Des affrontements opposant des manifestants fédéralistes et antifascistes à des militants unitaristes ainsi qu'à des supporters de football ont éclaté vendredi soir, lors de la marche "Pour l'unité de l'Ukraine" à laquelle prenaient part ces derniers. Les deux parties se sont attaquées à coups de pierre, ensuite des tirs ont retenti. La police est intervenue pour mettre fin aux escarmouches qui ont fait au moins trois morts et 18 blessés.

Ensuite, les supporters du football conduit par les néonazis du Pravyi Sektor, ont bouclé un camp des partisans de la fédéralisation de l'Ukraine, avant d'y mettre le feu. Un crime monstrueux a été commis. 38 personnes sont mortes brûlées ("30 personnes ont été intoxiqué par le monoxyde de carbone, 8 ont sauté par les fenêtres pour échapper au feu " selon le ministère de l'Intérieur).

La plupart des victimes : des communistes et des antifascistes

Selon les survivants de la "milice populaire d'Odessa", il y a des blessés, des militants sont entrés dans la clandestinité. Les militants du Parti communiste (KPU) et les antifascistes de "Borotba" ont été brûlé vif dans la Maison des syndicats. Ceux qui ont survécu à ce massacre ont été mis en prison pour terrorisme et séparatisme.

Un témoin raconte l’horreur

Le Rédacteur en chef du journal «anti-fascistes», Borotba, a pu avoir au téléphone l'un des survivant miraculé du terrible incendie dans la maison des syndicats de Odessa. Il a 49 ans et se nomme Yuri. Selon Youri, leurs militants étaient sur le terrain Kulikov au moment affrontement avec les chiens de radicaux. Il y avait pas plus de 250 personnes.

"Après avoir combattu dans la rue. Place de la Cathédrale, les fascistes ont lancé une offensive sur le terrain Koulikov. Nos forces n'étaient pas suffisantes et nous n'avons pas d'armes à tous Nous avons été obligés de battre en retraite et nous avons décidé de nous barricader dans la maison Les syndicats, qui se trouve à proximité.

Selon Youri, ils ont utilisé des armes à feu. "L'homme, qui était à côté de moi a été abattu". "Nous avons été parqués dans le bâtiment et coupé de toutes les voies d'évacuation., Je me suis trouvé dans l'aile droite du troisième étage, nous avions une dizaine de personnes dans une chambre. Les fascistes ont commencé à jeter des cocktails Molotov et a tirer sur les fenêtres situées au rez-de-chaussée puis ils ont tout incendié, la fumée se propageait dans les couloirs, il était impossible de sortir ... Nous avons cassé et ouvert la fenêtre, mais c'été déjà trop tard. Quelqu'un a sauté et les fascistes criez "Gloire à l'Ukraine" et "Mort aux ennemis" ... C'était l'enfer. Lors que sont arrivés les pompiers ils ont commencé à éteindre le feu au 1er étage".

En outre, selon le survivant, il se souvient vaguement de ses actions. Autour de lui tous ont étouffé dans le bâtiment en criant hystériquement et implorant la pitié ...

"Je me souviens de l'homme qui était a côté de moi, dans le civil il donnait des cours de sport. Lui et moi, nous nous sommes précipités dans le couloir, nus avons trébuché sur des cadavres. Il y en avait beaucoup, je ne peux pas dire le nombre exact, mais beaucoup ... Il faisait sombre, nous sommes arrivés à l'escalier de secours du 1er étage. Au 1er le feu été éteint, sortie de secours, nous avons vu plusieurs pompiers.

"Nous avons perdu cette bataille, parce qu'ils étaient organisées. Mais tous les morts de Koulikov sont des héros. Ils ne sont pas mort pour rien. Je n'oublierai jamais l'horreur" résume l'interlocuteur.

Ioulia Timochenko a remercié les organisateurs du massacre d'Odessa

Ioulia Timochenko, l’égérie de nos petits "démocrates" européens, lors de son déplacement à Odessa, a remercié les organisateurs du massacre d'Odessa. 42 personnes ont été tué par des partisans de EuroMaïdan, brûlées vifs dans la maison des syndicats.

Ioulia Timochenko c'est rendue à Odessa, elle a visité les policiers blessés lors des affrontements à la maison des syndicats. En outre, Timochenko a remercié tous ceux qui ont participé au massacre des partisans de fédéralisation. Apparemment, les morts à Odessa ne sont que faits utilisés pour une opération de relations publiques avant les élections présidentielles. Et encore une autre excuse pour blâmer la Russie.

"Je veux dire un grand merci à tous ceux qui, hier, ont combattu pour la défense d'Odessa et de l'Ukraine. Mais maintenant nous devons tirer les conclusions de toutes ces circonstances" a déclaré Ioulia Timochenko .

Voilà le visage des "pacifiques" militants de EuroMaïdan qui ont tué 42 personnes à Odessa (KPU)

Voilà les "pacifiques" groupies fan de football et partisans de EuroMaidan qui préparent la "paix" et de "pacifiques" cocktails molotov dénonce le Parti communiste d'Ukraine (KPU) après le massacre de 42 militants dans l'incendie de la maison des syndicats à Odessa.

"Voici celle qui ont préparé la mort à Odessa. N'oubliez pas leurs visages" peut on lire sur le site du Parti communiste d'Ukraine (KPU)

"Ces extrémistes ont préparé les cocktails Molotov à Odessa, elles ont aujourd'hui retiré leur page VKontakte. Mais leurs noms sont déjà connus."

Katerina Olegivna: http://vk.com/kvi1o4ka88
Alla Kolesnik: http://vk.com/id14613516
Khristina Yizhak: http://vk.com/yozhikontour
Darya Marien: vk.com/dari vk.com/kvi1o4ka88
Katerina Olegivna: http://vk.com/kvi1o4ka88

Ukraine : Les pseudo-féministes des FEMEN ont participé au massacre d'Odessa

Le "sextremism" semble avoir ses limites et les convictions s'adaptent en fonction des pays. En Ukraine ce groupe pseudo-féministe est clairement un groupe néonazi qui a participé au massacre de Odessa et qui soutien le parti néonazi Svoboda.

Steven Argue est un journaliste étasunien proche des idées communistes et antifascistes, il a dévoilé la présence des pseudo-féministe des FEMEN lors du massacre de Odessa.

Ievgeniia Kraizman, l'une des leaders du mouvement FEMEN en Ukraine a participé au massacre d'Odessa ce tragique 2 mai. Elle a fait partie du groupe de fascistes qui ont brûlé vif, abattu, 116 manifestants anti-fascistes ce jour là. Inna Shevchenko

Les FEMEN, un groupe liée aux néonazis de Svoboda

En 2011 les dirigeants des Femen, Inna Shevchenko, Sasha Shevchenko, et Victor Svyatski ont participé à une manifestation contre la Biélorussie.

Au-dessus de leurs têtes flottait le drapeau à damier rouge et noir de l'UNA-UNSO, un groupe paramilitaire d'extrême droite qui a fusionné avec les néo-nazis du Pravy Sektor pendant les émeutes du Maidan. Debout à côté de Inna Shevchenko et Sasha Shevchenko est l'un de leurs camarades tenant une bannière qui est clairement marquée du logo du parti néo-nazi Svoboda. Sur la bannière de Svoboda il est inscrit : "Vive la Biélorussie indépendante. Liberté pour l'Ukraine", "Non à la terreur rouge". Ce sont des slogans porté par Svoboda, ce groupe néo-nazi qui appelle pour exécuter les intellectuels russes ukrainiens sans procès et considère le collaborateur nazi et meurtrier de masse Stepan Bandera comme leur héros.