De nos jours, le nerf de la guerre, c’est le flux.
Afin de rentabiliser celui-ci, la politique du pire et du point non retour est l’unique moyen d’alimenter les psychoses.
La confusion générale et les interrogations personnelles construisent la mythologie de la panique numérique.
Le chaos est le meilleur moyen de contrôle des masses, il est à la fois invisible et omniprésent.
De la téléphonie mobile 3G la plus banale à la toxicomanie du clic, en passant par le rituel de la télécommande, tout est bon pour se tenir au courant de tout et de rien.
Une contagion inconnue passionne davantage les foules qu’une maladie maîtrisable.
Le nombre de morts configure la couverture médiatique.
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