Elle se trouve, en fait, au centre d’un scandale portant sur des logements sociaux dans la commune de Carrière sur Seine (banlieue ouest de Paris). La police l’accuse de louer des chambres non homologuées à des prix exorbitants. Elle risque un an de prison assorti de plus de 70 millions de F CFA d’amende.
Derrière la pancarte marquée « Galerie d’art, vente en gros et détail d’objets d’art, de produits alimentaires d’Afrique » du superbe pavillon baptisé « La pierre de Zéaglô » qu’habite Yolande Biot se cache une autre activité. La sous-location de logements insalubres.
Depuis huit mois, Miss Biot reçoit régulièrement la visite de policiers en tenue civile. Menant à son insu une enquête sur ses opérations immobilières jugées douteuses.
Interrogée sur cet état de fait, Miss Biot s’est défendue en indiquant qu’elle devait bien se débrouiller pour payer les traites du pavillon dont le coût global s’élève à la somme de 655 millions de F CFA.
Pour trouver cet argent, Miss Biot, qui est aussi l’ex-compagne de Tony Oulaï (lui-même en prison), a dû construire un pavillon de 31 chambres de 9m2 et 16m2 qu’elle louait entre 250 000 et 550 mille F CFA par mois. Exploitant ainsi l’extrême difficulté à se loger des travailleurs africains.
Le 10 janvier dernier, trente agents de police font une descente à son domicile et procèdent à un contrôle systématique de tous les locataires et de tout le pavillon.
Arrêtée, mise en garde à vue puis jugée en comparution directe au parquet de Versailles, elle est relâchée le 12 février. Et sommée par la mairie de trouver 31 logements sains assortis de 3 mois de caution par demandeur de logement dans un délai d’un mois.
Miss Biot se voit obligée de trouver des logements à des personnes qui continuent de vivre sous son toit sans payer de loyer. Son compte bancaire est menacé de saisie
Miss Biot et son avocat (le même qui a défendu Tony Oulaï) s’en remettent à l’ambassadeur de Côte d’Ivoire en France qui (malheureusement pour eux) - n’a pas encore présenté ses lettres de créance au Chef de l’Etat français.
Source: Ferloo
Derrière la pancarte marquée « Galerie d’art, vente en gros et détail d’objets d’art, de produits alimentaires d’Afrique » du superbe pavillon baptisé « La pierre de Zéaglô » qu’habite Yolande Biot se cache une autre activité. La sous-location de logements insalubres.
Depuis huit mois, Miss Biot reçoit régulièrement la visite de policiers en tenue civile. Menant à son insu une enquête sur ses opérations immobilières jugées douteuses.
Interrogée sur cet état de fait, Miss Biot s’est défendue en indiquant qu’elle devait bien se débrouiller pour payer les traites du pavillon dont le coût global s’élève à la somme de 655 millions de F CFA.
Pour trouver cet argent, Miss Biot, qui est aussi l’ex-compagne de Tony Oulaï (lui-même en prison), a dû construire un pavillon de 31 chambres de 9m2 et 16m2 qu’elle louait entre 250 000 et 550 mille F CFA par mois. Exploitant ainsi l’extrême difficulté à se loger des travailleurs africains.
Le 10 janvier dernier, trente agents de police font une descente à son domicile et procèdent à un contrôle systématique de tous les locataires et de tout le pavillon.
Arrêtée, mise en garde à vue puis jugée en comparution directe au parquet de Versailles, elle est relâchée le 12 février. Et sommée par la mairie de trouver 31 logements sains assortis de 3 mois de caution par demandeur de logement dans un délai d’un mois.
Miss Biot se voit obligée de trouver des logements à des personnes qui continuent de vivre sous son toit sans payer de loyer. Son compte bancaire est menacé de saisie
Miss Biot et son avocat (le même qui a défendu Tony Oulaï) s’en remettent à l’ambassadeur de Côte d’Ivoire en France qui (malheureusement pour eux) - n’a pas encore présenté ses lettres de créance au Chef de l’Etat français.
Source: Ferloo
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