Dans l'Etat de Bolivar, le PSUV après sa 7ème semaine de carnetizacion déclare avoir plus de 170.000 encarté.e.s sur les 2 millions d'habitant.e.s que compte cet Etat. Dans cette région montagneuse du Venezuela, l'opposition dite "démocratique" avait réussi une percée lors des élections législatives de 2015, en remportant 7 des 8 député.e.s de l'Assemblée nationale. Malgré tout le PSUV conservait le gouvernorat avec 49,09% des voix en 2017.

Dans l'Etat de Portuguesa, se sont plus de 200.000 personnes qui ont rejoint le PSUV. Des 897.000 habitant.e.s de l'Etat, une grande majorité a fait le choix de continuer la révolution et de s'engager dans la campagne présidentielle. Cet Etat est un bastion du PSUV, qui détient 5 des 6 sièges à l'Assemblée nationale et naturellement le gouvernorat.

Même situation dans l'État de Guárico, au sud de Caracas. 200.000 militant.e.s se sont encarté.e.s au Parti socialiste unifié du Venezuela (PSUV) après 7 semaines de "carnetizacion". Une bonne nouvelle avant les élections présidentielles le 20 mai, convoquées par le Conseil national électoral (CNE). Et aussi un apport important pour les élections dans les Conseils législatifs. C'est une région très révolutionnaire où est implanté le Parti communiste (PCV).

Les habitant.e.s des îles formant l'État de Nueva Esparta, bastion de l'opposition dite "démocratique", adhérent en masse au PSUV. Elles, ils sont 73.447 a avoir rejoint les rangs du PSUV sur les 490.000 habitant.e.s des îles. Si le ratio est plus faible par rapport à d'autres Etats, cela vient du fait que l'opposition est ici chez elle et détient 4 des 5 députés de l'Etat et le gouvernorat (51,81% des voix en 2017).

Lors de la 6ème semaine de carnetizacion, 4.207.576 vénézuélien.ne.s ont (re)adhéré au Parti Socialiste Unifié du Venezuela.