Les bureaux de vote ont ouvert lundi à 08h00 (02h00 GMT) au Bangladesh, où quelque 81 millions d'électeurs sont appelés aux urnes pour des législatives devant mettre un terme à deux années de régime d'exception militaire et devaient fermer à 16h00 (10h00 GMT) et les résultats ne sont pas attendus avant mardi.
Les deux favoris de ce scrutin sont la Ligue Awami et le Parti nationaliste du Bangladesh, dirigés respectivement par Sheikh Hasina et la bégum Khaleda Zia, ex-Premiers ministres qui dominent la vie politique du pays.
Les deux femmes ont tour à tour conduit le gouvernement bangladais pendant 15 ans jusqu'à la fin 2006 et l'instauration par l'armée d'un régime d'exception à la suite de violences massives.
Le gouvernement intérimaire, qui a pris le pouvoir en janvier 2007 et avait annulé les élections prévues le même mois, a promis des élections transparentes et sans incidents.
L'histoire du Bangladesh, pays d'Asie du Sud-Est de 140 millions d'habitants, est jalonnée de scrutins contestés, de périodes sporadiques de régime militaire et de violences politiques.
"Nous avons peut-être pris les précautions les plus importantes jamais prises pour nous assurer que le vote ait lieu dans la paix, sans trucages, intimidations ou menaces", a dit dimanche à la presse Noor Mohammad, directeur de la police.
Environ 50.000 soldats et 75.000 policiers ont été déployés dans tout le pays, tandis que 200.000 observateurs nationaux et 2.000 étrangers surveilleront le bon déroulement du scrutin.
Tous les électeurs seront en outre tenus de présenter une carte d'identité munie d'une photo, une première dans l'histoire du pays.
Certains analystes redoutent cependant qu'à l'issue du vote, les partisans des vaincus lancent une campagne de manifestation.
Le chef du gouvernement intérimaire Fakhruddin Ahmed a appelé dimanche la population et les partis politiques à accepter pacifiquement les futurs résultats.
Et si Sheikh Hasina - légèrement favorite dans les sondages - et sa principale adversaire Khaleda Zia ont l'une comme l'autre déclaré samedi qu'il était temps de mettre un terme aux confrontations politiques et aux violences, les deux femmes n'ont eu de cesse, pendant la campagne, de s'accuser mutuellement de corruption, d'incompétence ou de chercher à truquer le scrutin.
Source: Yahoo News
Les deux favoris de ce scrutin sont la Ligue Awami et le Parti nationaliste du Bangladesh, dirigés respectivement par Sheikh Hasina et la bégum Khaleda Zia, ex-Premiers ministres qui dominent la vie politique du pays.
Les deux femmes ont tour à tour conduit le gouvernement bangladais pendant 15 ans jusqu'à la fin 2006 et l'instauration par l'armée d'un régime d'exception à la suite de violences massives.
Le gouvernement intérimaire, qui a pris le pouvoir en janvier 2007 et avait annulé les élections prévues le même mois, a promis des élections transparentes et sans incidents.
L'histoire du Bangladesh, pays d'Asie du Sud-Est de 140 millions d'habitants, est jalonnée de scrutins contestés, de périodes sporadiques de régime militaire et de violences politiques.
"Nous avons peut-être pris les précautions les plus importantes jamais prises pour nous assurer que le vote ait lieu dans la paix, sans trucages, intimidations ou menaces", a dit dimanche à la presse Noor Mohammad, directeur de la police.
Environ 50.000 soldats et 75.000 policiers ont été déployés dans tout le pays, tandis que 200.000 observateurs nationaux et 2.000 étrangers surveilleront le bon déroulement du scrutin.
Tous les électeurs seront en outre tenus de présenter une carte d'identité munie d'une photo, une première dans l'histoire du pays.
Certains analystes redoutent cependant qu'à l'issue du vote, les partisans des vaincus lancent une campagne de manifestation.
Le chef du gouvernement intérimaire Fakhruddin Ahmed a appelé dimanche la population et les partis politiques à accepter pacifiquement les futurs résultats.
Et si Sheikh Hasina - légèrement favorite dans les sondages - et sa principale adversaire Khaleda Zia ont l'une comme l'autre déclaré samedi qu'il était temps de mettre un terme aux confrontations politiques et aux violences, les deux femmes n'ont eu de cesse, pendant la campagne, de s'accuser mutuellement de corruption, d'incompétence ou de chercher à truquer le scrutin.
Source: Yahoo News
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