Aujourd’hui, le processus d’identification est d’autant plus nécessaire qu’aucun parent du défunt ne s’est manifesté pour signaler la disparition d’un proche.
La congélation du corps qui était gardé à l’hôpital Aristide Le Dantec avait empêché le service de l’identité judiciaire de procéder à temps à la prise des empreintes indispensables à l’identification de la dépouille.
C’est désormais chose faite. Il suffit maintenant de remonter les archives nationales de l’identité judiciaire pour déterminer l’état civil, l’histoire personnelle et l’adresse du défunt. Quant au probable crime qui a été perpétré, les enquêteurs de la police devront dorénavant s’appuyer sur les résultats de l’autopsie pour être en mesure d’étayer la thèse du meurtre et surtout de dresser les premières orientations de l’enquête criminelle.
Quoiqu’il advienne, l’on devrait en savoir plus dans les jours à venir.
Source: Le Soleil
La congélation du corps qui était gardé à l’hôpital Aristide Le Dantec avait empêché le service de l’identité judiciaire de procéder à temps à la prise des empreintes indispensables à l’identification de la dépouille.
C’est désormais chose faite. Il suffit maintenant de remonter les archives nationales de l’identité judiciaire pour déterminer l’état civil, l’histoire personnelle et l’adresse du défunt. Quant au probable crime qui a été perpétré, les enquêteurs de la police devront dorénavant s’appuyer sur les résultats de l’autopsie pour être en mesure d’étayer la thèse du meurtre et surtout de dresser les premières orientations de l’enquête criminelle.
Quoiqu’il advienne, l’on devrait en savoir plus dans les jours à venir.
Source: Le Soleil