Dans un courrier adressé à Mme Amara, rendu public vendredi, M. Huchon constate que "le milliard d'euros annoncé s'est transformé en 500 millions +Etat+ et 500 millions +autres collectivités".
M. Huchon rappelle que "la région Ile-de-France dépensera à elle seule 940 millions d'euros au profit des quartiers populaires en 2008, soit près de 25% de son budget".
Pour lui, "demander aux collectivités locales d'apporter 500 millions d'euros contredit le principe élémentaire de l'autonomie des collectivités territoriales".
"Lorsqu'on finance à parité, on décide à parité", écrit-il, espérant par ailleurs que les 500 millions de l'Etat constituent bien "des moyens supplémentaires".
L'élu PS affirme par ailleurs que "l'échelle communale, surtout en région Ile-de-France, n'est pas le niveau le plus pertinent pour penser la mobilité professionnelle, sociale et culturelle". "Pour désenclaver un quartier, il faut des moyens qu'une commune n'a pas".
Il se dit prêt à étudier la faisabilité d'un couplage des emplois tremplins mis en place par la région en 2004 pour remplacer les emplois-jeunes, avec les dispositifs que le gouvernement pourrait déployer.
"Si l'Etat revient, la Région est prête à coordonner son action et ses moyens avec les vôtres", martèle-t-il.
L'édile de la première région de france veut "croire que le retour du président de la République en banlieue est le signe annonciateur du retour de tous les services publics dans les quartiers".
Il espère également "que l'engagement pris par le ministre du développement durable, Jean-Louis Borloo, de financer le désenclavement des quartiers populaires concernera également l'Ile-de-France. Notre territoire était dramatiquement absent des annonces du Grenelle de l'environnement en novembre dernier".
M. Huchon rappelle que "la région Ile-de-France dépensera à elle seule 940 millions d'euros au profit des quartiers populaires en 2008, soit près de 25% de son budget".
Pour lui, "demander aux collectivités locales d'apporter 500 millions d'euros contredit le principe élémentaire de l'autonomie des collectivités territoriales".
"Lorsqu'on finance à parité, on décide à parité", écrit-il, espérant par ailleurs que les 500 millions de l'Etat constituent bien "des moyens supplémentaires".
L'élu PS affirme par ailleurs que "l'échelle communale, surtout en région Ile-de-France, n'est pas le niveau le plus pertinent pour penser la mobilité professionnelle, sociale et culturelle". "Pour désenclaver un quartier, il faut des moyens qu'une commune n'a pas".
Il se dit prêt à étudier la faisabilité d'un couplage des emplois tremplins mis en place par la région en 2004 pour remplacer les emplois-jeunes, avec les dispositifs que le gouvernement pourrait déployer.
"Si l'Etat revient, la Région est prête à coordonner son action et ses moyens avec les vôtres", martèle-t-il.
L'édile de la première région de france veut "croire que le retour du président de la République en banlieue est le signe annonciateur du retour de tous les services publics dans les quartiers".
Il espère également "que l'engagement pris par le ministre du développement durable, Jean-Louis Borloo, de financer le désenclavement des quartiers populaires concernera également l'Ile-de-France. Notre territoire était dramatiquement absent des annonces du Grenelle de l'environnement en novembre dernier".
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