Plus de 72 communistes de 11 fédérations se sont retrouvés samedi 31 janvier à Vénissieux pour une journée d'échanges et de décisions. Parmi eux, des secrétaires de section, des membres de comité départemental et du comité national, des élus locaux et nationaux.

Les débats ont porté sur le bilan du 34ème congrès, l'appréciation de la situation sociale et politique, la situation internationale, les européennes, la nécessité de construire les repères idéologiques, l'effort de formation, la nécessité de s'organiser pour faire vivre et renforcer le PCF.

Tous les participants s'inscrivent dans un effort de longue durée pour construire avec le parti communiste, le communisme de demain. Ils sont déterminés à continuer à agir dans le PCF tout en tendant la main aux camarades qui l'ont quitté pour des raisons locales ou personnelles.

Ils constatent que les décisions prises depuis le congrès (constitution du comité exécutif, campagne européenne..) tournent le dos à la volonté des communistes de faire vivre et renforcer le PCF, majoritaire dans le 34éme congrès.

Ils partagent la volonté de se tourner vers tous les communistes qui veulent faire vivre leur parti en s appuyant sur les 25 % qui ont voté pour le texte « faire vivre le PCF, une exigence de notre temps », les 40 % qui ont rejeté sans ambiguïté la dilution du PCF.

L'urgence aujourd'hui c'est de s'organiser dans le Parti en utilisant les possibilités que donnent les statuts, notamment la constitution d'un réseau.

Les propositions suivantes sont faites:

· poursuivre l'effort d'organisation à l'échelon départemental à partir des organisations existantes et en s'entraidant entre départements voisins quand cela est possible,
· Engager un effort théorique qui permette de construire les repères idéologiques dont notre peuple et les communistes ont besoin et dans ce cadre proposer des actions de formation,
· Mettre en place une coordination nationale : proposition est faite que celle-ci soit constituée des membres de notre liste au Conseil national auxquels s'ajouteraient quelques camarades représentant des départements qui ne sont pas au CN. Cette coordination provisoire et qui peut s'enrichir pourrait être validée définitivement dans quelques semaines.

Plus de 72 communistes de 11 fédérations se sont retrouvés samedi 31 janvier à Vénissieux pour une journée d'échanges et de décisions.

Parmi eux, des secrétaires de section, des membres de comité départemental et du comité national, des élus locaux et nationaux.

Les débats ont porté sur le bilan du 34ème congrès, l'appréciation de la situation sociale et politique, la situation internationale, les européennes, la nécessité de construire les repères idéologiques, l'effort de formation, la nécessité de s'organiser pour faire vivre et renforcer le PCF.

Tous les participants s'inscrivent dans un effort de longue durée pour construire avec le parti communiste, le communisme de demain. Ils sont déterminés à continuer à agir dans le PCF tout en tendant la main aux camarades qui l'ont quitté pour des raisons locales ou personnelles.

Ils constatent que les décisions prises depuis le congrès (constitution du comité exécutif, campagne européenne..) tournent le dos à la volonté des communistes de faire vivre et renforcer le PCF, majoritaire dans le 34éme congrès.

Ils partagent la volonté de se tourner vers tous les communistes qui veulent faire vivre leur parti en s appuyant sur les 25 % qui ont voté pour le texte « faire vivre le PCF, une exigence de notre temps », les 40 % qui ont rejeté sans ambiguïté la dilution du PCF.

L'urgence aujourd'hui c'est de s'organiser dans le Parti en utilisant les possibilités que donnent les statuts, notamment la constitution d'un réseau.

Les propositions suivantes sont faites:

-poursuivre l'effort d'organisation à l'échelon départemental à partir des organisations existantes et en s'entraidant entre départements voisins quand cela est possible,
-Engager un effort théorique qui permette de construire les repères idéologiques dont notre peuple et les communistes ont besoin et dans ce cadre proposer des actions de formation,
-Mettre en place une coordination nationale : proposition est faite que celle-ci soit constituée des membres de notre liste au Conseil national auxquels s'ajouteraient quelques camarades représentant des départements qui ne sont pas au CN. Cette coordination provisoire et qui peut s'enrichir pourrait être validée définitivement dans quelques semaines.