «l'exploitation d'une trace biologique», un mouchoir en papier souillé retrouvé sur la scène de crime de Christine Devauchelle, et d'autres «liens indirects», permettent de suspecter un nouvel homme. Son ADN est marqué dans le Fichier national des empreintes génétiques. Cet homme, d'une cinquantaine d'années, aujourd'hui rangé et réinséré dans la société, était à l'époque, selon la police, un «petit voyou».
Une réussite pour les enquêteurs mais également un succès pour le laboratoire scientifique. Mais, si... lire la suite de l'article sur Libération.fr
Source: Libération via Yahoo News
En tout, ce seront les corps de quatre jeunes femmes qui seront retrouvées aux abords d'Arpajon et au sud d'Etampes, le long de l'axe routier. Le point commun outre les dates et le lieu : les corps sont tous retrouvés nus.
À l'époque, les soupçons pèsent fortement sur Michel Fourniret, alors habitant des Yvelines, qui venait de commettre en Essonne des agressions sexuelles. Faute de preuve, l'enquête n'aboutit pas, aucun suspect n'est arrêté.
Vingt-neuf ans après les faits, le Parisien révèle qu'un homme vient d'être placé en garde-à-vue depuis hier, sur cette affaire, identifié grâce à son ADN.
En mars 2008, les enquêteurs de l'Office central de répression des violences aux personnes (OCRVP) décident de reprendre l'enquête. Un long travail de reconstitution des dossiers de l'enquête, éparpillés depuis des années, commence.
Au mois de mars 2009, «l'exploitation d'une trace biologique», un mouchoir en papier souillé retrouvé sur la scène de crime de Christine Devauchelle, et d'autres «liens indirects», permettent de suspecter un nouvel homme. Son ADN est marqué dans le Fichier national des empreintes génétiques. Cet homme, d'une cinquantaine d'années, aujourd'hui rangé et réinséré dans la société, était à l'époque, selon la police, un «petit voyou».
Une réussite pour les enquêteurs mais également un succès pour le laboratoire scientifique. Mais, si... lire la suite de l'article sur Libération.fr
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