"Notre marine va se joindre aux autres forces militaires déjà présentes en mer", a déclaré Moses Wetangula à l'issue d'un entretien à Nairobi avec le ministre somalien des Affaires étrangères Ali Jama Jangeli.
Des pirates somaliens se sont emparés le 25 septembre du Faina, un cargo ukrainien transportant notamment 33 chars d'assaut de conception soviétique ainsi que des lance-roquettes et des batteries anti-aériennes.
Le cargo est actuellement ancré à quelques encablures de la ville portuaire d'Hobyo, à environ 500 km au nord de Mogadiscio, et encerclé par plusieurs navires de guerre, notamment américains, dont l'étroite surveillance vise à empêcher les pirates de décharger la cargaison.
"Nous nous sommes consultés avec les autres forces militaires et nous nous sommes accordés pour invoquer la résolution 1816 du Conseil de sécurité des Nations unies qui autorise le recours à la force", a ajouté M. Wetangula.
La résolution 1816 a été adoptée le 2 juin et permet l'entrée de navires de guerre pour traquer des pirates dans les eaux somaliennes, habilitant les Etats impliqués à "recourir à tous les moyens nécessaires" pour mener à bien cette action, tout en respectant "les dispositions du droit international concernant les actions en haute mer".
Dans une nouvelle résolution adoptée mardi, le Conseil de sécurité a appelé les Etats à agir en employant les "moyens nécessaires" contre la piraterie au large de la Somalie.
"Nous n'allons pas entamer des discussions avec ces criminels internationaux car cela favoriserait la culture de l'impunité et c'est pourquoi nous sommes opposés au versement d'une rançon", a ajouté le ministre.
Mardi, un porte-parole des pirates avait affirmé qu'un accord en vue de relâcher le bateau pourrait être atteint d'ici mercredi.
Des pirates somaliens se sont emparés le 25 septembre du Faina, un cargo ukrainien transportant notamment 33 chars d'assaut de conception soviétique ainsi que des lance-roquettes et des batteries anti-aériennes.
Le cargo est actuellement ancré à quelques encablures de la ville portuaire d'Hobyo, à environ 500 km au nord de Mogadiscio, et encerclé par plusieurs navires de guerre, notamment américains, dont l'étroite surveillance vise à empêcher les pirates de décharger la cargaison.
"Nous nous sommes consultés avec les autres forces militaires et nous nous sommes accordés pour invoquer la résolution 1816 du Conseil de sécurité des Nations unies qui autorise le recours à la force", a ajouté M. Wetangula.
La résolution 1816 a été adoptée le 2 juin et permet l'entrée de navires de guerre pour traquer des pirates dans les eaux somaliennes, habilitant les Etats impliqués à "recourir à tous les moyens nécessaires" pour mener à bien cette action, tout en respectant "les dispositions du droit international concernant les actions en haute mer".
Dans une nouvelle résolution adoptée mardi, le Conseil de sécurité a appelé les Etats à agir en employant les "moyens nécessaires" contre la piraterie au large de la Somalie.
"Nous n'allons pas entamer des discussions avec ces criminels internationaux car cela favoriserait la culture de l'impunité et c'est pourquoi nous sommes opposés au versement d'une rançon", a ajouté le ministre.
Mardi, un porte-parole des pirates avait affirmé qu'un accord en vue de relâcher le bateau pourrait être atteint d'ici mercredi.
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