Le partage de la Mauritanie

Manifestations en Ukraine après une loi en faveur du russe
Des affrontements ont mis aux prises mercredi à Kiev la police anti-émeutes et des centaines de manifestants opposés à une loi visant à renforcer l'usage du russe. Le texte, qui confère au russe le statut de langue "régionale" dans les zones où il est parlé par une majorité de la population, a été adopté mardi en seconde et dernière lecture après la proposition surprise d'un député de la majorité, ce qui a pris ses opposants de court. Il n'aura toutefois force de loi que si le président du Parlement, puis le chef de l'Etat y apposent leur signature. Le président du Parlement, face à cette situation, a présenté sa démission. "Je vous demande d'examiner ma démission et de prendre une décision à ce propos", a déclaré Vladimir Litvine, à la réouverture des débats, dans la matinée. Les manifestants s'étaient rassemblés devant un bâtiment où le président Viktor Ianoukovitch, devait prononcer un discours pour célébrer la réussite de l'Euro 2012 de football. Ils ont été repoussés par la police à coup de matraques et de gaz lacrymogènes.(fr.reuters.com) Mais si le russe est parlé en majorité dans certaines régions et pas d'autre cette loi n'est qu'une loi présentant un statut qui n'est pas bien méchant qui plus est.

ETA : l'agresseur d'Aznar arrêté en France
Le membre de l'ETA, accusé de tentative d'attentat en 2001 contre José Maria Aznar, alors chef du gouvernement, vient d'être arrêté à Pau. Le ministère espagnol de l'Intérieur a annoncé mercredi l'arrestation, près de Pau en France, de Juan Maria Mugica Dorronsoro, membre du groupe basque armé ETA, accusé de tentative d'attentat en 2001 contre le chef du gouvernement de l'époque, José Maria Aznar. L'opération a été menée conjointement par la police française et la garde civile espagnole, a précisé le ministère dans un communiqué. Juan Maria Mugica avait échappé en janvier 2010 à une opération policière menée à Lizartza, au Pays basque espagnol (nord), au cours de laquelle "avait été démantelé un commando de transport de matériel de l'ETA".(lepoint.fr) Ne nous arrêtons pas sur le délai qu'a mis l'interpellation à se faire, il n'est plus un danger et n'est pas mort c'est ca qui compte.

Ces groupes armés qui se partagent le Nord du Mali
Depuis la fin mars, les deux deux-tiers du Mali sont aux mains de groupes rebelles qui défient l'État central. Quatre mouvements principaux, parfois antagonistes, se divisent l'Azawad, ce territoire mythique revendiqué par les Touaregs. Essentiellement touareg, c'est le groupe historique. Il est dirigé par le secrétaire général, Bilal Ag Achérif, et surtout par Mohamed Ag Najim. Ce dernier, ancien colonel dans l'armée de Kadhafi, a fui la Libye en juillet 2011 à la tête d'une puissante colonne de véhicules chargés de soldats et d'armes. Ces hommes, formeront l'ossature du MNLA. En quatre mois, ils chassent l'armée Malienne du Nord du pays, occupant les principales villes de la zone: Kidal, Tombouctou et Gao. Le MNLA se dit indépendantiste et laïc. Il affirme s'opposer à al-Qaida . Photo fournie par le MNLA à l'Agence France Presse. Le groupe touareg indique qu'elle daterait de février. Le MNLA va pourtant vite perdre de sa puissance faute d'organisation et de finances. Ces hommes sont chassés de Tombouctou par Ansar Dine (voir ci-dessous) dès le lendemain de la conquête, fin mars.(lefigaro.fr) Mais que fait la communauté internationale?

Source: Yahoo actualités

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