Ségolène Royal affirme mardi 15 juillet que la majorité cherche à la faire taire car elle est détentrice d'une "vérité qui dérange".
"L'attitude de la majorité consiste à me faire taire en m'insultant", a déclaré la présidente de Poitou-Charentes.
Pour l'ancienne candidate socialiste à la présidentielle, "on a rarement atteint une telle vulgarité, une telle violence dans les propos de la majorité en place contre un responsable de l'opposition".
"Quand on dénonce des vérités qui dérangent, ceux qui portent ces paroles de vérité sont traités de dérangés et c'est ce qui est en train de se passer", a-t-elle estimé.
"Je ne dépends d'aucune puissance d'argent, d'aucune puissance médiatique, je n'ai jamais rien fait de malhonnête dans ma vie donc je ne suis sujette à aucune pression ou aucun chantage donc cette liberté de parole, elle est totale et je continuerai à l'exercer", a-t-elle poursuivi.
Ségolène Royal a déclenché la semaine dernière des attaques violentes de la part de l'UMP en dénonçant un possible lien entre deux cambriolages de son appartement et ses critiques contre Nicolas Sarkozy et le gouvernement.
Frédéric Lefebvre, porte-parole de l'UMP, a déclaré que l'élue socialiste avait "pété un câble" et lui a conseillé de solliciter un soutien psychologique. Un autre porte-parole du parti majoritaire, Dominique Paillé, a parlé d'"insinuations calomnieuses".
Ségolène Royal a indiqué qu'elle ne comptait pas porter plainte pour diffamation "parce que sinon c'est tous les jours, je ne voudrais pas encombrer les prétoires"
Elle a ajouté ne pas vouloir entretenir le "feuilleton" sur les cambriolages dont elle a été victime, qui font l'objet d'une enquête.
"J'ai simplement souligné qu'il y avait une drôle de coïncidence et que ça faisait deux fois, sans parler du vol des ordinateurs de plusieurs de mes collaborateurs et amis", a-t-elle dit.
Le ministre de la Défense Hervé Morin a considéré que la présidente de Poitou-Charentes cherchait avant tout à se faire remarquer.
"Ça fait 15 jours que Ségolène Royal essaie de se faire remarquer. La semaine dernière c'était son appartement, la semaine d'avant c'était je ne sais quoi, ça embarrasse tellement ses partenaires et ses collègues socialistes qu'ils ne savent plus quoi dire d'ailleurs", a-t-il déclaré.
Souce: Nouvel Observateur
"L'attitude de la majorité consiste à me faire taire en m'insultant", a déclaré la présidente de Poitou-Charentes.
Pour l'ancienne candidate socialiste à la présidentielle, "on a rarement atteint une telle vulgarité, une telle violence dans les propos de la majorité en place contre un responsable de l'opposition".
"Quand on dénonce des vérités qui dérangent, ceux qui portent ces paroles de vérité sont traités de dérangés et c'est ce qui est en train de se passer", a-t-elle estimé.
"Je ne dépends d'aucune puissance d'argent, d'aucune puissance médiatique, je n'ai jamais rien fait de malhonnête dans ma vie donc je ne suis sujette à aucune pression ou aucun chantage donc cette liberté de parole, elle est totale et je continuerai à l'exercer", a-t-elle poursuivi.
Ségolène Royal a déclenché la semaine dernière des attaques violentes de la part de l'UMP en dénonçant un possible lien entre deux cambriolages de son appartement et ses critiques contre Nicolas Sarkozy et le gouvernement.
Frédéric Lefebvre, porte-parole de l'UMP, a déclaré que l'élue socialiste avait "pété un câble" et lui a conseillé de solliciter un soutien psychologique. Un autre porte-parole du parti majoritaire, Dominique Paillé, a parlé d'"insinuations calomnieuses".
Ségolène Royal a indiqué qu'elle ne comptait pas porter plainte pour diffamation "parce que sinon c'est tous les jours, je ne voudrais pas encombrer les prétoires"
Elle a ajouté ne pas vouloir entretenir le "feuilleton" sur les cambriolages dont elle a été victime, qui font l'objet d'une enquête.
"J'ai simplement souligné qu'il y avait une drôle de coïncidence et que ça faisait deux fois, sans parler du vol des ordinateurs de plusieurs de mes collaborateurs et amis", a-t-elle dit.
Le ministre de la Défense Hervé Morin a considéré que la présidente de Poitou-Charentes cherchait avant tout à se faire remarquer.
"Ça fait 15 jours que Ségolène Royal essaie de se faire remarquer. La semaine dernière c'était son appartement, la semaine d'avant c'était je ne sais quoi, ça embarrasse tellement ses partenaires et ses collègues socialistes qu'ils ne savent plus quoi dire d'ailleurs", a-t-il déclaré.
Souce: Nouvel Observateur
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