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Nikos Aliagas part fâché de NRJ
Le limogeage de l'animateur de la matinale de NRJ était programmé. Il a pris les devants. On ne peut pas dire que Nikos Aliagas s'en aille de NRJ dans la joie et la bonne humeur. Son départ, annoncé par lui-même, n'est pas vraiment volontaire, d'autant plus que, du côté de TF1, l'employeur principal de l'animateur, aucun projet n'a été pour l'instant concrétisé pour la saison prochaine. Officiellement, NRJ et Aliagas se séparent "d'un commun accord". En vérité, Nikos Aliagas avait eu vent, depuis plus d'un mois, de négociations discrètes entre NRJ et Manu Lévy, l'animateur de Fun qui le remplacera à la rentrée. Précédant un limogeage qu'il savait certain, Nikos a donc fait savoir qu'il quittait la station pour laquelle il a passablement "mouillé le maillot", comme l'observe un concurrent. Départ curieux dans la mesure où les résultats d'audience de Nikos Aliagas étaient bons. Le 6/9, suivi par 2,6 millions de paires d'oreilles, a gagné, en un an, 161 000 auditeurs lors de la dernière vague de sondages Médiamétrie (janvier-mars 2011), contribuant ainsi au retour de NRJ au deuxième rang du classement.(lepoint)
Pourquoi la croissance française repart
Contre toute attente, le PIB français a augmenté de 1% au premier trimestre 2011. Une croissance qui n'avait pas été enregistrée dans l'Hexagone depuis le quatrième trimestre 2006, juste avant le déclenchement de la crise économique. La ministre de l'Economie, Christine Lagarde, s'est félicitée vendredi dans un communiqué de ces chiffres qui «confirment que l'économie française est installée sur la voie d'une reprise solide». Consommation en hausse. Cette accélération de la croissance s'explique tout d'abord par la hausse de la consommation, moteur traditionnel de l'activité économique en France. Selon l'Insee, les dépenses des consommateurs ont ainsi augmenté de 0,6% au premier trimestre, contre 0,4% au précédent.(20minutes)
Retour du Portugal dans la récession au 1er trimestre
Le produit intérieur brut (PIB) du Portugal s'est contracté de 0,7% au premier trimestre par rapport au trois mois précédents, ce qui marque le retour du pays dans la récession. En outre, l'Institut national de la statistique (INE) a annoncé vendredi avoir révisé la baisse enregistrée au quatrième trimestre 2010, à -0,6% contre -0,3% en première estimation. La contraction du PIB ressort à -0,7% l'an sur la période janvier-mars, après une hausse de 1% (révisée de +1,2%) entre octobre et décembre. L'INE souligne que ce repli a été provoqué par une chute de la demande interne.(reuters)
La CE prévoit une croissance de 1,6% en zone euro en 2011
L'économie de la zone euro devrait croître de 1,6% en 2011 puis 1,8% en 2012, selon les prévisions publiées vendredi par la Commission européenne, qui anticipe également un tassement de l'inflation en 2012 après une hausse des prix de 2,6% en 2011. Les prévisions de printemps de l'exécutif communautaire font également ressortir une baisse attendue des déficits en zone euro au cours des deux prochaines années, à respectivement 4,3 et 3,5%, alors que les niveaux de dette devraient quant à eux augmenter légèrement à 87,7 puis 88,5% du PIB de la zone monétaire commune en 2011 et 2012.(reuters)
Source: Yahoo Actualités
Le limogeage de l'animateur de la matinale de NRJ était programmé. Il a pris les devants. On ne peut pas dire que Nikos Aliagas s'en aille de NRJ dans la joie et la bonne humeur. Son départ, annoncé par lui-même, n'est pas vraiment volontaire, d'autant plus que, du côté de TF1, l'employeur principal de l'animateur, aucun projet n'a été pour l'instant concrétisé pour la saison prochaine. Officiellement, NRJ et Aliagas se séparent "d'un commun accord". En vérité, Nikos Aliagas avait eu vent, depuis plus d'un mois, de négociations discrètes entre NRJ et Manu Lévy, l'animateur de Fun qui le remplacera à la rentrée. Précédant un limogeage qu'il savait certain, Nikos a donc fait savoir qu'il quittait la station pour laquelle il a passablement "mouillé le maillot", comme l'observe un concurrent. Départ curieux dans la mesure où les résultats d'audience de Nikos Aliagas étaient bons. Le 6/9, suivi par 2,6 millions de paires d'oreilles, a gagné, en un an, 161 000 auditeurs lors de la dernière vague de sondages Médiamétrie (janvier-mars 2011), contribuant ainsi au retour de NRJ au deuxième rang du classement.(lepoint)
Pourquoi la croissance française repart
Contre toute attente, le PIB français a augmenté de 1% au premier trimestre 2011. Une croissance qui n'avait pas été enregistrée dans l'Hexagone depuis le quatrième trimestre 2006, juste avant le déclenchement de la crise économique. La ministre de l'Economie, Christine Lagarde, s'est félicitée vendredi dans un communiqué de ces chiffres qui «confirment que l'économie française est installée sur la voie d'une reprise solide». Consommation en hausse. Cette accélération de la croissance s'explique tout d'abord par la hausse de la consommation, moteur traditionnel de l'activité économique en France. Selon l'Insee, les dépenses des consommateurs ont ainsi augmenté de 0,6% au premier trimestre, contre 0,4% au précédent.(20minutes)
Retour du Portugal dans la récession au 1er trimestre
Le produit intérieur brut (PIB) du Portugal s'est contracté de 0,7% au premier trimestre par rapport au trois mois précédents, ce qui marque le retour du pays dans la récession. En outre, l'Institut national de la statistique (INE) a annoncé vendredi avoir révisé la baisse enregistrée au quatrième trimestre 2010, à -0,6% contre -0,3% en première estimation. La contraction du PIB ressort à -0,7% l'an sur la période janvier-mars, après une hausse de 1% (révisée de +1,2%) entre octobre et décembre. L'INE souligne que ce repli a été provoqué par une chute de la demande interne.(reuters)
La CE prévoit une croissance de 1,6% en zone euro en 2011
L'économie de la zone euro devrait croître de 1,6% en 2011 puis 1,8% en 2012, selon les prévisions publiées vendredi par la Commission européenne, qui anticipe également un tassement de l'inflation en 2012 après une hausse des prix de 2,6% en 2011. Les prévisions de printemps de l'exécutif communautaire font également ressortir une baisse attendue des déficits en zone euro au cours des deux prochaines années, à respectivement 4,3 et 3,5%, alors que les niveaux de dette devraient quant à eux augmenter légèrement à 87,7 puis 88,5% du PIB de la zone monétaire commune en 2011 et 2012.(reuters)
Source: Yahoo Actualités
