"Nous avons toujours sous notre garde les deux Sud-Africains qui vont bien et qui seront libérés au plus tôt, comme nous l'avons déjà annoncé ", a indiqué le Mouvement pour l'émancipation du delta du Niger (Mend) dans un communiqué.
Le Mend avait affirmé mardi que les deux hommes , qu'il affirme avoir libérés des mains de pirates qui les avaient enlevés la semaine dernière en même temps que 25 autres personnes, seraient remis "au plus tôt" aux autorités sud- africaines.
Dans la soirée de mardi, un porte-parole de l'armée avait assuré que les deux hommes avaient été libérés à 18H00 (17H00 GMT) "sans qu'aucune rançon ne soit payée".
"C'est un mensonge flagrant. Nous mettons l'armée au défi de montrer les Sud-Africains afin d'en faire la preuve", a rétorqué mercredi le Mend.
L'ambassade d'Afrique du Sud au Nigeria n'a pas fait de commentaire dans l'immédiat.
Selon le Mend, les deux Sud-Africains font partie d'un groupe de 27 otages - 22 Nigérians, 2 Sud-Africains, 2 Britanniques et un dernier qui serait Ukrainien - enlevés par des pirates alors qu'ils naviguaient au large des côtés du sud du Nigeria et qu'il a secourus vendredi.
Dans un premier temps, le principal groupe armé du delta du Niger avait annoncé qu'il ne relâcherait les 27 personnes qu'en échange de la libération d'Henry Okah, un des chefs du Mend qui est détenu au secret dans le centre du Nigeria.
Mais le Mend a ensuite expliqué avoir accepté de libérer ces deux otages sud-africains après un appel d'Azuka Okah, l'épouse d'Henry Okah. Cette dernière a déclaré qu'elle et ses enfants se sentaient chez eux en Afrique du Sud depuis l'emprisonnement en septembre 2007 de son mari et qu'ils y avaient été bien accueillis.
Depuis plus de deux ans, le sud du Nigeria connaît une recrudescence d'attaques violentes contre le personnel ou les équipements pétroliers. Elles sont le fait de bandes armées, généralement des malfaiteurs à la recherche de rançons ou de groupes revendiquant des objectifs politiques réclamant une meilleure répartition de la manne pétrolière.
Source: Dabio
Le Mend avait affirmé mardi que les deux hommes , qu'il affirme avoir libérés des mains de pirates qui les avaient enlevés la semaine dernière en même temps que 25 autres personnes, seraient remis "au plus tôt" aux autorités sud- africaines.
Dans la soirée de mardi, un porte-parole de l'armée avait assuré que les deux hommes avaient été libérés à 18H00 (17H00 GMT) "sans qu'aucune rançon ne soit payée".
"C'est un mensonge flagrant. Nous mettons l'armée au défi de montrer les Sud-Africains afin d'en faire la preuve", a rétorqué mercredi le Mend.
L'ambassade d'Afrique du Sud au Nigeria n'a pas fait de commentaire dans l'immédiat.
Selon le Mend, les deux Sud-Africains font partie d'un groupe de 27 otages - 22 Nigérians, 2 Sud-Africains, 2 Britanniques et un dernier qui serait Ukrainien - enlevés par des pirates alors qu'ils naviguaient au large des côtés du sud du Nigeria et qu'il a secourus vendredi.
Dans un premier temps, le principal groupe armé du delta du Niger avait annoncé qu'il ne relâcherait les 27 personnes qu'en échange de la libération d'Henry Okah, un des chefs du Mend qui est détenu au secret dans le centre du Nigeria.
Mais le Mend a ensuite expliqué avoir accepté de libérer ces deux otages sud-africains après un appel d'Azuka Okah, l'épouse d'Henry Okah. Cette dernière a déclaré qu'elle et ses enfants se sentaient chez eux en Afrique du Sud depuis l'emprisonnement en septembre 2007 de son mari et qu'ils y avaient été bien accueillis.
Depuis plus de deux ans, le sud du Nigeria connaît une recrudescence d'attaques violentes contre le personnel ou les équipements pétroliers. Elles sont le fait de bandes armées, généralement des malfaiteurs à la recherche de rançons ou de groupes revendiquant des objectifs politiques réclamant une meilleure répartition de la manne pétrolière.
Source: Dabio
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