La Suwa maternity clinic de Nagano a refusé de communiquer l'identité des personnes impliquées dans cette naissance, le sexe du nouveau-né ou la date de naissance de celui-ci. Une porte-parole de l'établissement de santé a cependant précisé que la mère porteuse et l'enfant se portaient bien.
La clinique aurait eu recours à cette technique car la mère de l'enfant, dépourvue d'utérus, ne pouvait porter elle-même son bébé.
Le Dr. Yahiro Netsu, directeur de la clinique Suwa, a déjà provoqué la controverse au Japon. En 1998, il avait été radié de l'ordre des gynécologues obstétriciens après avoir fécondé in vitro des ovules à l'aide de sperme alors que les donneurs n'étaient pas mariés. Il avait ensuite été réintégré. En 2001, il menait à bien la première naissance de substitution réalisée au Japon.
Ce genre de procédure n'est pas illégal au Japon mais a été désapprouvé par la Japan society of obstetrics and gynecology, forte de plus de quinze mille membres.
Source:Yahoo News
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