Les activistes ont lancé des pierres, des cocktails molotov et des liquides inflammables sur les policiers. Les autorités ont avancé un bilan de 237 policiers blessés, victimes pour la plupart de contusions, tandis que 14 ont été plus grièvement atteints.
Quelque 298 manifestants ont été interpellés.
"Le climat s'est détérioré (...) Les violences ont été pires que dans le passé. Mais pour la plupart, elles n'étaient pas motivées par la politique. Ils voulaient seulement de la violence", a déclaré Erhart Körting, ministre de l'Intérieur de Berlin.
Des émeutes ont éclaté à Berlin et Hambourg au soir d'un 1er mai qui s'était dans l'ensemble déroulé dans le calme en dépit de quelques incidents.
Les violences ont débuté après la tombée de la nuit lorsqu'un groupe de quelque 700 activistes a attaqué la police anti-émeutes en lui lançant notamment des pavés. Ils ont incendié des voitures et brisé des vitrines de banques et de magasins. Les affrontements ont duré jusqu'à deux heures du matin.
Les autorités s'étaient préparées à de possibles violences en raison de tensions alimentées par la crise économique et la montée du chômage et plus de 5.800 policiers anti-émeutes venus du reste du pays avaient été déployés à Berlin.
La police a eu aussi recours à des gaz lacrymogènes contre les activistes qui ont défilé sous le slogan "Le capitalisme signifie guerre et crise".
A Hambourg, où des affrontements entre policiers et manifestants se sont poursuivis jusqu'aux petites heures de samedi, six policiers ont été blessés et 23 manifestants ont été interpellés. Une voiture et des poubelles ont été incendiées.
Des incidents ont aussi été enregistrés vendredi à Ulm, dans le sud, ainsi qu'à Dortmund, Mayence et Verden.
Version française Nicole Dupont
Source: Reuters via Yahoo News
Quelque 298 manifestants ont été interpellés.
"Le climat s'est détérioré (...) Les violences ont été pires que dans le passé. Mais pour la plupart, elles n'étaient pas motivées par la politique. Ils voulaient seulement de la violence", a déclaré Erhart Körting, ministre de l'Intérieur de Berlin.
Des émeutes ont éclaté à Berlin et Hambourg au soir d'un 1er mai qui s'était dans l'ensemble déroulé dans le calme en dépit de quelques incidents.
Les violences ont débuté après la tombée de la nuit lorsqu'un groupe de quelque 700 activistes a attaqué la police anti-émeutes en lui lançant notamment des pavés. Ils ont incendié des voitures et brisé des vitrines de banques et de magasins. Les affrontements ont duré jusqu'à deux heures du matin.
Les autorités s'étaient préparées à de possibles violences en raison de tensions alimentées par la crise économique et la montée du chômage et plus de 5.800 policiers anti-émeutes venus du reste du pays avaient été déployés à Berlin.
La police a eu aussi recours à des gaz lacrymogènes contre les activistes qui ont défilé sous le slogan "Le capitalisme signifie guerre et crise".
A Hambourg, où des affrontements entre policiers et manifestants se sont poursuivis jusqu'aux petites heures de samedi, six policiers ont été blessés et 23 manifestants ont été interpellés. Une voiture et des poubelles ont été incendiées.
Des incidents ont aussi été enregistrés vendredi à Ulm, dans le sud, ainsi qu'à Dortmund, Mayence et Verden.
Version française Nicole Dupont
Source: Reuters via Yahoo News
À lire également :
-
La BCE optimiste sur un retour de l'inflation à 2% en 2025
-
Crise en Géorgie : Les manifestations pro-UE s'intensifient, Bruxelles hausse le ton
-
Géorgie : Les manifestations pro-européennes réprimées, plus de 220 arrestations
-
Élection présidentielle en Roumanie : Marcel Ciolacu reconnaît sa défaite face à des résultats inattendus
-
Inondations en Espagne : 219 morts et 93 disparus