« Wade est terrifié par la situation au Sénégal. J'en sais quelque chose ». Ces propos sont de Serigne Moustapha Sy qui intervenait samedi dernier lors d'une séance de l'Université du Ramadan. Dans la foulée, Serigne Moustapha a rappelé les paroles de Cheikh A. T. Sy qui disait que : « Le problème des responsables sénégalais, c'est leur entourage. Certains sont des informateurs et d'autres des menteurs. Je le dis sans aucune arrière pensée, mais il faut être honnête. Je n'ai pas de problèmes. Je n'ai que des principes. Il n'y avait personne au moment de les aider pour les élections présidentielles. J'étais seul ».
Poursuivant son intervention, il ajoute : « Nous pouvons faire quelque chose pour ce pays pour débloquer la situation car nous sommes des citoyens à part entière. Et nous en sommes capables. C'est aussi facile que ça car tout est entre les mains de Mame Cheikh A. T. Sy. Tout peut être très simple ». À l'en croire, les responsabilités sont partagées en ce qui concerne cette situation que vit le pays. Sur un ton ironique, il racontât une anecdote pleine de sous-entendus : « Wade avait été en Arabie Saoudite, Une fois dans la mosquée, des marabouts étaient là pour réciter la sourate Al Moulk sur la tête de Karim. Suite à cela, chacun a reçu 1000 dollars (Souratoul moulk ayatoul Moulk mokko fi bayyi) ».
Pour Serigne Moustapha, comme le disait son père durant le maouloud : « Il faut purifier le Sénégal, soit par le sang ou par les cœurs ». Par la même occasion, il a voulu, durant cette deuxième sortie, lever les équivoques dans ses relations entre le président Wade et lui. Selon ses dires, le colonel Malick Cissé, après la sortie fracassante du responsable moral durant le Maouloud dernier dont les propos auraient été travestis par les journalistes, c'est le colonel Malick Cissé qui a eu à jouer les sapeurs pompiers.
Se voulant très clair, le Responsable Moral du Dahiratoul Moustarchdina Wal Moustarchidaty souligne : « Je n'ai de maître à penser que Serigne Cheikh Ahmet Tidjane Sy. Abdoulaye Wade n'est que mon alter ego (nawlé) ». Le désespoir est le résultat des déviances des hommes Dans le même registre, il soutient que le désespoir qui habite aujourd'hui les hommes n'est que le résultat de leur déviance du droit chemin. « Le désordre est apparu sur terre et sur mer du fait des agissements des humains ». Les Romains, verset 41 : « On dirait qu'il y a des gens qui voudraient prendre la place de Dieu. Si tel est le cas, ce sont ces mêmes personnes qui doivent être en mesure de trouver des solutions pour ce monde en détresse », déclare Serigne Moustapha Sy. Selon ce dernier, un savant avait écrit un livre intitulé "The next millions years". Et dans lequel, il martèle : « Deux siècles d'athéisme, ça suffit. Car nous n'avons plus d'arguments ». Selon le responsable moral, il est temps que les scientifiques changent de démarches et de méthodes.
«La mondialisation est une seconde nature d'une seconde guerre froide. Pour véhiculer cette guerre froide mais sur un autre aspect », fait remarquer le responsable moral des moustarchidines. Pour lui, l'homme y est otage et non acteur. C'est pourquoi, selon Serigne Moustapha Sy, dans le St Coran, Dieu y parle de "brebis galeuses", faisant allusion à ceux qui bombent le torse, croyant qu'ils sont supérieurs à tous. Ce qui est encore plus grave, estime le fils de Mame Cheikh Ahmet Tijane Sy, c'est que l'être humain qui veut montrer sa bonté s'identifie à cette brebis galeuse.
De même, pour montrer la bassesse de l'être humain toujours, Dieu l'identifie à la brebis galeuse. Et c'est pourquoi, les expressions "doux comme un agneau", "Mon lapin" sont à bannir. Ne s'arrêtant pas en si bon chemin, il leur fera savoir que l'homme doit plus tendre vers l'offre qu'à la demande. Ajoutant par ailleurs que : « La réussite est un convoi qui a pour destination la demeure divine. Il faut donc réserver une place et être à l'heure. Ce convoi n'attend pas ». Dans la même veine, il déclare que Dieu n'a point besoin de gabarit pour donner à l'homme sa part. Mais ce dernier part sur la base de normes qu'il faut respecter.
De ce fait, analyse le responsable moral du Dahiratoul Moustarchidina wal Moustarchidaty, le blanc est actuellement au sommet de la technologie. Ce qui pousse l'homme à délaisser certaines valeurs, inculquées depuis le bas âge. Certes il sont en avances, mais il ne parviendront jamais à avoir des réponses par rapport à deux images qui ne changeront jamais : le nouveau-né et la personne décédée.
Source: Rewmi
Poursuivant son intervention, il ajoute : « Nous pouvons faire quelque chose pour ce pays pour débloquer la situation car nous sommes des citoyens à part entière. Et nous en sommes capables. C'est aussi facile que ça car tout est entre les mains de Mame Cheikh A. T. Sy. Tout peut être très simple ». À l'en croire, les responsabilités sont partagées en ce qui concerne cette situation que vit le pays. Sur un ton ironique, il racontât une anecdote pleine de sous-entendus : « Wade avait été en Arabie Saoudite, Une fois dans la mosquée, des marabouts étaient là pour réciter la sourate Al Moulk sur la tête de Karim. Suite à cela, chacun a reçu 1000 dollars (Souratoul moulk ayatoul Moulk mokko fi bayyi) ».
Pour Serigne Moustapha, comme le disait son père durant le maouloud : « Il faut purifier le Sénégal, soit par le sang ou par les cœurs ». Par la même occasion, il a voulu, durant cette deuxième sortie, lever les équivoques dans ses relations entre le président Wade et lui. Selon ses dires, le colonel Malick Cissé, après la sortie fracassante du responsable moral durant le Maouloud dernier dont les propos auraient été travestis par les journalistes, c'est le colonel Malick Cissé qui a eu à jouer les sapeurs pompiers.
Se voulant très clair, le Responsable Moral du Dahiratoul Moustarchdina Wal Moustarchidaty souligne : « Je n'ai de maître à penser que Serigne Cheikh Ahmet Tidjane Sy. Abdoulaye Wade n'est que mon alter ego (nawlé) ». Le désespoir est le résultat des déviances des hommes Dans le même registre, il soutient que le désespoir qui habite aujourd'hui les hommes n'est que le résultat de leur déviance du droit chemin. « Le désordre est apparu sur terre et sur mer du fait des agissements des humains ». Les Romains, verset 41 : « On dirait qu'il y a des gens qui voudraient prendre la place de Dieu. Si tel est le cas, ce sont ces mêmes personnes qui doivent être en mesure de trouver des solutions pour ce monde en détresse », déclare Serigne Moustapha Sy. Selon ce dernier, un savant avait écrit un livre intitulé "The next millions years". Et dans lequel, il martèle : « Deux siècles d'athéisme, ça suffit. Car nous n'avons plus d'arguments ». Selon le responsable moral, il est temps que les scientifiques changent de démarches et de méthodes.
«La mondialisation est une seconde nature d'une seconde guerre froide. Pour véhiculer cette guerre froide mais sur un autre aspect », fait remarquer le responsable moral des moustarchidines. Pour lui, l'homme y est otage et non acteur. C'est pourquoi, selon Serigne Moustapha Sy, dans le St Coran, Dieu y parle de "brebis galeuses", faisant allusion à ceux qui bombent le torse, croyant qu'ils sont supérieurs à tous. Ce qui est encore plus grave, estime le fils de Mame Cheikh Ahmet Tijane Sy, c'est que l'être humain qui veut montrer sa bonté s'identifie à cette brebis galeuse.
De même, pour montrer la bassesse de l'être humain toujours, Dieu l'identifie à la brebis galeuse. Et c'est pourquoi, les expressions "doux comme un agneau", "Mon lapin" sont à bannir. Ne s'arrêtant pas en si bon chemin, il leur fera savoir que l'homme doit plus tendre vers l'offre qu'à la demande. Ajoutant par ailleurs que : « La réussite est un convoi qui a pour destination la demeure divine. Il faut donc réserver une place et être à l'heure. Ce convoi n'attend pas ». Dans la même veine, il déclare que Dieu n'a point besoin de gabarit pour donner à l'homme sa part. Mais ce dernier part sur la base de normes qu'il faut respecter.
De ce fait, analyse le responsable moral du Dahiratoul Moustarchidina wal Moustarchidaty, le blanc est actuellement au sommet de la technologie. Ce qui pousse l'homme à délaisser certaines valeurs, inculquées depuis le bas âge. Certes il sont en avances, mais il ne parviendront jamais à avoir des réponses par rapport à deux images qui ne changeront jamais : le nouveau-né et la personne décédée.
Source: Rewmi