Vers 21H00 GMT, le baril de "light sweet crude" pour livraison en décembre prenait 4,75 dollars à 95,14 dollars, peu après être monté jusqu'à 95,28 dollars, un nouveau record absolu.
Dans la journée de mercredi, les prix du pétrole côté à New York ont franchi coup sur coup le seuil de 94 dollars puis celui de 95 dollars.
A Londres, le pétrole Brent de la mer du Nord a traversé lui pour la première fois le cap de 91 dollars le baril pour grimper jusqu'à 91,10 dollars avant de se replier. Vers 21H00 GMT, il gagnait encore 3,19 dollars à 90,50 dollars.
Alors qu'ils avaient connu la veille un rapide mouvement de correction, leur faisant perdre environ trois dollars, les cours du pétrole se sont de nouveau envolés à des sommets, rapidement après la publication du rapport hebdomadaire du département américain de l'Energie (DoE) sur l'état des réserves américaines.
Les stocks de brut ont diminué de 3,9 millions de barils à 312,7 millions de barils, lors de la semaine achevée le 26 octobre. La nouvelle a pris au dépourvu le marché, car les analystes s'attendaient au contraire à une progression de 400.000 barils.
En revanche, les réserves de produits distillés (gazole et fioul de chauffage), cruciales avant l'hiver, ont progressé de 800.000 barils. De même les réserves d'essence sont ressorties en hausse de 1,3 million de barils.
Dans la journée de mercredi, les prix du pétrole côté à New York ont franchi coup sur coup le seuil de 94 dollars puis celui de 95 dollars.
A Londres, le pétrole Brent de la mer du Nord a traversé lui pour la première fois le cap de 91 dollars le baril pour grimper jusqu'à 91,10 dollars avant de se replier. Vers 21H00 GMT, il gagnait encore 3,19 dollars à 90,50 dollars.
Alors qu'ils avaient connu la veille un rapide mouvement de correction, leur faisant perdre environ trois dollars, les cours du pétrole se sont de nouveau envolés à des sommets, rapidement après la publication du rapport hebdomadaire du département américain de l'Energie (DoE) sur l'état des réserves américaines.
Les stocks de brut ont diminué de 3,9 millions de barils à 312,7 millions de barils, lors de la semaine achevée le 26 octobre. La nouvelle a pris au dépourvu le marché, car les analystes s'attendaient au contraire à une progression de 400.000 barils.
En revanche, les réserves de produits distillés (gazole et fioul de chauffage), cruciales avant l'hiver, ont progressé de 800.000 barils. De même les réserves d'essence sont ressorties en hausse de 1,3 million de barils.