Cet accord d'association "laissera la voie ouverte à des développements progressifs supplémentaires dans les relations UE-Ukraine", dit la déclaration conjointe adoptée à l'issue du sommet réunissant Nicolas Sarkozy, le président ukrainien Viktor Iouchtchenko et le président de la Commission européenne José Manuel Barroso.
Ce texte n'évoque pas explicitement l'adhésion à l'UE réclamée par Kiev, même si l'UE reconnaît pour la première fois l'Ukraine comme "pays européen", partageant avec elle "une histoire et des valeurs communes".
"Cet accord d'association ne ferme aucune piste, même il en ouvre", a déclaré Nicolas Sarkozy. "L'Union a voulu, à ce moment bien précis de la situation dans la région, réaffirmer la communauté de valeurs, la communauté d'histoire, l'européanité au sens culturel du mot de l'Ukraine."
Le président français, ne cachant pas qu'il aurait voulu aller plus loin, a reconnu que les Européens étaient divisés sur le sujet. "La préoccupation du président Barroso comme la mienne, c'est l'unité de l'Europe. Nous avons expliqué à notre ami ukrainien que c'était le maximum que nous pouvions aller. C'est un pas substantiel", a dit Nicolas Sarkozy.
Dans une allusion à la Russie, qui craint un encerclement par les pays occidentaux, le président en exercice du conseil européen a assuré que le "partenariat oriental ambitieux" que l'UE veut établir avec l'Ukraine "n'est dirigé contre personne". "Nous voulons des relations apaisées avec la Russie", a-t-il réaffirmé.
Viktor Iouchtchenko a pour sa part salué "une bonne nouvelle", en voyant dans le futur accord d'association "la première étape du long chemin" vers l'adhésion.
Source: Yahoo News
Ce texte n'évoque pas explicitement l'adhésion à l'UE réclamée par Kiev, même si l'UE reconnaît pour la première fois l'Ukraine comme "pays européen", partageant avec elle "une histoire et des valeurs communes".
"Cet accord d'association ne ferme aucune piste, même il en ouvre", a déclaré Nicolas Sarkozy. "L'Union a voulu, à ce moment bien précis de la situation dans la région, réaffirmer la communauté de valeurs, la communauté d'histoire, l'européanité au sens culturel du mot de l'Ukraine."
Le président français, ne cachant pas qu'il aurait voulu aller plus loin, a reconnu que les Européens étaient divisés sur le sujet. "La préoccupation du président Barroso comme la mienne, c'est l'unité de l'Europe. Nous avons expliqué à notre ami ukrainien que c'était le maximum que nous pouvions aller. C'est un pas substantiel", a dit Nicolas Sarkozy.
Dans une allusion à la Russie, qui craint un encerclement par les pays occidentaux, le président en exercice du conseil européen a assuré que le "partenariat oriental ambitieux" que l'UE veut établir avec l'Ukraine "n'est dirigé contre personne". "Nous voulons des relations apaisées avec la Russie", a-t-il réaffirmé.
Viktor Iouchtchenko a pour sa part salué "une bonne nouvelle", en voyant dans le futur accord d'association "la première étape du long chemin" vers l'adhésion.
Source: Yahoo News
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