Le socialiste Pierre Moscovici se déclare prêt à discuter de sujets "de gauche" avec le président du Mouvement démocrate (MoDem), François Bayrou.
"Le problème c'est où est François Bayrou", a ajouté l'élu. "Il est dans l'opposition à Nicolas Sarkozy, manifestement. S'il est prêt à discuter sur un certain nombre de thèmes de gauche, ou sur des thèmes économiques et sociaux avec nous, pourquoi ne pas le faire ?"
"Ne soyons pas dans le changement d'alliance, ne soyons pas non plus dans la fermeture", a ajouté Pierre Moscovici, candidat déclaré à la direction du PS.
Il ne voit en revanche aucun rapprochement possible avec la Ligue communiste révolutionnaire (LCR) d'Olivier Besancenot qui, à la différence du PS, ne souhaite pas gouverner.
"Je les respecte, mais l'alliance, bien sûr, il n'en est pas question", a-t-il dit.
Interrogé sur les deux favoris à la succession de François Hollande à la tête du PS, Pierre Moscovici s'est dit en désaccord avec les "ni-ni", qui refusent à la fois la candidature de l'ancienne candidate à la présidentielle Ségolène Royal et celle du maire de Paris Bertrand Delanoë.
Lire la suite dans l'édition du 2 juin 2008 rubrique France
Source: actualite.lycos.fr
"Le problème c'est où est François Bayrou", a ajouté l'élu. "Il est dans l'opposition à Nicolas Sarkozy, manifestement. S'il est prêt à discuter sur un certain nombre de thèmes de gauche, ou sur des thèmes économiques et sociaux avec nous, pourquoi ne pas le faire ?"
"Ne soyons pas dans le changement d'alliance, ne soyons pas non plus dans la fermeture", a ajouté Pierre Moscovici, candidat déclaré à la direction du PS.
Il ne voit en revanche aucun rapprochement possible avec la Ligue communiste révolutionnaire (LCR) d'Olivier Besancenot qui, à la différence du PS, ne souhaite pas gouverner.
"Je les respecte, mais l'alliance, bien sûr, il n'en est pas question", a-t-il dit.
Interrogé sur les deux favoris à la succession de François Hollande à la tête du PS, Pierre Moscovici s'est dit en désaccord avec les "ni-ni", qui refusent à la fois la candidature de l'ancienne candidate à la présidentielle Ségolène Royal et celle du maire de Paris Bertrand Delanoë.
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