25 2006 - 15:32
Fil d'Infos
Où va France Inter ?
Là-bas si j'y suis ne reprendrait pas en septembre !
URGENT PETITION
Contrairement à ce qu'avait annoncé le nouveau directeur de France Inter, l'émission de Daniel Mermet «Là-bas si j'y suis» ne figurerait pas dans la grille à la rentrée de septembre.
Actuellement programmée à 17 heures avec une excellente audience (500 000 auditeurs) «Là-bas» serait programmée à 15 heures ce qui lui ferait perdre plus de 50% de ses auditeurs , la tranche horaire de 15 heures étant traditionnellement beaucoup moins écoutée quelle que soit la radio considérée.
Là-bas si j'y suis n¹est pas une émission neutre et cette relégation n¹est pas neutre, surtout au lendemain de mobilisations sociales et au seuil d¹une année électorale.
Faut-il rappeler que l'actuel président de Radio France Jean-Paul Cluzel, Inspecteur général des finances, longtemps collaborateur de Jacques Chirac, intime d'Alain Juppé et récemment reconverti au sarkozysme n'a pas fait mystère, dans un entretien au Figaro Magazine, de ses idées « de droite, catholiques et libérales ».
Depuis son arrivée marquée par une brutale reprise en main provoquant le départ de personnalités emblématiques comme Pierre Bouteiller et Jean-Luc Hees, c'est près de 400 000 auditeurs qui ont quitté France Inter en moins de deux ans.
Ainsi avec la campagne pour le référendum sur la constitution européenne du 29 mai 2005 où la tranche «7/9» s'est distinguée par un soutien déchaîné et sans contrepartie au OUI, c¹est environ 250 000 auditeurs qui ont quitté l'antenne et ne sont pas revenus. Dans le même temps « Là-bas si j'y suis » gagnait 45 000 nouveaux auditeurs.
Le 2 mai à la surprise générale, Frédéric Schlessinger, un nouveau directeur a été nommé à la tête de la station. Inconnu de France Inter qu'il reconnaît ne pas connaître d'avantage, cet ancien responsable du pôle radio du groupe Lagardère s¹empresse de couper quelques têtes parmi les plus chères aux auditeurs. Le dernier en date étant Alain Rey une des voix les plus aimées d¹Inter.
Mais n'en doutons pas les auditeurs seront sans doute consolés par l¹arrivée de M.O.F. (Marc Olivier Fogiel).
Et tout cela dans quel but ? Sauver France Inter en faisant remonter par tous les moyens le chiffre des sondages d'audience.
Ces chiffres sont éminemment discutables et l'on ne fait pas de la radio avec des chiffres. Or même si l'on accepte d¹entrer dans cette logique, pourquoi pénaliser « Là-bas » dont le très bon taux d'audience est un des rares en augmentation alors que plusieurs émissions qui ont perdu des auditeurs sont maintenues ?
Ces incohérences ne peuvent dissimuler une volonté politique et idéologique très claire de casser « Là-bas si j'y suis » avant d¹en débarrasser la grille de France Inter.
Nous devons nous opposer vigoureusement à ces manipulations. Financée par la redevance, Radio France est un bien public, « la plus grande école de la République » et l'un des seuls espaces médiatiques en France qui n¹ait pas pour but de vendre du temps de cerveau humain disponible aux annonceurs.
Cette relégation ne concerne pas seulement Daniel Mermet et l'équipe de Là-bas, c¹est un mépris pour ceux qui depuis des années écoutent cette émission et peuvent simplement s¹y faire une image différente du monde « à l'écoute de la différence ».
Mépris aussi et avant tout pour ceux dont les voix, ici et ailleurs, de charniers en chantiers, de souffrances en résistances, seraient encore un peu plus étouffées.
Limoges, le 16 juin 2006 à 21h30
NON A LA DISPARITION DE LA-BAS SI J'Y SUIS !
Signez dès maintenant la pétition sur le site !
http://petition.la-bas.org/
Actuellement programmée à 17 heures avec une excellente audience (500 000 auditeurs) «Là-bas» serait programmée à 15 heures ce qui lui ferait perdre plus de 50% de ses auditeurs , la tranche horaire de 15 heures étant traditionnellement beaucoup moins écoutée quelle que soit la radio considérée.
Là-bas si j'y suis n¹est pas une émission neutre et cette relégation n¹est pas neutre, surtout au lendemain de mobilisations sociales et au seuil d¹une année électorale.
Faut-il rappeler que l'actuel président de Radio France Jean-Paul Cluzel, Inspecteur général des finances, longtemps collaborateur de Jacques Chirac, intime d'Alain Juppé et récemment reconverti au sarkozysme n'a pas fait mystère, dans un entretien au Figaro Magazine, de ses idées « de droite, catholiques et libérales ».
Depuis son arrivée marquée par une brutale reprise en main provoquant le départ de personnalités emblématiques comme Pierre Bouteiller et Jean-Luc Hees, c'est près de 400 000 auditeurs qui ont quitté France Inter en moins de deux ans.
Ainsi avec la campagne pour le référendum sur la constitution européenne du 29 mai 2005 où la tranche «7/9» s'est distinguée par un soutien déchaîné et sans contrepartie au OUI, c¹est environ 250 000 auditeurs qui ont quitté l'antenne et ne sont pas revenus. Dans le même temps « Là-bas si j'y suis » gagnait 45 000 nouveaux auditeurs.
Le 2 mai à la surprise générale, Frédéric Schlessinger, un nouveau directeur a été nommé à la tête de la station. Inconnu de France Inter qu'il reconnaît ne pas connaître d'avantage, cet ancien responsable du pôle radio du groupe Lagardère s¹empresse de couper quelques têtes parmi les plus chères aux auditeurs. Le dernier en date étant Alain Rey une des voix les plus aimées d¹Inter.
Mais n'en doutons pas les auditeurs seront sans doute consolés par l¹arrivée de M.O.F. (Marc Olivier Fogiel).
Et tout cela dans quel but ? Sauver France Inter en faisant remonter par tous les moyens le chiffre des sondages d'audience.
Ces chiffres sont éminemment discutables et l'on ne fait pas de la radio avec des chiffres. Or même si l'on accepte d¹entrer dans cette logique, pourquoi pénaliser « Là-bas » dont le très bon taux d'audience est un des rares en augmentation alors que plusieurs émissions qui ont perdu des auditeurs sont maintenues ?
Ces incohérences ne peuvent dissimuler une volonté politique et idéologique très claire de casser « Là-bas si j'y suis » avant d¹en débarrasser la grille de France Inter.
Nous devons nous opposer vigoureusement à ces manipulations. Financée par la redevance, Radio France est un bien public, « la plus grande école de la République » et l'un des seuls espaces médiatiques en France qui n¹ait pas pour but de vendre du temps de cerveau humain disponible aux annonceurs.
Cette relégation ne concerne pas seulement Daniel Mermet et l'équipe de Là-bas, c¹est un mépris pour ceux qui depuis des années écoutent cette émission et peuvent simplement s¹y faire une image différente du monde « à l'écoute de la différence ».
Mépris aussi et avant tout pour ceux dont les voix, ici et ailleurs, de charniers en chantiers, de souffrances en résistances, seraient encore un peu plus étouffées.
Limoges, le 16 juin 2006 à 21h30
NON A LA DISPARITION DE LA-BAS SI J'Y SUIS !
Signez dès maintenant la pétition sur le site !
http://petition.la-bas.org/
PCF Salon de Provence
Rédigé par PCF Salon de Provence le 25 2006 à 15:32
23 2006 - 17:34
Revue de presse locale
Commémoration du 22 août aux martyrs de la Résistance au Val de Cuech.
Droit de réponse du P.C.F Salon et région.
L'édition de Salon du journal "La Provence" du 23 août essaie de créer une polémique politicienne dans un billet concernant le dépôt d'une gerbe par notre organisation à l'occasion de cet hommage.
La section du P.C.F tient à rassurer le journal "La Provence" et ses lecteurs : chaque année, notre organisation participe à l'hommage à la Résistance rendu au Val de Cuech.
Cette année notre délégation, avec le drapeau habituel à cet hommage que notre organisation possède, a déposé une gerbe avec ce texte d'accompagnement : aux militants de la Paix et du progrès social.
Oui, le P.C.F est la seule organisation politique à Salon, comme dans tout le pays, à participer depuis très longtemps à ces hommages officiels à la Résistance et à ses martyrs.
Oui, c'est une évidence de fait et d'histoire : le P.C.F s'est constitué en 1920, le P.C.F est le seul parti politique français à s'être résolument engagé dans la Résistance contre les hordes fascistes et la collaboration de l'Etat français.
Oui, l'opinion publique salonaise a toujours trouvé normales des anecdotes comme la collecte populaire importante que les organisations communistes de la ville ont versé au "Comité Municipal pour la construction d'un Mémorial de la Résistance Salonaise"; les gerbes "communistes" déposées lors des grandes commémorations organisées par les municipalités FRANCOU et VALLET; le drapeau régulièrement utilisé par la section du P.C.F à ces cérémonies (un drapeau bleu blanc rouge avec des lettres or –cercle Georges Saint Martin UJRF-) ; le rajout sur la liste du monument du Val de Cuech de Pierrette DOIZE, morte en déportation en 1942.
Oui, la section du P.C.F avait raison, il y a quinze mois, d'affirmer lors de la présentation publique d'une exposition sur la Résistance à Salon, qu'il était nécessaire de connaître son histoire et d'évaluer sa portée populaire et progressiste.
Oui, sans polémique, mais avec conviction, nous continuerons à rappeler la mémoire des martyrs de la Résistance salonaise comme Moïse ARNAUDO qui fut arrêté par la police française sur son lieu de travail à Miramas et mourut en 1945 à Dachau; Georges SAINT MARTIN, à 20 ans, fut exécuté à Signes par la milice et la Gestapo, Antoine GINOUVES, dont le nom ne figure pas sur les monuments de notre ville, est mort en 1941 des suites des internements et des tortures de la police française; Jean MARINI, dont une partie de la mémoire est attachée au Groupe ROUSTAN, avait comme beau-père GINOUVES, et c'est en 1945 qu'il fut arrêté et déporté à Bassum où il mourut.
Pour la Paix et le progrès social, les communistes sont toujours là, et actifs.
La section du P.C.F tient à rassurer le journal "La Provence" et ses lecteurs : chaque année, notre organisation participe à l'hommage à la Résistance rendu au Val de Cuech.
Cette année notre délégation, avec le drapeau habituel à cet hommage que notre organisation possède, a déposé une gerbe avec ce texte d'accompagnement : aux militants de la Paix et du progrès social.
Oui, le P.C.F est la seule organisation politique à Salon, comme dans tout le pays, à participer depuis très longtemps à ces hommages officiels à la Résistance et à ses martyrs.
Oui, c'est une évidence de fait et d'histoire : le P.C.F s'est constitué en 1920, le P.C.F est le seul parti politique français à s'être résolument engagé dans la Résistance contre les hordes fascistes et la collaboration de l'Etat français.
Oui, l'opinion publique salonaise a toujours trouvé normales des anecdotes comme la collecte populaire importante que les organisations communistes de la ville ont versé au "Comité Municipal pour la construction d'un Mémorial de la Résistance Salonaise"; les gerbes "communistes" déposées lors des grandes commémorations organisées par les municipalités FRANCOU et VALLET; le drapeau régulièrement utilisé par la section du P.C.F à ces cérémonies (un drapeau bleu blanc rouge avec des lettres or –cercle Georges Saint Martin UJRF-) ; le rajout sur la liste du monument du Val de Cuech de Pierrette DOIZE, morte en déportation en 1942.
Oui, la section du P.C.F avait raison, il y a quinze mois, d'affirmer lors de la présentation publique d'une exposition sur la Résistance à Salon, qu'il était nécessaire de connaître son histoire et d'évaluer sa portée populaire et progressiste.
Oui, sans polémique, mais avec conviction, nous continuerons à rappeler la mémoire des martyrs de la Résistance salonaise comme Moïse ARNAUDO qui fut arrêté par la police française sur son lieu de travail à Miramas et mourut en 1945 à Dachau; Georges SAINT MARTIN, à 20 ans, fut exécuté à Signes par la milice et la Gestapo, Antoine GINOUVES, dont le nom ne figure pas sur les monuments de notre ville, est mort en 1941 des suites des internements et des tortures de la police française; Jean MARINI, dont une partie de la mémoire est attachée au Groupe ROUSTAN, avait comme beau-père GINOUVES, et c'est en 1945 qu'il fut arrêté et déporté à Bassum où il mourut.
Pour la Paix et le progrès social, les communistes sont toujours là, et actifs.
PCF Salon de Provence
Rédigé par PCF Salon de Provence le 23 2006 à 17:34
21 2006 - 23:45
Initiative Publique
Déclaration de la section de Salon de Provence du PCF aux résistants communistes mort pour la France.
Lettre adressée à Monsieur le Maire de Salon de Provence
Mémorial de Signes
10 Juillet 2006
Monsieur le Maire,
Nous souhaitons attirer votre attention sur la prise dans l'histoire locale par certains résistants du pays Salonais un peu trop oubliés selon nous et auxquels il conviendrait peut-être de rendre un hommage plus soutenu. Nous pensons tout particulièrement à:
-Moïse ARNAUDO arrêté par la police française sur son lieu de travail en 1942, mort en déportation à Dachau en 1945.
-Georges SAINT-MARTIN exécuté à 20 ans par la milice et l'armée allemande à Signes en 1944.
-Antoine GINOUVES décédé en 1941 des suites d'internements et de tortures infligées par la milice et la police française.
-Jean MARINI, beau-frère du précédent, dont la mémoire est rattachée au groupe de résistance locale ROUSTAN, mort en déportation à Bassum.
Tous les quatres étaient des militants communistes et tous ont participé a la formidable dynamique sociale, politique et syndicale dont on commémore cette année le soixante-dixième anniversaire. Grèves et occupations d'entreprises, lutte contre le fascisme et pour les droits sociaux, soutien aux républicains espagnols ont été le combat et l'engagement de ces militants puis résistants par ailleurs très investis dans la vie salonaise de l'époque. Le terreau de ces vies militantes puis résistantes, c'était l'entreprise de chaudronnerie de MARINI et GINOUVES, la jeunesse laïque du Portail Coucou, les associations sportives, l'union locale des syndicats CGT, la petite paysannerie du Pays Salonais.
Rendre hommage à ces militants, c'est mener la bataille contre l'oubli, la falsification et les arrangements de toutes sortes qui visent à banaliser la "bête immonde". Nous aussi nous vous proposons cette année d'intégrer dans la traditionnelle commémoration du 20 août un hommage particulier à ces quatres résistants lors d'une visite à Signes. Cette rencontre au mémorial de la résistance de la région sud pourrait être aussi celui de l'agglopôle, afin d'y associer par exemple la commune de Lançon qui a perdu à Signes une personnalité marquante: WOLF, fusillé en 1944.
Restant à votre disposition pour en discuter, nous vous prions d'agréer, Monsieur le Maire, l'expression de nos sentiments républicains.
Pour le comité local, le secrétaire:
Dominique Roussel
PCF Salon de Provence
Rédigé par PCF Salon de Provence le 21 2006 à 23:45
21 2006 - 23:36
Actualité de Salon de Provence
A propos des résultats des municipales de Grans du 23 juillet.
Communiqué de la section du PCF de Salon et région
Eric Cameler, tête de liste (PCF) contre Yves Vidal (PRG)
Le résultat obtenu par la liste démocratie gransoise conduite par Eric Cameler montre à l’évidence que l’on peut changer la donne, bouleverser les rapports de force, menacer la pérennité de dominaation que certains s’évertuent à faire croire inébranlables. C’est d’ailleurs ce que le Parti commmuniste ne cesse de dire. Ainsi par les luttes et par le vote, on peut battre la droite et réussir à gauche, à condition de reconstruire une gauche où le peuple et les forces anti-libérales pourront peser réellement.
Un maire installé dans ses fonctions depuis des décennies, notable connu nationalement, vice-président du Conseil régional, aurait pu escompter un résultat écrasant face à une liste montée en quelques jours et qui n’a eu ensuite que deux semaines en pleine canicule estivale pour présenter son programme. L’échec de mr Vidal qui ne recueille que 55% des suffrages est d’autant plus flagrant que son image d’homme de gauche qu’il cultive à d’autres niveaux a pu faire illusion et que face à une tête de liste communiste, il pouvait rassembler à droit bien sûr mais aussi à gauche tous ceux qui ne pardonnent pas aux communistes de vouloir créer une condition altenative anti-libérale de gauche.
Pourquoi un tel revers ? Des propos et des actes indignes d’un maire de gauche ont marqué ces dernières années (refus d’aménagement pour la scolarisation d’un enfant handicapé, envoie de policiiers dans une école, insultes et coup bas contre les opposants notamment communistes). Dans le même temps des ambitions personnelles lui ont fait oublier l’intérêt général de sa commune et en dépit d’une mobilisation grandissante pour un respect des équilibres écologiques et un véritablee débat démocratique, il s’est entêté à voir dans son grand projet de zone commerciale une panacée non négociable ni amendable.
A contrarion Eric Cameler et les élus communistes de Grans ont été de tous les combats contre l’arbitraire, ont informé et consulté en permanence tous les administrés sur tous les dossiers en discussion au conseil municipal. De fait, malgrè leur rôle important dans le très bon rsultat d’une liste conduite par l’un des leurs, les communiste voient leur représentation réduite au conseil municipal. Mais peu importe le nombre, seule compte l’efficacité d’une démarche que les communistes ont voulu à Grans et qu’ils préconisent aujourd’hui partout en France pour les prochaines échéances électorales nationales. Il s’agit d’ouvrir une perspectives de changement avec tous ceux qui veulent y participer dans le respect de leurs diversités et sans vouloir imposer une quelconque hégémonie de qui que ce soit.
Oui, Grans avec toute sa population ancienne, jeune et nouvelle doit sereinement apprécier et décider de la cohérence, du rythme du développement urbain et de l’aménagement de l’espace. Les élus du groupe Démocratie gransoise au conseil municipal, seront les animateurs de cette mobilisation citoyenne pour la reconquête de la démocratie à Grans. Vous pouvez compter sur les communistes, leur cellule et leur section, pour soutenir activement cette mobilisation et pour aider à la reconstruction à Grans comme ailleurs d’une gauche populaire, plus humaine, plus proche des citoyens et du monde du travail.
PCF Salon Grans et région - le 4 août 2006
Parti Communiste Français
PCF Salon de Provence
Section du Parti communiste français Salon de Provence (Bouches Du Rhône 13)
143 Rue La Fayette 13300 Salon de Provence
Actions citoyennes à Salon de Provence
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