En direct, le Pr Perronne confirme aussi l’efficacité de l’hydroxychloroquine, de l’ivermectine et même de la plante Artemisia Annua.
Le journaliste Pascal Praud est interloqué :
« Mais quel serait l’intérêt d’un gouvernement de nous plonger (dans le confinement) – c’est ça que je ne comprends pas ! »
Robert Ménard, sur le plateau, renchérit :
« Je veux bien critiquer le pouvoir mais il n’y a quand même pas un complot – si c’est simple de soigner, je suppose qu’on nous l’aurait dit ! »
Nous comprenons leur réaction.
S’il existe des traitements efficaces contre la Covid-19, pourquoi ne seraient-ils pas recommandés par les autorités ?
C’est la question qui tue.
Et il faut y répondre.
Prenons l’ivermectine : grâce à plus de 20 études randomisées, nous savons avec certitude que cette molécule a une très grande efficacité contre la Covid-19 – en prévention, en traitement précoce et à l’hôpital [1].
Et pourtant, ces dernières semaines :
• L’Autorité européenne du médicament (EMA) a déconseillé ce médicament (« les données disponibles ne soutiennent pas son utilisation pour le Covid-19 en dehors d'essais cliniques ») ;
• L’Organisation mondiale de la Santé (OMS) a conclu que les preuves d’efficacité n’étaient pas « concluantes » et a déconseillé son utilisation en dehors d’essais cliniques ;
• Et l’Agence française du médicament (ANSM) a refusé d’accorder à l’ivermectine une « recommandation temporaire d’utilisation », estimant qu’on ne peut pas « présumer d’un bénéfice/risque favorable ».
C’est d’autant plus ahurissant que le risque de l’ivermectine est nul : il n’y a strictement aucun risque sérieux aux doses recommandées, ce qui est très rare pour un médicament.
Contrairement au vaccin AstraZeneca, par exemple (qui a notamment tué un étudiant en médecine en pleine santé), l’ivermectine ne cause pas d’effet indésirable grave. On le sait avec certitude, grâce à trente ans de recul et plusieurs milliards de doses prescrites, y compris à des enfants et des personnes âgées.
Il n’y a donc aucun risque à essayer (risque = 0), et plus de 20 études randomisées [2] qui montrent que l’ivermectine réduit la charge virale, évite les hospitalisations et sauve des vies (bénéfice = +++).
Et nous ne vous parlons même pas de son utilisation en Inde, au Zimbabwe ou au Mexique, où l’ivermectine a donné des résultats impressionnants sur les hospitalisations et la mortalité.
Mais si tout cela est vrai…
…cela voudrait dire que l’ANSM, l’EMA et l’OMS sont soit des imbéciles, soit de grands criminels.
Car dans cette hypothèse, ces agences seraient en train de déconseiller un traitement qui sauve des vies.
Pour la plupart des gens, c’est un peu difficile à avaler.
Comment croire – sauf à être « complotiste » - que les grands experts de l’ANSM ou de l’OMS puissent se tromper… ou nous tromper à ce point ?
Je vais essayer de répondre à cette question centrale, avec plusieurs arguments.
D’abord, il faut bien comprendre que le Pr Perronne n’est pas isolé, loin de là.
Premier argument : ne croyez pas au pseudo « consensus scientifique »
Quand on n’est pas du métier, il est normal de croire que les Agences du Médicament ou l’Organisation mondiale de la Santé incarnent le « consensus scientifique ».
Mais ce n’est pas le cas.
Ils ne reflètent que l’avis d’un petit groupe de scientifiques, qui sont eux-mêmes sous la pression énorme d’influences politiques et financières.
En parallèle, de très nombreux scientifiques et médecins indépendants du monde entier plébiscitent l’ivermectine, comme :
• L’Alliance FLCCC aux États-Unis, menée par le Dr Kory, a témoigné en décembre dernier de l’efficacité hors norme de l’ivermectine devant le Sénat américain [3] ;
• Le groupe BIRD en Grande-Bretagne, emmené par la Dr Tess Lawrie, a publié un rapport d’expert de 105 pages en faveur de l’ivermectine [4] ;
• Le Dr Andrew Hill, consultant pour l’Organisation mondiale de la Santé, a réalisé une revue d’études concluant à une probable réduction de la mortalité de 75 % [5] ;
• Au Japon, l’Association médicale de Tokyo a recommandé publiquement ce médicament [6], suivi par le Prix Nobel qui a découvert l’ivermectine.
En France, c’est le courageux Dr Gérard Maudrux qui a rédigé une synthèse implacable de toutes les preuves de l’efficacité de l’ivermectine [7].
Il faudrait aussi parler des milliers de médecins de terrain qui ont été convaincus par les études publiées et prescrivent quotidiennement l’ivermectine ou l’hydroxychloroquine – comme les médecins du réseau « Laissons les médecins prescrire » en France.
Et puis, il y a plusieurs États qui recommandent officiellement l’ivermectine contre la Covid-19, notamment la République tchèque et la Slovaquie.
Ne croyez pas qu’il y ait un « consensus scientifique » contre l’hydroxychloroquine, l’ivermectine ou la vitamine D : l’apparence du consensus est fabriquée de toutes pièces !
C’est simple : les médecins et scientifiques favorables aux traitements précoces sont censurés.
Censurés par l’Ordre des Médecins, qui a interdit formellement aux médecins d’en parler ouvertement.
Souvenez-vous du Dr Erbstein, médecin généraliste dans le Grand Est, qui avait soigné avec succès ses patients avec de l’azithromycine, du zinc et un anticoagulant – dès qu’il a parlé de ses résultats dans la presse, l’Ordre des Médecins l’a appelé en lui disant : « vous faites ce que vous voulez, mais vous ne dites rien ».
Dans la foulée, il a été poursuivi par l’Ordre des médecins et risque la radiation… exactement comme le Pr Raoult et 10 autres médecins qui ont osé parler des traitements qui marchent.
Bref, ne vous étonnez pas qu’il n’y ait pas plus de médecins qui défendent ces traitements à la télévision : ils risquent de perdre leur gagne-pain s’ils le font !
Il n’y a que quand vous êtes à deux doigts de la retraite, avec votre carrière derrière vous (et une bonne dose de courage !), comme le Pr Perronne ou le Dr Maudrux, que vous pouvez oser vous exprimer publiquement et librement !
A tout cela, s’ajoute la censure des médias.
C’est le journaliste Pascal Praud qui l’a reconnu, sur CNews :
« Je vous ai invité, Pr Perronne, je vais vous dire pourquoi : vous ne serez invité nulle part, en fait.
Le service public ne vous invitera pas. Vous êtes considéré comme complotiste, comme politiquement incorrect, comme mal-pensant, etc. » [8]
Et voilà comment on « fabrique » un pseudo-consensus, en n’invitant à la télé et à la radio que les médecins qui tiennent le même discours.
Comme la Pr Karine Lacombe, qui pense que « la vitamine D ne sert à rien ».
Après l’avoir entendue à la télévision, les gens pensent que son opinion incarne le consensus scientifique.
En réalité, sur la vitamine D, les sociétés savantes françaises se battent entre elles.
Vous avez d’un côté l’Académie de Médecine elle-même, et 6 sociétés savantes qui réclament à cor et à cri qu’on utilise la vitamine D en prévention et traitement de la Covid-19 [9].
Et de l’autre, vous avez le Haut Conseil à la Santé Publique qui sort un rapport expliquant – contre toute évidence – que la vitamine D et le zinc ne servent à rien [10].
Puis, les médias font comme si ces désaccords n’existaient pas.
Ils ont même réussi à discréditer, aux yeux de beaucoup de gens, le plus grand expert français des maladies infectieuses, le Pr Didier Raoult !
Pourtant, le Pr Raoult a l’avantage d’avoir fait une carrière immense sans le moindre lien avec Big Pharma… ce qui en fait un « oiseau rare » dans la profession.
Par chance, cet esprit libre est en plus à la tête d’un Institut de recherche indépendant de renommée mondiale (l’IHU de Marseille), dont il ne peut pas être « viré » - contrairement au Pr Perronne qui a perdu ses fonctions de chef de service de l’hôpital de Garches.
Et pour couronner le tout, le Pr Raoult a son propre média, sa chaîne YouTube, sur laquelle il peut dire ce qu’il veut, en toute indépendance.
Dans une de ses vidéos récentes, il a parfaitement expliqué le problème actuel :
« Il y a eu une guerre menée contre les anciens médicaments. Nous avons une situation qui est devenue complètement fantasque : les médicaments les mieux connus au monde, les moins toxiques du monde ont été considérés comme étant des poisons dangereux – l’hydroxychloroquine avant, et maintenant l’ivermectine. »
Pourquoi ? Parce que, dit le Pr Raoult :
« L’utilisation de médicaments anciens qui ne coûtent rien ne rentre pas dans la perspective de l’obsolescence programmée – c’est-à-dire de vouloir à tout prix que les vieilles molécules soient obsolètes, pour que l’on paie très cher de nouveaux médicaments. »
Il ajoute, comme pour prévenir une objection « facile » :
« Je ne sais pas si c’est du « complotisme » que de repérer qu’il y a des réseaux de lobbys qui tiennent absolument à empêcher la prescription de médicaments qui soulagent et qui ne coûtent rien ».
Encore une fois, ne croyez pas que le Pr Raoult serait « seul contre tous ».
Grâce à un sondage réalisé par le Quotidien du Médecin, on a appris que la majorité des médecins français ont désapprouvé vertement les décisions du Ministre Olivier Véran sur l’hydroxychloroquine [11].
Et avec raison : une grosse étude rétrospective iranienne [12], menée sur près de 30 000 patients positifs au Sars-Cov-2 vient d’apporter une nouvelle preuve de l’efficacité de l’hydroxychloroquine.
Dans cette étude, l’hydroxychloroquine donnée en traitement précoce :
• Réduit le risque d’hospitalisation de 38 % ;
• Et réduit la mortalité de 73 %, ce qui est considérable.
Mais les autorités et les médias ont réussi à faire croire que le Pr Raoult était isolé, dernier des mohicans à défendre sa « potion magique », alors que plus de 200 études scientifiques réalisées par des chercheurs du monde entier ont montré son efficacité en traitement précoce [13].
Bonne journée à tous
Sources :
Xavier BAZIN revue Santé corps esprit
[5] https://www.researchsquare.com/article/rs-148845/v1
[12] https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S1567576921002721
[13] https://hcqmeta.com/
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