Plus de 8.000 civils ont été tués et un million d'autres déracinés depuis le début des combats, l'année dernière, entre le gouvernement intérimaire et les forces éthiopiennes d'une part et les rebelles islamistes qui tentent de prendre le contrôle du pays d'autre part.
Lundi, le gouvernement du président Abdoullahi Youssouf et quelques dirigeants d'opposition ont ratifié l'accord trouvé le 9 juin à Djibouti sous l'égide des Nations unies.
"Les parties sont convenues de poursuivre le dialogue politique et d'éviter les déclarations incendiaires", ont dit les Nations unies dans un communiqué.
Elles "condamnent fermement les auteurs ainsi que ceux qui financent et organisent les violences visant des innocents, tels que les meurtres, bombardements sans distinction, pillages, viols et actes de piraterie."
Conformément au souhait de l'opposition, l'accord de Djibouti prévoit le remplacement des troupes éthiopiennes par des soldats de maintien de la paix de l'Onu, qui prendraient également la place de la force de l'Union africaine, aux effectifs et moyens faibles.
Mais les discussions ont été dénigrées par la frange dure de l'opposition et ont mis en lumière les divisions au sein de l'Alliance pour la Re-libération de la Somalie (ARS).
Depuis juin, le texte n'a pas eu d'effet significatif sur les violences, à l'image des accords analogues trouvés précédemment, dont celui issu de six semaines de pourparlers à Mogadiscio l'année dernière.
Vendredi, près de 50 personnes ont été tuées par les troupes éthiopiennes et somaliennes qui ont ouvert le feu sur des civils en représailles à l'explosion de deux bombes au passage de leur convoi, selon des habitants.
Le gouvernement éthiopien a nié ces violences et cité une enquête somalienne imputant ces morts à une attaque à la bombe du groupe rebelle Shabaab.
Source: Yahoo News
Lundi, le gouvernement du président Abdoullahi Youssouf et quelques dirigeants d'opposition ont ratifié l'accord trouvé le 9 juin à Djibouti sous l'égide des Nations unies.
"Les parties sont convenues de poursuivre le dialogue politique et d'éviter les déclarations incendiaires", ont dit les Nations unies dans un communiqué.
Elles "condamnent fermement les auteurs ainsi que ceux qui financent et organisent les violences visant des innocents, tels que les meurtres, bombardements sans distinction, pillages, viols et actes de piraterie."
Conformément au souhait de l'opposition, l'accord de Djibouti prévoit le remplacement des troupes éthiopiennes par des soldats de maintien de la paix de l'Onu, qui prendraient également la place de la force de l'Union africaine, aux effectifs et moyens faibles.
Mais les discussions ont été dénigrées par la frange dure de l'opposition et ont mis en lumière les divisions au sein de l'Alliance pour la Re-libération de la Somalie (ARS).
Depuis juin, le texte n'a pas eu d'effet significatif sur les violences, à l'image des accords analogues trouvés précédemment, dont celui issu de six semaines de pourparlers à Mogadiscio l'année dernière.
Vendredi, près de 50 personnes ont été tuées par les troupes éthiopiennes et somaliennes qui ont ouvert le feu sur des civils en représailles à l'explosion de deux bombes au passage de leur convoi, selon des habitants.
Le gouvernement éthiopien a nié ces violences et cité une enquête somalienne imputant ces morts à une attaque à la bombe du groupe rebelle Shabaab.
Source: Yahoo News
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