Si Bruno Meier se dit "assez optimiste pour les marchés émergents comme la Chine, l'Inde et le Brésil, il prévoit en revanche un repli en Europe et aux Etats-Unis.
Il a observé un tassement brusque du marché au mois d'octobre et reconnaît avoir connu "un recul des ventes ces deux derniers mois" à l'image de ses concurrents.
"Nous ne prévoyons aucun licenciement", souligne le directeur général, n'excluant toutefois pas de réduire "très légèrement" le nombre de ses employés qui se monte à environ 6.000 actuellement.
Quant à l'impact de la crise sur le secteur horloger, Meier relativise les conséquences pour les marques connues. Celles-ci "vont souffrir un peu, mais traverseront les turbulences. Celles qui ont dû s'endetter connaîtront des difficultés et une part d'entre elles va disparaître."
Le directeur général répète par ailleurs que Rolex n'est aucunement exposé à l'affaire Madoff. La démission de son prédécesseur Patrick Heiniger avait déclenché des spéculations en ce sens.
"C'est totalement farfelu", s'indigne Meier. "Nous n'avons aucune exposition à Madoff. Zéro franc, zéro centime."
Il admet en revanche que le groupe a pu subir "comme tout le monde" des pertes non effectives mais comptables sur la part de fonds investie en titres.
Source: Yahoo News
Il a observé un tassement brusque du marché au mois d'octobre et reconnaît avoir connu "un recul des ventes ces deux derniers mois" à l'image de ses concurrents.
"Nous ne prévoyons aucun licenciement", souligne le directeur général, n'excluant toutefois pas de réduire "très légèrement" le nombre de ses employés qui se monte à environ 6.000 actuellement.
Quant à l'impact de la crise sur le secteur horloger, Meier relativise les conséquences pour les marques connues. Celles-ci "vont souffrir un peu, mais traverseront les turbulences. Celles qui ont dû s'endetter connaîtront des difficultés et une part d'entre elles va disparaître."
Le directeur général répète par ailleurs que Rolex n'est aucunement exposé à l'affaire Madoff. La démission de son prédécesseur Patrick Heiniger avait déclenché des spéculations en ce sens.
"C'est totalement farfelu", s'indigne Meier. "Nous n'avons aucune exposition à Madoff. Zéro franc, zéro centime."
Il admet en revanche que le groupe a pu subir "comme tout le monde" des pertes non effectives mais comptables sur la part de fonds investie en titres.
Source: Yahoo News