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Président du COMPAS, une organisation qui consacre sa lutte pour la paix, Favitsou Boulandi, qui a aussi dirigé les travaux de la deuxième conférence de l’opposition à Paris, a appelé le Collège des Présidents à un dialogue inclusif, appelant son attention sur l’intention de l’Union européenne.


Dans un message adressé à Mr. Abderamane Khoullamallah, porte parole du commandement unifié, Mr. Favitsou Boulandi, Président du COMPAS, a tenu à remercier le porte parole pour la clarté des points évoqués dans son interview réalisée et publiée par Alwihda International Presse. «Nous avons lu avec plaisir ton interview sur Alwihda…Mes félicitations et tous mes vœux de succès dans ta mission », a ainsi écrit le Président du COMPAS, qui a rassuré le porte parole de la disponibilité du COMPAS à apporter sa modeste contribution dans la réflexion sur l'avenir du pays. 

Président du COMPAS, une organisation qui consacre sa lutte pour la paix, Favitsou Boulandi, qui a aussi dirigé les travaux de la deuxième conférence de l'opposition à Paris, a appelé le  Collège des Présidents à un dialogue inclusif, appelant son attention sur l'intention de l'Union européenne. 

De son côté, le porte parole n'a pas tardé à répondre au Président du COMPAS. Tout en le remerciant, Khoulamallah a appelé de ses vœux les tchadiens à s'unir pour chasser Idriss Déby, implorant Dieu de les guider pour la victoire : « Que dieu guide nos pas pour accomplir avec dignité notre mission ». Le porte parole a aussi regretté son lynchage sur le net de manière injuste par un groupe des gens et s'est engagé à ne pas répondre pour éviter d'alimenter des polémiques inutiles qui ne font qu'affaiblir la résistance. 

Pour finir, le porte parole a loué l'efficacité de la diaspora et n'a pas écarté une collaboration du collège avec elle. 

C'est une première dans l'histoire récente de l'opposition politico-militaire qu'un porte parole donne une importance à la diaspora tchadienne.
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Les Forces combattantes du FPRN harcèlent sans cesse l'armée nationale tchadienne. Les affrontements les plus violents étaient ceux de Tissi le 6/12 /2007.


Le colonel Ibrahim Irik chef d'état major militaire du FPRN que dirige le colonel Adoum Yacoub est victime d'un accident de circulation. L'accident s'est produit mardi lors d'une patrouille qu'effectue le colonel accompagné d'une trentaine de ses combattants. Légèrement blessé, le colonel Irik est admis à l'hôpital avec cinq autres blessés.

Les Forces combattantes du FPRN harcèlent sans cesse l'armée nationale tchadienne. Les affrontements les plus violents étaient ceux de Tissi le 6/12 /2007, où 15O soldats gouvernementaux ont été tués dont le Général  ABDOULAYE KABIR, Commandant de la région militaire d'Abeché et le Colonel ADAM BECHIBO, selon le comuniqué de presse  N° 005/FPRN/O7 signé du porte parole  du FPRN, Annette Laokole.
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Les autorités tchadiennes intimident, harcèlent et arrêtent sans mandat des journalistes qui critiquent la guerre civile qui fait rage dans l'est du pays limitrophe du Darfour soudanais, estime Amnesty International.


Tchad: N'djamena harcéle les journalistes qui critiquent la guerre civile Il est de notoriété publique, qu'Idriss Déby le ci devant président du Tchad, tente l'impossible pour empêcher les journalistes de prendre contact avec le Colonel Fizani chef du commandement unifié des forces rebelles du Tchad. Déby se bat comme un beau diable pour qu'il ne soit pas constaté qu'il affame la population occupant le zone rebelle. Barricadé derrière l'armée française, celui dont les tchadiens ne veulent pas, ne tient pas à ce que son action génocidaire soit révélée aux yeux des médias. Ci dessous une dépêche qui le confirme...

N'DJAMENA (Reuters) - Les autorités tchadiennes intimident, harcèlent et arrêtent sans mandat des journalistes qui critiquent la guerre civile qui fait rage dans l'est du pays limitrophe du Darfour soudanais, estime Amnesty International.

Dans un rapport publié lundi énumérant les récents cas d'arrestations et de harcèlement par les autorités, l'ONG de défense des droits de la personne affirme que des représentants de médias tchadiens couvrant le conflit sont accusés par le pouvoir d'être des "ennemis de l'Etat" et d'éprouver de la sympathie pour les mouvements rebelles.

Depuis plus de deux ans, divers groupes insurgés se livrent à une guerre de mouvement contre l'armée du président Idriss Déby à l'occasion d'un conflit intérieur lié aux violences qui ravagent depuis 2003 le Darfour voisin. En octobre, les belligérants et le gouvernement de N'Djamena avaient signé un accord de réconciliation qui a, depuis, volé en éclats.

"Des journalistes tchadiens sont l'objet d'actes d'intimidation, de harcèlement et d'arrestation sans mandat", affirme Tawanda Hondora, directeur adjoint du programme Afrique d'AI.

"Il est clair que le gouvernement tchadien se sent de plus en plus menacé par une couverture indépendante de sa gestion d'un conflit avec l'opposition armée, particulièrement dans l'est du Tchad, et fait rejaillir sa nervosité sur les médias nationaux".

Les autorités tchadiennes n'ont, pour le moment, pas réagi.

Pascal Flertcher, version française Jean-Loup Fiévet
Mardi 22 Janvier 2008 - 02:22
El Hassan Samrak
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