La Tribune
Le G7 désuni face au désordre monétaire
L'euro a battu hier un nouveau record face au billet vert en franchissant le seuil de 1,43 dollar. Mais le G7 aujourd'hui à Washington préférera tirer les leçons de la crise financière pour ne pas étaler ses désaccords sur les changes.
Grève massive contre la réforme des régimes spéciaux de retraite
Les syndicats ont mobilisé en masse leurs troupes contre la réforme des régimes spéciaux de retraite. Alors que Xavier Bertrand devrait recevoir les syndicats la semaine prochaine, ces derniers maintiennent la pression.
France Télécom fête dix ans de yo-yo en Bourse
Le 20 octobre 1997, l'opérateur organisait un véritable show pour son entrée à la Bourse de Paris. L'euphorie durera deux ans, jusqu'au sommet de mars 2000 à 189 euros. Aujourd'hui, le titre vaut moins que les 28,5 euros proposés lors de son introduction.
Spéculations sur l'avenir boursier de Lagardère
Le titre s'est envolé hier, gagnant 2,22 % à 59,05 euros, porté par la rumeur d'une possible sortie du groupe de la Bourse. Lagardère dément.
L'euro a battu hier un nouveau record face au billet vert en franchissant le seuil de 1,43 dollar. Mais le G7 aujourd'hui à Washington préférera tirer les leçons de la crise financière pour ne pas étaler ses désaccords sur les changes.
Grève massive contre la réforme des régimes spéciaux de retraite
Les syndicats ont mobilisé en masse leurs troupes contre la réforme des régimes spéciaux de retraite. Alors que Xavier Bertrand devrait recevoir les syndicats la semaine prochaine, ces derniers maintiennent la pression.
France Télécom fête dix ans de yo-yo en Bourse
Le 20 octobre 1997, l'opérateur organisait un véritable show pour son entrée à la Bourse de Paris. L'euphorie durera deux ans, jusqu'au sommet de mars 2000 à 189 euros. Aujourd'hui, le titre vaut moins que les 28,5 euros proposés lors de son introduction.
Spéculations sur l'avenir boursier de Lagardère
Le titre s'est envolé hier, gagnant 2,22 % à 59,05 euros, porté par la rumeur d'une possible sortie du groupe de la Bourse. Lagardère dément.
Les Echos
L'Etat ouvert au dialogue après la grève record
La mobilisation contre la réforme des régimes spéciaux de retraite a été historique hier avec 73,5 % de grévistes à la SNCF, 58 % à la RATP et 45 % chez EDF et GDF. Plusieurs syndicats ont appelé à la poursuite du mouvement aujourd'hui, sauf la FGAAC, qui a obtenu des garanties hier soir. Après une quasi-paralysie hier en Ile-de-France, les transports resteront encore très perturbés aujourd'hui ainsi que le réseau ferré national. Les fédérations vont se revoir dans les prochains jours pour décider de la suite du mouvement. Le ministre du Travail, Xavier Bertrand, a indiqué dès hier qu'il était prêt à revoir les syndicats la semaine prochaine. Le gouvernement reste inflexible sur les 40 années de cotisation. Mais il pourrait accepter, à la marge, de revoir son projet sur la progressivité de la montée en charge de la décote en cas de départ précoce.
La mobilisation contre la réforme des régimes spéciaux de retraite a été historique hier avec 73,5 % de grévistes à la SNCF, 58 % à la RATP et 45 % chez EDF et GDF. Plusieurs syndicats ont appelé à la poursuite du mouvement aujourd'hui, sauf la FGAAC, qui a obtenu des garanties hier soir. Après une quasi-paralysie hier en Ile-de-France, les transports resteront encore très perturbés aujourd'hui ainsi que le réseau ferré national. Les fédérations vont se revoir dans les prochains jours pour décider de la suite du mouvement. Le ministre du Travail, Xavier Bertrand, a indiqué dès hier qu'il était prêt à revoir les syndicats la semaine prochaine. Le gouvernement reste inflexible sur les 40 années de cotisation. Mais il pourrait accepter, à la marge, de revoir son projet sur la progressivité de la montée en charge de la décote en cas de départ précoce.
L'Equipe
PETITE FINALE, GRANDES ATTENTES
Cette ''petite'' finale contre l'Argentine revêt un grand nombre de symboles pour le XV de France. De la revanche du match d'ouverture au sentiment d'injustice des joueurs absents en passant par la volonté de se lâcher dans le jeu, les Bleus veulent terminer sur une bonne note, vendredi à 21 heures au Parc des Princes.
Cette ''petite'' finale contre l'Argentine revêt un grand nombre de symboles pour le XV de France. De la revanche du match d'ouverture au sentiment d'injustice des joueurs absents en passant par la volonté de se lâcher dans le jeu, les Bleus veulent terminer sur une bonne note, vendredi à 21 heures au Parc des Princes.
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