Istres en Provence: Détresses et servitudes du Blogging Politique

Un moyen peut-être de retourner à ma chère littérature tant il est vrai que bien souvent, à Marseille et en Provence, la réalité défie la fiction! C’est donc avec une incertaine régularité que je vous soumettrai sans vergogne ni humilité quelques réflexions soigneusement sélectionnées par votre serviteur pour leur impertinence.

Commençons d’abord par rendre justice à Guy Queytan, le fameux Bloggeur d’Istres. Il dément, et c’est tout à son honneur de socialiste humaniste – merci Guy, « s’être réjoui de l’incarcération de Bernard Granié » et s’inquièterait même des conditions, semble-t-il scandaleuses, d’incarcération du Président du San Ouest Provence. J’aurai donc mal compris. Mea culpa et espoir que les internautes aient mieux interprété la note de Guy. Il est en effet constant qu'à Editoweb nous sommes parfois trop pointilleux..

Nicole Joulia, Maire d’Istres, a présenté ses vœux officiels en se félicitant de l’appui dont l’a assuré Michel Vauzelle, Président du Conseil Régional de Provence Côte d’Azur (à ma connaissance, notre presse institutionnelle n’a pas donné l’info). Dans la foulée, Nicole remercie Bernardin Laugier, Conseiller Général Maire Honoraire d’Istres, et François Bernardini. Comme quoi, en politique, rien n’est vraiment figé !
A propos de François, il me semble aussi discret que son blog. Incroyable, ce blog ! Même sans y écrire, il avance et dame le pion au site officiel de la ville. Mais tu sais, François, tu lui manques ton blog : il a fait un si bon travail et tu lui as tant donné pendant la campagne et bien avant aussi.
Nicole n’a pas pu féliciter Michel Caillat, l’ancien maire d’Istres qu’elle a battu (je n’ai pas dit comme plâtre) et dont certains prétendent qu’il serait en vacances de neige alors que ses «amis», Alain Detavernier et Patrice Gouin, auraient quelques inquiétudes judiciaires dans l’affaire Granié. Sans doute s’agit-il d’une rumeur infondée.
Je crois qu’il est temps que je remonte à la surface, vous ne pensez pas ?

N’ayez crainte, dès demain, je justifierai du titre, quelque peu racoleur et polémiste, de cette chronique. A moins que d’ici-là un crocodile ou un autre ne se décide à faire de moi son repas….