Bouffées d'angoisse chez les salariés. Le pouvoir d'achat est plus que jamais au centre de leurs préoccupations, comme en témoigne la quatrième vague trimestrielle de l'Observatoire des acteurs du travail réalisée par Ipsos, en partenariat avec l'Institut Manpower, pour LCI et « Les Echos ».
Aujourd'hui, un salarié sur deux est préoccupé par son salaire et un sur trois a le sentiment d'être mal payé. Si l'élection de Nicolas Sarkozy leur avait donné confiance, ils sont maintenant 44 %, soit deux fois plus qu'en juillet, à anticiper une baisse de leur pouvoir d'achat dans les mois qui viennent.
Ce que corrobore le sentiment des chefs d'entreprise : s'ils étaient 50 % en juillet à se dire en mesure d'augmenter les salaires, ils ne sont plus que 35 % en novembre. Attendue depuis quelques jours, l'intervention du président de la République sur le pouvoir d'achat tarde à s'organiser, le temps que les grèves se terminent.
La reprise du trafic SNCF se confirme alors que le métro s'annonce encore très perturbé à Paris, bien que la CGT de la RATP ait appelé ses agents à préserver leurs forces en privilégiant la négociation.
Aujourd'hui, un salarié sur deux est préoccupé par son salaire et un sur trois a le sentiment d'être mal payé. Si l'élection de Nicolas Sarkozy leur avait donné confiance, ils sont maintenant 44 %, soit deux fois plus qu'en juillet, à anticiper une baisse de leur pouvoir d'achat dans les mois qui viennent.
Ce que corrobore le sentiment des chefs d'entreprise : s'ils étaient 50 % en juillet à se dire en mesure d'augmenter les salaires, ils ne sont plus que 35 % en novembre. Attendue depuis quelques jours, l'intervention du président de la République sur le pouvoir d'achat tarde à s'organiser, le temps que les grèves se terminent.
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