International
désormais, Liberté sans Frontière est dans DABIO.NET. En visitant ce blog, vous pourrez accéder au contenu du site Dabio.net. Les titres de cette page se réactualisent en temps réel. Le concept Liberté sans Frontières a murit, il devient un véritable portail et véhicule tous les messages des hommes et femmes sans voix. Pour ce faire, il retire sont soutien politiques aux rebelles du Tchad. Une énorme catastrophe pour Adouma Hassaballah le très contesté et contestable leader de L'UFCD dont Ahmat Yacoub-Dabio fut le mentor.
Ahmat Yacoub-Dabio
Toute personne a droit aux libertés sans considération de frontières.
Libertés Sans Frontières(LSF); est une association loi 1901 qui lutte pour le respect des libertés au moment où, dans la plupart de pays aux régimes dictatoriaux, les libertés fondamentales sont obstruées.
Au nom des Libertés Sans Frontière, et grâce aux nouvelles possibilités numériques qui constituent un progrès pour les libertés, nous offrons cette tribune à tous ceux qui se respectent et respectent les autres pour que tous ensemble nous oeuvrons pour un monde sans haine.
Dabio n'est pas un site d'actualité à temps réel. Il traite en priorité les cas en rapport avec les droits de l'Homme et la Liberté d'expression. Libertés Sans Frontières entreprend des nouvelles formes d’actions pour défendre les sans voix, les opprimés ; diffuser des analyses sur des différentes situations en rapport avec les droits de l’Homme ; et inciter la jeunesse à s’exprimer dans le plus grand respect de l’autre. Lire la suite de cet Edito ICI
Libertés Sans Frontières(LSF); est une association loi 1901 qui lutte pour le respect des libertés au moment où, dans la plupart de pays aux régimes dictatoriaux, les libertés fondamentales sont obstruées.
Au nom des Libertés Sans Frontière, et grâce aux nouvelles possibilités numériques qui constituent un progrès pour les libertés, nous offrons cette tribune à tous ceux qui se respectent et respectent les autres pour que tous ensemble nous oeuvrons pour un monde sans haine.
Dabio n'est pas un site d'actualité à temps réel. Il traite en priorité les cas en rapport avec les droits de l'Homme et la Liberté d'expression. Libertés Sans Frontières entreprend des nouvelles formes d’actions pour défendre les sans voix, les opprimés ; diffuser des analyses sur des différentes situations en rapport avec les droits de l’Homme ; et inciter la jeunesse à s’exprimer dans le plus grand respect de l’autre. Lire la suite de cet Edito ICI
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Samedi 10 Janvier 2009 - 16:15
16:15
International
Le président Abdoulaye Wade à qui l’Union africaine a donné mandat, il y a un an, de juger Hissène Habré dans un délai raisonnable, a confirmé la tenue du procès à Dakar.
En marge de l'audience solennelle de rentrée des Cours et Tribunaux de l'année judiciaire 2007-2008, le chef de l'Etat, président du Conseil supérieur de la magistrature, a évoqué le procès d'Hissène Habré, du nom de l'ancien président du Tchad réfugié au Sénégal depuis sa chute du pouvoir, en 1990. Me Wade qui devait recevoir, dans l'après-midi d'hier, une délégation de l'Union européenne, probable bailleur de fonds du procès, a assuré que l'ancien dictateur tchadien poursuivi pour 'crime contre l'humanité' aura 'un procès respectueux de tous les principes de la procédure et de la défense'.
Le président Abdoulaye Wade à qui l'Union africaine a donné mandat, il y a un an, de juger Hissène Habré dans un délai raisonnable, a confirmé la tenue du procès à Dakar. 'Nous avons beaucoup avancé avec l'Union européenne', observe-t-il simplement. Cette déclaration intervient à la veille de la réponse de la Chambre d'accusation aux avocats d'Hissène Habré qui l'avaient saisie par une requête en annulation pour prescription des faits pour lesquels l'ancien homme fort de Ndjaména est poursuivi. Dans un premier temps, le financement du coût de ce procès était estimé à 47 milliards. Il a été ramené à 18 milliards, dont une partie servira à l'achèvement et à l'équipement du nouveau palais de justice qui va abriter le procès.
L'obstacle juridique a été également levé puisque le Sénégal a modifié sa législation pour que les juridictions sénégalaises puissent connaître des cas de crimes contre l'humanité. Ainsi, dans la perspective du procès Habré, il a été décidé que c'est une Cour d'assises spéciale ou réformée, composée de sept magistrats professionnels, qui aura à juger l'ancien homme fort du Tchad.
Pour Me Wade, si le procès d'Habré qui n'est pas 'une affaire sénégalaise, mais africaine', a été confiée au Sénégal, c'est pour la qualité de son système judiciaire avec 'des magistrats de talent et indépendants'. 'C'est une décision qui est tout à l'honneur du Sénégal. Et je ne doute pas qu'on va respecter le pari que j'ai pris', estime le président de la République .
M. SARR
International
Idriss Déby décide d'affamer la population de l'Est
Deux morts, cinq blessés et plusieurs personnes ont fui leurs villages pour se réfugier au Soudan.
L'aviation tchadienne a repris le bombardement non pas des positions rebelles mais cette fois ce sont des villages tchadiens qui sont pris des cibles. Lundi et mardi, plusieurs villages non loin de la frontière soudanaise ont été bombardés. Deux morts et cinq blessés et le village le plus touché est celiu de Tamarguone, entre Kodoye1 et canton Woulad Jama-a. Des centaines des civiles fuient leurs villages pour se réfugier au Soudan. Barricadé derrière l'armée française, Idris Déby a décidé d'affamer la population de l'Est pour les punir. Dans son discours fin décembre à Abéché, il a déclaré que plus de 60% de la jeunesse du Ouaddaï sont dans la rébellion. Accusé par les organisations des droits de l'Homme d'être responsable de la mort de plus de 27 000 personnes, Idriss Déby, celui dont les tchadiens ne veulent pas, ne tient pas à ce que son action génocidaire soit révélée aux yeux des médias. Ils harcèlent les journalistes qui critiquent la guerre civile. ''Il se bat comme un beau diable pour qu'il ne soit pas constaté qu'il affame la population occupant la zone rebelle", a indiqué dans un article Edtoweb, un journal très bien informé. Dans un rapport publié lundi, Amnesty International se dit inquiet de la situation au Tchad, accuse les autorités tchadiennes d'intimider, de harcèler et d'arrêter sans mandat des journalistes qui critiquent la guerre civile qui fait rage dans l'est du pays limitrophe du Darfour soudanais. L''ONG affirme que des représentants de médias tchadiens couvrant le conflit sont accusés par le pouvoir d'être des "ennemis de l'Etat" et d'éprouver de la sympathie pour les mouvements rebelles.
Depuis plus de deux ans, divers groupes insurgés se livrent à une guerre de mouvement contre l'armée du président Idriss Déby à l'occasion d'un conflit intérieur lié aux violences qui ravagent depuis 2003 le Darfour voisin. En octobre, les belligérants et le gouvernement de N'Djamena avaient signé un accord de réconciliation qui a, depuis, volé en éclats.
Eric Louis
L'aviation tchadienne a repris le bombardement non pas des positions rebelles mais cette fois ce sont des villages tchadiens qui sont pris des cibles. Lundi et mardi, plusieurs villages non loin de la frontière soudanaise ont été bombardés. Deux morts et cinq blessés et le village le plus touché est celiu de Tamarguone, entre Kodoye1 et canton Woulad Jama-a. Des centaines des civiles fuient leurs villages pour se réfugier au Soudan. Barricadé derrière l'armée française, Idris Déby a décidé d'affamer la population de l'Est pour les punir. Dans son discours fin décembre à Abéché, il a déclaré que plus de 60% de la jeunesse du Ouaddaï sont dans la rébellion. Accusé par les organisations des droits de l'Homme d'être responsable de la mort de plus de 27 000 personnes, Idriss Déby, celui dont les tchadiens ne veulent pas, ne tient pas à ce que son action génocidaire soit révélée aux yeux des médias. Ils harcèlent les journalistes qui critiquent la guerre civile. ''Il se bat comme un beau diable pour qu'il ne soit pas constaté qu'il affame la population occupant la zone rebelle", a indiqué dans un article Edtoweb, un journal très bien informé. Dans un rapport publié lundi, Amnesty International se dit inquiet de la situation au Tchad, accuse les autorités tchadiennes d'intimider, de harcèler et d'arrêter sans mandat des journalistes qui critiquent la guerre civile qui fait rage dans l'est du pays limitrophe du Darfour soudanais. L''ONG affirme que des représentants de médias tchadiens couvrant le conflit sont accusés par le pouvoir d'être des "ennemis de l'Etat" et d'éprouver de la sympathie pour les mouvements rebelles.
Depuis plus de deux ans, divers groupes insurgés se livrent à une guerre de mouvement contre l'armée du président Idriss Déby à l'occasion d'un conflit intérieur lié aux violences qui ravagent depuis 2003 le Darfour voisin. En octobre, les belligérants et le gouvernement de N'Djamena avaient signé un accord de réconciliation qui a, depuis, volé en éclats.
Eric Louis
Ahmat Yacoub
Libertés sans frontières: nous offrons cette tribune à tous ceux qui se respectent et respectent les autres pour que tous ensemble nous œuvrions pour un monde sans haine.
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