Plusieurs chefs de la rébellion qui agite sporadiquement l'est du Tchad frontalier du Darfour ont également écopé de la peine capitale.
Hissène Habré vit en exil au Sénégal depuis son renversement en 1990 par l'actuel chef de l'Etat tchadien, le président Idriss Déby.
A la demande de l'Union africaine, la justice sénégalaise s'apprête à juger Habré pour tortures et assassinats politiques présumés commis durant son mandat.
Lors d'une audience cette semaine, la justice tchadienne a jugé par contumace plusieurs anciens dirigeants, dont Mahamat Nouri, chef de file de l'Alliance nationale (AN, rebelle), et Timane Erdimi, du Rassemblement des forces du changement (RFC).
Au total, 12 accusés, dont Habré, Nouri et Erdimi, ont écopé de la peine capitale.
La justice tchadienne n'a, en revanche, pas émis de mandats d'arrêt pour les condamnés par contumace.
Fin juillet, le Parlement sénégalais avait levé les derniers obstacles constitutionnels au procès pour crimes contre l'humanité d'Hissène Habré.
Les deux chambres réunies en Congrès avaient approuvé le projet de loi autorisant la justice nationale à se prononcer sur des crimes contre l'humanité commis hors du pays et ont nommé quatre juges.
Habré pourrait ainsi devenir le premier chef d'Etat jugé dans un pays en développement autre que celui où les crimes ont été commis.
A l'occasion d'un sommet de l'UA , Dakar s'est vu chargé en 2006 d'organiser le procès de l'ancien président tchadien, accusé de 40.000 assassinats et de 200.000 cas de torture pendant son règne, entre 1982 et 1990.
Source: Yahoo News
Hissène Habré vit en exil au Sénégal depuis son renversement en 1990 par l'actuel chef de l'Etat tchadien, le président Idriss Déby.
A la demande de l'Union africaine, la justice sénégalaise s'apprête à juger Habré pour tortures et assassinats politiques présumés commis durant son mandat.
Lors d'une audience cette semaine, la justice tchadienne a jugé par contumace plusieurs anciens dirigeants, dont Mahamat Nouri, chef de file de l'Alliance nationale (AN, rebelle), et Timane Erdimi, du Rassemblement des forces du changement (RFC).
Au total, 12 accusés, dont Habré, Nouri et Erdimi, ont écopé de la peine capitale.
La justice tchadienne n'a, en revanche, pas émis de mandats d'arrêt pour les condamnés par contumace.
Fin juillet, le Parlement sénégalais avait levé les derniers obstacles constitutionnels au procès pour crimes contre l'humanité d'Hissène Habré.
Les deux chambres réunies en Congrès avaient approuvé le projet de loi autorisant la justice nationale à se prononcer sur des crimes contre l'humanité commis hors du pays et ont nommé quatre juges.
Habré pourrait ainsi devenir le premier chef d'Etat jugé dans un pays en développement autre que celui où les crimes ont été commis.
A l'occasion d'un sommet de l'UA , Dakar s'est vu chargé en 2006 d'organiser le procès de l'ancien président tchadien, accusé de 40.000 assassinats et de 200.000 cas de torture pendant son règne, entre 1982 et 1990.
Source: Yahoo News
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