Ban Ki-moon inspectait le quartier général de l'agence des Nations unies pour les réfugiés palestiniens (UNRWA) à Gaza, lourdement endommagé par un bombardement israélien jeudi dernier. Les décombres sont encore fumants.
Plusieurs installations de l'ONU dans la Bande de Gaza ont été touchées durant l'opération israélienne "Plomb durci", dont une école où près de 40 Palestiniens ont été tués dans un bombardement de Tsahal alors qu'ils cherchaient à se protéger des combats.
Ban Ki-moon est le plus haut responsable international à se rendre dans la Bande de Gaza depuis que le Hamas a pris le pouvoir par la force dans le territoire palestinien en juin 2007. Il ne doit pas rencontrer de responsable du mouvement islamiste, qui figure notamment sur la liste noire des organisations terroristes d'Israël, de l'Union européenne et des Etats-Unis.
Mardi, les militants du Mouvement de la Résistance islamique organisaient neuf marches dans les rues de Gaza pour crier victoire sur un champ de ruines.
Israël et le Hamas ont annoncé chacun de leur côté l'observation d'une trêve depuis dimanche après des combats qui a coûté la vie à 1.300 Palestiniens, selon des responsables sanitaires de Gaza, et à 13 Israéliens.
Alors que cette fragile trêve semblait tenir, Israël a manifesté son intention d'achever son retrait de la Bande de Gaza avant l'investiture de Barack Obama aux Etats-Unis ce mardi.
Le secrétaire général des Nations unies est personnellement intervenu durant ce conflit pour tenter de faire cesser la violence. Il a annoncé au cours du week-end l'envoi d'une équipe onusienne pour évaluer les besoins humanitaires afin que l'ONU puisse lancer un appel d'urgence pour une levée de fonds.
Selon les premières estimations indépendantes, Gaza a perdu près de deux milliards de dollars d'actifs dont 4.100 maisons, environ 1.500 usines et ateliers, 20 mosquées, 31 complexes de sécurité et dix stations de pompage et d'assainissement de l'eau.
Après Gaza, Ban Ki-moon devait se rendre dans la ville israélienne de Sderot, cible permanente des tirs palestiniens de roquettes dans le sud du pays
Source: Yahoo News
Plusieurs installations de l'ONU dans la Bande de Gaza ont été touchées durant l'opération israélienne "Plomb durci", dont une école où près de 40 Palestiniens ont été tués dans un bombardement de Tsahal alors qu'ils cherchaient à se protéger des combats.
Ban Ki-moon est le plus haut responsable international à se rendre dans la Bande de Gaza depuis que le Hamas a pris le pouvoir par la force dans le territoire palestinien en juin 2007. Il ne doit pas rencontrer de responsable du mouvement islamiste, qui figure notamment sur la liste noire des organisations terroristes d'Israël, de l'Union européenne et des Etats-Unis.
Mardi, les militants du Mouvement de la Résistance islamique organisaient neuf marches dans les rues de Gaza pour crier victoire sur un champ de ruines.
Israël et le Hamas ont annoncé chacun de leur côté l'observation d'une trêve depuis dimanche après des combats qui a coûté la vie à 1.300 Palestiniens, selon des responsables sanitaires de Gaza, et à 13 Israéliens.
Alors que cette fragile trêve semblait tenir, Israël a manifesté son intention d'achever son retrait de la Bande de Gaza avant l'investiture de Barack Obama aux Etats-Unis ce mardi.
Le secrétaire général des Nations unies est personnellement intervenu durant ce conflit pour tenter de faire cesser la violence. Il a annoncé au cours du week-end l'envoi d'une équipe onusienne pour évaluer les besoins humanitaires afin que l'ONU puisse lancer un appel d'urgence pour une levée de fonds.
Selon les premières estimations indépendantes, Gaza a perdu près de deux milliards de dollars d'actifs dont 4.100 maisons, environ 1.500 usines et ateliers, 20 mosquées, 31 complexes de sécurité et dix stations de pompage et d'assainissement de l'eau.
Après Gaza, Ban Ki-moon devait se rendre dans la ville israélienne de Sderot, cible permanente des tirs palestiniens de roquettes dans le sud du pays
Source: Yahoo News
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