Cette décision couvre la période allant de 1994 à 2004 qui concernerait 500.000 étrangers. Et le gouvernement britannique s'est donné jusqu'à 2011 pour régler tous les cas en suspens.
Cette vague de régularisations traduit la volonté du gouvernement britannique de liquider ces 500.000 dossiers en souffrance et répond, en même temps, à la demande de la fédération des industriels anglais qui avaient soutenu que la délivrance des permis de résidence, avec le droit de travailler, aux sans papiers dynamiserait l'économie et éviterait les dépenses jugées exorbitantes liées aux expulsions.
Les expulsions ne sont pas pour autant gelées d'après Lin Homer, la directrice de la nouvelle agence en charge de l'immigration, qui face aux députés, avait déclaré que sur les 120.000 autres dossiers en cours de traitement, 52.000 personnes ont été expulsées.
L'actualité des sans-papiers s'est également alimentée du scandale de certains d'entre eux qui étaient carrément employés au département de l'immigration comme agents de sécurité notamment. Cette situation a été mise à jour par un officier de l'immigration qui a enquêté sur les Africains qui étaient employés au ministère de l'intérieur et affectés par les agences de placement. Certains de ces sans-papiers auraient, en effet, utilisé de faux documents pour obtenir ces emplois.
La Grande-Bretagne s'est, du coup, rappelée un autre scandale, celui d'un autre sans-papiers de nationalité nigériane qui avait été affecté à la sécurité de la voiture de Tony Blair à l'époque Premier ministre. Face à l'émoi causé par ces scandales répétitifs, le secrétaire d'État de l`intérieur, Jacqui Smith Smith a demandé que tous les contrats signés avec les agences de travail soient revus.
Lire aussi:
Charles Atangana (AEM), U
Congoplus.info
Source: http://www.afriquechos.ch/
Cette vague de régularisations traduit la volonté du gouvernement britannique de liquider ces 500.000 dossiers en souffrance et répond, en même temps, à la demande de la fédération des industriels anglais qui avaient soutenu que la délivrance des permis de résidence, avec le droit de travailler, aux sans papiers dynamiserait l'économie et éviterait les dépenses jugées exorbitantes liées aux expulsions.
Les expulsions ne sont pas pour autant gelées d'après Lin Homer, la directrice de la nouvelle agence en charge de l'immigration, qui face aux députés, avait déclaré que sur les 120.000 autres dossiers en cours de traitement, 52.000 personnes ont été expulsées.
L'actualité des sans-papiers s'est également alimentée du scandale de certains d'entre eux qui étaient carrément employés au département de l'immigration comme agents de sécurité notamment. Cette situation a été mise à jour par un officier de l'immigration qui a enquêté sur les Africains qui étaient employés au ministère de l'intérieur et affectés par les agences de placement. Certains de ces sans-papiers auraient, en effet, utilisé de faux documents pour obtenir ces emplois.
La Grande-Bretagne s'est, du coup, rappelée un autre scandale, celui d'un autre sans-papiers de nationalité nigériane qui avait été affecté à la sécurité de la voiture de Tony Blair à l'époque Premier ministre. Face à l'émoi causé par ces scandales répétitifs, le secrétaire d'État de l`intérieur, Jacqui Smith Smith a demandé que tous les contrats signés avec les agences de travail soient revus.
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