Relachée quelques heures après son interpellation, l'artiste s'est expliquée pour la première fois mercredi sur RTL, lors de l'interview quotidienne de Marc-Olivier Fogiel, "On ne pouvait pas le rater".
Ophélie dit aller "super bien", essaie de garder le moral. "C'est lunaire ce qui m'arrive".
Elle dit avoir, comme tout le monde (sic) dans ce métier, fait la connerie de toucher aux substances illicites à un moment donné, les stupéfiants. "Ca, c'est une bonne leçon. Mais sincèrement, ça n'a rien à voir avec ce que je lis et ce que 'jentends, et des regards que je supporte dans la rue. C'est n'importe quoi".
A Fogiel qui lui demande si elle est toujours consommatrice, Ophélie réplique que telle qu'il la voit, elle n'a pas l'air d'être une toxicomane. "C'était étalé dans le temps", précise-t-elle.
Fogiel insiste en demandant si aujourd'hui elle est toujours consommatrice. "Aujourd'hui, la cocaîne, la drogue, c'est passé depuis combien de temps pour vous ? C'est une fois de temps en temps ? Vous êtes une consommatrice occasionnelle ? Plus du tout ?" Ophélie Winter refuse de répondre : "Je ne répond pas, ça me parait hallucinant", arguant du fait que même la police ne lui a pas posé ces questions...
La police est venue l'interpeller à son domicile la semaine dernière. "Ils m'ont demandé de les suivre sans dire pourquoi, voilà. Je n'ai rien à me reprocher, je suis allée chez eux. Et j'ai pas été dans une cage à poules, enfermée. J'étais constamment dans des bureaux, d'un office particulier, où on m'a posé des questions, sans relâche. Et de manière courtoise, et pas du tout comme si j'étais une criminelle".
Ce qu'ils voulaient comprendre étaient ses relations avec un certain nombre d'hommes interpellés, dont Mohammed Denfer."Cet homme là, c'est parti de là, on vous à vu à ses côtés à Cannes".
Ophélie se défend de le fréquenter, elle l'a simplement croisé à Cannes. "C'est une histoire à la con de taxi. Je voulais économiser 400 euros de taxi(...) Une amie - je mets entre guillemet maintenant avec ce qu'il se passe, c'est plus vraiment une amie, plutôt une ennemie - m'a présenté ce mec en disant j'ai un pote à Cannes qui peut venir te chercher en voiture. Point barre. Et donc ce Momo est venu me chercher de St Tropez à Cannes.(...) On a fait le trajet ensemble, on est arrivé ensemble(...) on s'est vu 2 ou 3 soirs plus tard et les gens ont fait l'amalgame. Je suis devenue sa grande copine alors que je ne le connaîs pas du tout. Si j'avais su qui c'était, bien sur que je ne lui aurais pas adressé la parole".
sources : Le Blog TV News
