Pour commémorer cet événement, Nicolas Sarkozy s'est rendu aux cérémonies du 65ème anniversaire de la Libération à la préfecture de police. Il a appelé à se montrer «digne de l'héritage de la libération». Pour le président, «tout ce que signifie la Libération de Paris, ce sursaut d'intelligence et de volonté collectives, cette ambition farouche de penser et de construire l'avenir pour qu'il redevienne une promesse».
Le Premier ministre François Fillon, plusieurs ministres, dont celui de l'Intérieur Brice Hortefeux, le maire de la capitale Bertrand Delanoë et le préfet de police de Paris Michel Gaudin étaient présents. Le président a également dévoilé une plaque en hommage aux policiers résistants. Selon le Parisien, cette initiative fait polémique car la police parisienne, notamment pendant la rafle du Vel' d'Hiv, est plus connue pour sa collaboration active.
Nicolas Sarkozy a donc tenu a préciser que les policiers résistants furent, «à l'image de leurs compatriotes», une «minorité jusqu'à la Libération».
Dans la capitale, un millier de plaques conservent sur les murs de la capitale la mémoire des années noires de l'Occupation et celle de la semaine de la Libération avec l'arrivée de la 2e DB en août 1944. Aujourd'hui, elles seront toutes fleuries. «De la plus modeste ("Ici est tombé pour la libération Guillois Michel gardien de la paix 20 août 1944", au 38 de l'avenue de l'Opéra) à la plus connue, apposée à l'emplacement de l'ancienne gare Montparnasse, où le général Leclerc reçut la reddition du général von Choltitz, gouverneur militaire allemand de Paris»... Lire la suite sur Slate.fr
Source: Slate via Yahoo News
Le Premier ministre François Fillon, plusieurs ministres, dont celui de l'Intérieur Brice Hortefeux, le maire de la capitale Bertrand Delanoë et le préfet de police de Paris Michel Gaudin étaient présents. Le président a également dévoilé une plaque en hommage aux policiers résistants. Selon le Parisien, cette initiative fait polémique car la police parisienne, notamment pendant la rafle du Vel' d'Hiv, est plus connue pour sa collaboration active.
Nicolas Sarkozy a donc tenu a préciser que les policiers résistants furent, «à l'image de leurs compatriotes», une «minorité jusqu'à la Libération».
Dans la capitale, un millier de plaques conservent sur les murs de la capitale la mémoire des années noires de l'Occupation et celle de la semaine de la Libération avec l'arrivée de la 2e DB en août 1944. Aujourd'hui, elles seront toutes fleuries. «De la plus modeste ("Ici est tombé pour la libération Guillois Michel gardien de la paix 20 août 1944", au 38 de l'avenue de l'Opéra) à la plus connue, apposée à l'emplacement de l'ancienne gare Montparnasse, où le général Leclerc reçut la reddition du général von Choltitz, gouverneur militaire allemand de Paris»... Lire la suite sur Slate.fr
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