Un général libanais pressenti pour devenir le nouveau chef de l'armée a été tué dans un attentat à la voiture piégée dans la banlieue est de Beyrouth, apprend-on de sources proches de la sécurité.
De sources proches des services de sécurité, on précise que l'attentat a fait cinq morts. L'explosion a été provoquée par une voiture piégée au passage du convoi de l'officier, ajoute-t-on.
L'explosion a fait "plusieurs" blessés, précise-t-on encore de mêmes sources, qui évoquaient auparavant plusieurs dizaines de blessés.
Le général, âgé d'une cinquantaine d'années, était l'un des deux favoris pour succéder à l'actuel chef des armées Michel Souleïmane, le candidat de consensus pour la présidence de la République. Le poste est traditionnellement réservé à un chrétien maronite.
Hadj a joué également un rôle majeur dans la victoire contre les activistes proches d'Al Qaïda dans le camp de réfugiés palestinien de Nahr al Bared, dans le nord du Liban, au début du mois de septembre. La bataille avait fait 168 morts parmi les militaires et 230 environ parmi les activistes.
CRISE POLITIQUE
La déflagration, qui s'est produite à 7h00 locale (05h00 GMT), a projeté la voiture du général et deux corps à une cinquantaine de mètres et d'autres véhicules ont pris feu alentour. Plusieurs bâtiments ont été endommagés.
L'armée a bouclé le secteur pendant que les pompiers et les sauveteurs se chargeaient d'éteindre les incendies et de transférer les blessés dans les hôpitaux voisins.
Baabda, un faubourg riche de la capitale, abrite plusieurs ambassades et résidences de diplomates. Le quartier général de l'armée et le ministère de la Défense sont situés dans la localité voisine de Yarzé.
Lundi, le président du parlement libanais a reporté l'élection présidentielle au 17 décembre, huitième report de ce scrutin à chaque fois ajourné en raison de divergences entre la coalition antisyrienne au pouvoir et l'opposition soutenue par Damas.
Les deux camps se sont mis d'accord la semaine dernière sur le nom du général Michel Souleïmane, un chrétien maronite, pour le poste laissé vacant depuis l'expiration du mandat d'Emile Lahoud, le 24 novembre.
Le Liban a connu plusieurs assassinats de personnalités anti-syriennes depuis le meurtre de l'ancien Premier ministre Rafic Hariri en février 2005. Le plus récent a visé Antoine Ghanem, tué dans un attentat à la voiture piégée en septembre.
Source: http://fr.news.yahoo.com/
De sources proches des services de sécurité, on précise que l'attentat a fait cinq morts. L'explosion a été provoquée par une voiture piégée au passage du convoi de l'officier, ajoute-t-on.
L'explosion a fait "plusieurs" blessés, précise-t-on encore de mêmes sources, qui évoquaient auparavant plusieurs dizaines de blessés.
Le général, âgé d'une cinquantaine d'années, était l'un des deux favoris pour succéder à l'actuel chef des armées Michel Souleïmane, le candidat de consensus pour la présidence de la République. Le poste est traditionnellement réservé à un chrétien maronite.
Hadj a joué également un rôle majeur dans la victoire contre les activistes proches d'Al Qaïda dans le camp de réfugiés palestinien de Nahr al Bared, dans le nord du Liban, au début du mois de septembre. La bataille avait fait 168 morts parmi les militaires et 230 environ parmi les activistes.
CRISE POLITIQUE
La déflagration, qui s'est produite à 7h00 locale (05h00 GMT), a projeté la voiture du général et deux corps à une cinquantaine de mètres et d'autres véhicules ont pris feu alentour. Plusieurs bâtiments ont été endommagés.
L'armée a bouclé le secteur pendant que les pompiers et les sauveteurs se chargeaient d'éteindre les incendies et de transférer les blessés dans les hôpitaux voisins.
Baabda, un faubourg riche de la capitale, abrite plusieurs ambassades et résidences de diplomates. Le quartier général de l'armée et le ministère de la Défense sont situés dans la localité voisine de Yarzé.
Lundi, le président du parlement libanais a reporté l'élection présidentielle au 17 décembre, huitième report de ce scrutin à chaque fois ajourné en raison de divergences entre la coalition antisyrienne au pouvoir et l'opposition soutenue par Damas.
Les deux camps se sont mis d'accord la semaine dernière sur le nom du général Michel Souleïmane, un chrétien maronite, pour le poste laissé vacant depuis l'expiration du mandat d'Emile Lahoud, le 24 novembre.
Le Liban a connu plusieurs assassinats de personnalités anti-syriennes depuis le meurtre de l'ancien Premier ministre Rafic Hariri en février 2005. Le plus récent a visé Antoine Ghanem, tué dans un attentat à la voiture piégée en septembre.
Source: http://fr.news.yahoo.com/
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