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Violences urbaines: 17 policiers blessés à Amiens
SDPM
SYNDICAT DE DEFENSE DES POLICIERS MUNICIPAUX
http://www.sdpm.net/article-amiens-armement-urgent-policiers-en-danger-de-mort-109089839.html
ARMEMENT URGENT !
LES POLICIERS MUNICIPAUX D’AMIENS
EN DANGER DE MORT
Cela fait des mois que le SDPM met en garde la municipalité d’AMIENS contre l’angélisme qui entache sa politique de sécurité et la croissance extraordinaire de la délinquance qui place les policiers nationaux, mais aussi municipaux en danger.
Il y a quelques mois, des policiers municipaux ont été pris dans un guet apens et ont perdu un véhicule, des agents sont régulièrement face à la violence et désormais des émeutiers n’hésitent pas à tirer à balles réelles sur les forces de l’ordre !
Et pour seule réponse de la commune : c’est la faute de l’état !
STOP ! CA SUFFIT !
LE SDPM REMET LES PENDULES A L’HEURE !
Le Maire est responsable de la sécurité sur sa commune ! Dire le contraire relève de l’idéologie et non de la Loi !
Si les violences ont augmenté de 72% en deux ans, c’est aussi de la responsabilité de la Mairie et de sa politique de sécurité !
C’est donc un échec !
La commune et notamment Emilie Thérouin, adjointe au Maire déléguée à la sécurité, s’inquiète de la qualité de travail des policiers nationaux, de leurs effectifs, mais devrait se soucier de celles des policiers municipaux ! Le Maire est également responsable de la sécurité de ses propres agents !
Les agents de Police Municipale sont en danger de mort dans les rues d’AMIENS, et ils ne sont pas armés ! [armes à feu]
Certains n’ont pas encore leur gilet pare-balle ! Le matériel de communication est obsolète, les locaux sont vétustes !
Où sont donc la Mairie et Emilie Thérouin adjointe à la sécurité,
face à ces demandes, elles qui savent tant demander à l’Etat ?
LE SDPM MET LE MAIRE D’AMIENS EN DEMEURE
D’ASSUMER SES RESPONSABILITES EN TERME DE SECURITE !
Le SDPM demande :
l’armement à feu des policiers municipaux
les gilets pare-balle pour tous les agents
les moyens de communication adaptés
des locaux réadaptés
En somme : la fin de l’angélisme pour la
politique de sécurité de la commune !
Si le SDPM n’obtient pas satisfaction et que des agents sont blessés ou pire, le SDPM poursuivra la responsabilité de la commune et des élus y compris au pénal s’il le faut !
Signé : Le Président national :
Cédric MICHEL
Délégué à Amiens : VINCENT DUPUIS, policier municipal.
Je suis choqué par cet article, mais dans quel pays vivons nous, voilà que maintenant c'est la faute des policiers si les délinquants refusent toute forme d'autorité et commettent des délits.
Certains propos n'ont vraiment aucun sens :
"Il serait temps que la police reconsidère sa mission et cesser de n'incarner que la force" : Je dois dire que la mission de la police est de maintenir l'ordre et de faire appliquer les lois, en ce sens elle est censée faire usage des pouvoirs qui lui sont attribués et les contrôles d'identité, contrôles routiers et autres en font partie, ce n'est pas aux délinquants de décider ce que doit ou ne doit pas faire la police.
Sinon pourquoi avoir mis la gauche au pouvoir? : Est ce dire que la gauche a été élue avec l’appui de la masse délinquante de notre pays. Cette réflexion est vraiment stupide, navré de vous le dire, c'est comme quand j'entends des trucs du genre, légalisons le cannabis comme ça il n'y aura plus d'infraction à la consommation et vente de celui-ci, vraiment super on supprime la loi comme ça plus de problème à la faire respecter.
Et pour "l'ordre républicain", ne suis navré de vous dire qu'il existe et que sans lui la France ne serait plus une république mais une dictature dans laquelle le plus fort prends le pouvoir.
Sinon un petit mot pour MICHEL ayant laissé une réponse concernant la police municipale, je dois dire que je vous soutiens totalement, il est vraiment scandaleux de constater de telles situations, a savoir que les délinquants soient armés et pas les policiers, c'est vraiment inconcevable dans mon esprit mais c'est pourtant vrai. J’espère qu'en cas de problème vous irez au bout de votre démarche et que le maire de la ville assumera toutes ses responsabilités.
Il fallait être d’une naïveté oligophrène ou d’une mauvaise foi politicienne pour croire qu’avec ou sans Kärcher il y aurait une différence. Toujours les mêmes réflexes de certains : insulter, détruire, agresser pour d’informulables motifs. Qui voulaient-ils donc au Ministère de l’Intérieur ? Un laxiste qui déprécie le comportement des forces de l’ordre ? Qu’on prenne un de ces casseurs (définition ici : http://viserlatete.blogspot.fr/2010/10/c-comme.html), qu’on lui donne une responsabilité quelconque et on verra son épaisseur humaine, sa fiabilité. Déception quasi certaine. Pour quelques rappels sur ces néfastes sociaux : http://pamphletaire.blogspot.fr/search/label/Casseurs%20%28Les%29
Définition des néfastes sociaux (une définition personnelle, humblement pardon!): ceux dont a peur celui qui se sent bien calé dans le moule social. Tant qu'on y est, ajoutons les chômeurs à la liste des néfastes sociaux; puis viendra le temps où le quatrième âge entrera également dans la catégorie.
Une société harmonieuse est une société dans laquelle tout le monde trouve sa place. Les néfastes ne sont jamais néfastes par vocation: ils sont générés par les autres, par ceux , plus nombreux, qui les classifient comme tels. Ils sont définis par le regard méprisant de ceux qui se croient, génétiquement ou par on ne sait miracle, à l'abri de la déchéance. C'est une bien triste réalité et la meilleure lutte contre la délinquance est sa prévention afin que les policiers ne se sentent pas en danger de mort.
Un État, si fort soit-il, n'a pas, hélas, le pouvoir de changer le regard hostile de la masse; ce serait pourtant la meilleure des préventions. Il appartient à chacun de se remettre en question et de mettre en oeuvre la devise de la France: Liberté, Égalité, Fraternité.
Rappelez-vous: "Frères humains qui après nous vivez, n'ayez contre nous le coeur endurci". Quand vous avez appris ce poème en classe de troisième, vous aviez encore la faculté d'éprouver de la compassion. Pourquoi cela a-t-il changé?
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