« A mon avis, il s'agit d'un double complot pour me liquider ». C'est le sentiment de Farba Senghor après avoir été limogé du gouvernement par le Président de la République. Ceci, dans la mesure où dit-il, « je ne suis mêlé ni de près ni de loin à cette affaire. Et je ne pense pas que la police a produit un rapport dans le but de m'accabler quand on sait que mon proche collaborateur qui avait été arrêté sur dénonciation de deux individus, a été libéré le même jour, faute de preuves ».
D'ailleurs, Farba Senghor va plus loin dans ce dossier en soupçonnant un attentat contre sa personne. « Au-delà de l'affaire elle-même, j'ai le sentiment que quelqu'un a voulu profiter de la situation pour me liquider ». Puisque, poursuit-il, « je sais que le Président de la République réprouve toute violence et est un grand défenseur des libertés et de la démocratie ».
Pour Farba Senghor, en prenant cette décision, Me Wade a voulu « me permettre de faire face à mes accusateurs qui, dorénavant, doivent sortir leurs preuves et démontrer que je suis effectivement impliqué dans cette histoire ». Non sans préciser que « le combat ne fait que commencer ».
S'agissant du rapport de police remis au Chef de l'Etat, l'ex-ministre des Transports aériens et de l'Artisanat s'étonne de « son caractère partial et orienté qui frise le parti pris ». Ceci, en faisant allusion aux informations fournies par anticipation qui sont relayées par la presse. D'autant plus que, soutient-il, « je ne connais pas les personnes citées comme étant les auteurs des faits. Je n'étais pas dans le territoire national. Et je n'ai demandé à personne d'accomplir un tel acte ». Et de marteler dans la foulée que « mon combat contre une certaine presse fossoyeuse des fondements de la liberté, de notre société et de la nation a, toujours, été un combat d'idées (…)
« Même s'il ne veut aucun traitement de faveur », Farba Senghor invite à la cessation de « ce harcèlement et demande qu'une enquête moins ciblée soit menée ». D'autant plus que, dit-il, « un de mes proches a été interrogé au début de l'affaire Kambel Dieng afin de trouver un lien avec moi, mais sans succès. Et le jour où la presse a annoncé son arrestation, il était absent de Dakar ».
Tout ceci pousse Farba Senghor à se convaincre que « c'est un sordide montage », le visant parce qu'il empêche de « tourner en rond ».
Source: Rewmi
D'ailleurs, Farba Senghor va plus loin dans ce dossier en soupçonnant un attentat contre sa personne. « Au-delà de l'affaire elle-même, j'ai le sentiment que quelqu'un a voulu profiter de la situation pour me liquider ». Puisque, poursuit-il, « je sais que le Président de la République réprouve toute violence et est un grand défenseur des libertés et de la démocratie ».
Pour Farba Senghor, en prenant cette décision, Me Wade a voulu « me permettre de faire face à mes accusateurs qui, dorénavant, doivent sortir leurs preuves et démontrer que je suis effectivement impliqué dans cette histoire ». Non sans préciser que « le combat ne fait que commencer ».
S'agissant du rapport de police remis au Chef de l'Etat, l'ex-ministre des Transports aériens et de l'Artisanat s'étonne de « son caractère partial et orienté qui frise le parti pris ». Ceci, en faisant allusion aux informations fournies par anticipation qui sont relayées par la presse. D'autant plus que, soutient-il, « je ne connais pas les personnes citées comme étant les auteurs des faits. Je n'étais pas dans le territoire national. Et je n'ai demandé à personne d'accomplir un tel acte ». Et de marteler dans la foulée que « mon combat contre une certaine presse fossoyeuse des fondements de la liberté, de notre société et de la nation a, toujours, été un combat d'idées (…)
« Même s'il ne veut aucun traitement de faveur », Farba Senghor invite à la cessation de « ce harcèlement et demande qu'une enquête moins ciblée soit menée ». D'autant plus que, dit-il, « un de mes proches a été interrogé au début de l'affaire Kambel Dieng afin de trouver un lien avec moi, mais sans succès. Et le jour où la presse a annoncé son arrestation, il était absent de Dakar ».
Tout ceci pousse Farba Senghor à se convaincre que « c'est un sordide montage », le visant parce qu'il empêche de « tourner en rond ».
Source: Rewmi